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L'Économie & Finance IsraélienneSauf changements de dernière minute, l'annonce officielle de la vente de Bezeq, la compagnie de télécommunication israélienne à Shaul Elovitch sera faite dans les prochaines 48 heures. La transaction se monterait à 7 milliards de shekels.Belle affaire pour Haïm Saban et Moshe Arkin qui vendent leurs 30,7% d'actions de Bezek : un retour sur investissement de 300% en 4 ans et un bénéfice de 5 milliards de shekels ! Articles connexes
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Publié sur Flickr le 29 janvier 2008 par hazy jenius.
Le Liban reproche à Israël d’usurper son patrimoine culinaire et entend créer des appellations d’origine contrôlée pour protéger certaines de ses spécialités. Pour afficher leur détermination, les Libanais vont tenter de battre le record du plus grand plat de houmous au monde détenu par les Israéliens...
Officiellement, le Liban et Israël sont en guerre depuis 60 ans. Mais durant les derniers mois, les deux voisins semblent avoir trouvé un nouveau champ de bataille pour le moins inattendu : la cuisine.
L’histoire commence sur un plateau de télévision en octobre dernier. Des industriels libanais se plaignent de la commercialisation de certaines de leurs spécialités nationales, sur les marchés occidentaux, sous le label "cuisine israélienne". Le président de l’Association des industriels libanais, Fadi Abboud, relaye leurs doléances et annonce son intention de certifier, auprès de l’Union européenne (UE), certains plats comme étant officiellement "libanais". Parmi ces spécialités, un plat phare : le houmous.
Cette purée de pois chiches et de tahiné agrémentée d’ail, de citron et d’huile d’olive, est un plat incontournable du mezzé libanais traditionnel, et suscite également un véritable engouement chez les Israéliens. Les as du houmous à Jérusalem ou à Tel Aviv, souvent des Israéliens d’origine palestinienne, sont vénérés comme des stars et les restaurants de houmous, (prononcez "khoumos" en hébreu avec un "kh" aux résonnances de jota espagnole), ont même fait leur entrée dans les dictionnaires sous la vedette "houmousia".
"Ce qui me révolte avec Israël c'est qu'ils commercialisent le houmous comme étant un produit traditionnel israélien alors qu'il est clair qu'il s'agit d'un produit libanais", déclare Ramez Abi Nader, un membre de l'association.
"Ce qu'ils font induit en erreur les consommateurs car le houmous est un mot arabe et non hébreu (...) et tout le monde sait que le taboulé est libanais", ajoute M. Abi Nader.
Le houmous est une purée composée de pois-chiche, de pâte de graines de sésame, huile d'olive, jus de citron et d'ail tandis que le taboulé est une salade de persil haché finement, de grains de boulgour (blé concassé), d'oignons et de tomates.
Les deux plats, ainsi que d'autres comme le baba ghannouj, une purée d'aubergines, sont aussi très populaires en Israël et à travers le monde.