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L'Économie & Finance IsraélienneUn israélien sur quatre est pauvreLe rapport 2008 sur la pauvreté de l’Institut National d’Assurance montre que le nombre de personnes dans le besoin en Israël reste relativement stable, malgré la crise économique. Il y a 1 651 300 personnes pauvres vivant en Israël, incluant 783 600 enfants. Jérusalem est la municipalité la plus pauvre du pays.
Le début de la crise économique n’a eu aucun effet sur les chiffres de la pauvreté en Israël, qui restaient inchangés l’année dernière selon le rapport 2008 sur la pauvreté de l’Institut National d’Assurance.
Néanmoins, les données publiées lundi soulèvent une image extrêmement triste : il y a 1 651 300 personnes démunies vivant en Israël, y compris les 783 600 enfants. Le pourcentage de pauvres en Israël chute légèrement à 23,7 %. En d'autres termes, près d’un israéliens sur quatre est défini comme nécessiteux.
Selon aux fonctionnaires de l’INA, l’influence de la crise, qui a été vue en partie dans le deuxième semestre de 2008, « compense » la hausse des revenus de la première moitié du l'année. Toutefois, de nombreuses familles sont désormais au-dessus du seuil de pauvreté, grâce aux allocations qu'ils reçoivent.
Le rapport révèle que le pourcentage d'enfants vivant sous le seuil de pauvreté est en diminution, ayant été de 35,8 % en 2006, de 34,2 % en 2007 et de 34 % en 2008.
Alors que 17,8 % des familles ayant jusqu'à trois enfants sont sous le seuil de pauvreté, 57.8 % des familles nombreuses (avec quatre enfants ou plus) sont elles aussi sous le seuil de pauvreté.
Une division géographique des résultats montre que le taux de pauvreté a chuté dans tout le pays, à l’exclusion de Tel Aviv et du sud du pays. Jérusalem est le district le plus pauvre – 32,3% des habitants de la capitale et près de 55% de ses enfants vivent en situation précaire. Articles connexes
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Le 17 juillet 2009, un groupe de 16 jeunes Palestiniens du village de Mas’ha en Samarie s’est rendu à Yad Vashem.
Madjahad, jeune homme de Mas’ha qui étudie aux Etats-Unis, est à l’initiative de cette première visite. De retour chez lui cet été, il a mis au point et organisé diverses activités pour les jeunes de son villages, dont la visite du Mémorial.
Les premières conversations ont permis de constater que les jeunes gens présents à Yad Vashem avaient une connaissance minime et erronée de la Shoah. Leurs différentes estimations du nombre de victimes ont été : 500, 5000 jusqu’à 6 millions.
Ils ignoraient jusqu’alors l’existence des ghettos. Cependant les conversations ont porté essentiellement sur les raisons qui les ont poussés à faire cette démarche. Madjahad a fait savoir que durant son séjour américain, il avait rencontré beaucoup de Juifs et de non-Juifs qui lui avaient parlé de la Shoah.
Il avait donc abouti à la conclusion que les Palestiniens devaient être « mieux informés sur la Seconde guerre mondiale et sur le destin des Juifs afin de mieux connaître leurs voisins.
Nous devons comprendre l’impact de l’Holocauste sur les Juifs ». Les participants ont acquiescé sans réserve.
« L’Holocauste n’est pas accepté parmi nous, et son existence est niée », a déclaré l’un des participants. « Nous sommes plongés dans notre propre souffrance et nos problèmes et nous ne prêtons pas attention au fait qu’il y ait aussi de la souffrance de l’autre côté. Il y a des gens qui ont encore plus souffert que nous. »
Une seule journée ne suffira pas à susciter un changement d’attitude des Palestiniens envers la Seconde guerre mondiale et la Shoah. Cependant, cette rencontre a prouvé que ce type de discussion directe et ouverte permet de combler les fossés et de mieux se comprendre. Dorit Novak, directrice de l’Ecole internationale pour les études sur l’Holocauste a appelé à ce que d’autres groupes de jeunes Palestiniens viennent visiter Yad Vashem.
AM ISRAEL HAY
Jean a raison d'affirmer que ces arabos/muzz, jeunes ou vieux, ne changent pas et ne changeront jamais, parce "qu'ils ne sont pas programmés pour réfléchir, ou avoir une once de compassion pour qui que ce soit -déjà entre eux, ils s'entretuent- et encore moins pour Israêl et/ou les juifs". Point barre.
Les faits divers de leurs crimes journaliers commis dans le monde prouvent qu'ils ne sont capables que de cruauté et de barbarie, et que leurs soi-disant "modérés" ne sont que des leurres destinés à bluffer les gogos occidentaux.
AM ISRAEL HAY