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L'Économie & Finance IsraélienneMondialisation: le rêve de faire "fleurir" le désert du Néguev s'est envoléUsines délocalisées, zones industrielles en friche, chômage endémique, paupérisation: la mondialisation a eu raison du rêve des pionniers sionistes qui voulaient faire "fleurir" le désert du Néguev. Après avoir fondé l'Etat d'Israël en 1948, David Ben Gourion avait envoyé des dizaines de milliers d'immigrants dans cette région désertique qui couvre la moitié sud du pays pour y créer de nouvelles agglomérations. 10 commentaires
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Comme al beep, ou CNN ou regne la belle et antisemite ala gorani(normal,elle est syrienne)tres rare est une journee sans info sur la micro region
L'offensive de l'armee sri lankaise sur le reduit des "tigres de l'ellam" avec milliers de morts comprennant terroristes et civils a juste fait la une quelques jours sur les chaines infos
il faut vraiment etre Juif pour etre en permanence en ligne de mire
Texte tiré d’une autre brochure : « Villages non reconnus du Néguev »
Misère sociale et économique
Environ 80 000 Bédouins, citoyens israéliens, vivent dans des villages non reconnus sans aucune infrastructure comme l’électricité, l’eau et les égouts. Ces villages n’ont aucun plan de développement ou de services sociaux. Le taux de chômage atteint 25 %, c’est le plus élevé en Israël.
Selon le Bureau Central des Statistiques, les villes et villages reconnus sont les plus pauvres du pays. La situation est pire dans les villages non reconnus qui ne sont même pas inclus dans les statistiques officielles. Le coût de fonctionnement d’un générateur électrique est trop élevé pour les habitants pauvres de ces villages alors que, en été, la température peut atteindre 50° dans leur cabane en tôle.
Depuis l’adoption de cet « infâme programme gouvernemental qui s’occupe du secteur bédouin » plus de 100 maisons ont été détruites et 22 000 dunans ( hectares) rendus impropres à la culture (par pulvérisation), ce qui veut dire que plus de 100 familles ont perdu leur maison et que beaucoup d’autres ont perdu leur principale source de revenus.
L’éducation
Pour se rendre à l’école, beaucoup d’élèves doivent se déplacer de 40-60 km. En hiver, les routes non empierrées qui desservent ces villages sont inutilisables, à cause de la boue. En l’absence de tout moyen de transport, les élèves doivent marcher à pied quelques kilomètres pour rejoindre la route principale.
Environ 6 500 enfants devraient pouvoir bénéficier de jardin d’enfants, obligatoire dès l’âge de quatre ans, mais il y en a à peine quelques centaines qui y vont car il n’en existe que 30. La plupart des enfants restent donc à la maison.
Il n’y a pas d’école secondaire dans ces villages. En conséquence, 40 % des élèves abandonnent avant la fin du secondaire. Ceux qui persévèrent pour continuer leurs études doivent faire 40 à 60 km pour atteindre l’école. Seulement 27 % des élèves bédouins achevant le secondaire réussissent au baccalauréat, contre 43% dans le secteur juif de la région.
La santé
Il n’y a que 9 dispensaires (sans électricité et sans eau) pour 76 000 habitants dans ces 36 villages non reconnus. Ces dispensaires donnent les soins médicaux de base, mais, pour les soins plus approfondi,s les habitants doivent se rendre dans des cliniques régionales à des dizaines de kilomètres de chez eux. De plus, sans électricité, ces dispensaires ne peuvent conserver les médicaments au froid, en particulier les médicaments pour les maladies chroniques.
Il faut en moyenne 45 minutes aux ambulances pour relier Beérshèva à ces villages. C’est seulement pour des cas exceptionnels que les ambulances du Maguen David arrivent au village. La plupart du temps les patients doivent rejoindre la route principale par leurs propres moyens.
Les enfants
Entre 40 et 50 000 enfants vivent dans ces villages. 60 % d’entre eux sont pauvres. La mortalité infantile chez les Bédouins est en moyenne quatre fois plus élevée que chez les Juifs. À cause de l’absence d’égouts et de ramassage des poubelles, les détritus s’amoncellent près des maisons et les enfants jouent dans cet environnement malsain. En été, environ 16 000 enfants de ces villages sont hospitalisés à cause de la diarrhée contre 5000 enfants juifs. Le pourcentage d’hospitalisation des enfants bédouins est en général 10 fois plus élevé que celui des enfants juifs.
(Documents traduits par Suzanne Millet)
Les sentiments évoluent, les voitures de non musulmans se font lapider dans cette ville.
Un proverbe dit que quand l'assiette est vide les chiens se battent. Pour éviter des problèmes il faut du travail dans le Negev, et beaucoup de travail.
Le climat y est beaucoup plus désagréable qu'en Judée Samarie, mais ce territoire n'est pas contesté, enfin, pas encore contesté, car les bédoins vont bientôt le revendiquer. Leur hostilité à IsrAël ira en grandissant si Israël n'est pas capable de leur trouver du travail. Toutefois s'ils continuent à avoir autant d'enfants, je ne vois pas comment améliorer la situation ! !
Pourrais-tu m'expliquer une chose: habite-tu ISRAËL ? ? ? as tu servi dans cette Armée " TSAHAL", connais - tu ce Pays avant d'avancé et colporté des reportages de France 24 et compagnies, tous des Antis-Israëliens. Non, tu ne fais que répéter ce que tu lis, forcément en ne peu pas contredire un grand Quotidien, mais il faut vivre là bas pour le voir
avec eux longuement en arabe, stp, après avoir était opérer du coeur mon voisin de gauche, c'était la fiesta de toute la tribue, les gateaux et les boissons à GOGO, j'ai été inviter à trinquer avec lui et sa famille, respectueux tous envers moi, il n'y a rien à dire, l'Infirmier en chef de la relève, était un Bédouin et je rigollais énormément avec lui, très simpathique et brave par dessus le marcher. Pour celà ifaut vivre au PAYS POUR LE SENTIR VIVRE, ne pas dramatiser avec les commentaires d'un vulguaire journaliste pouilleux en quette de SCOUP.
Oui il y a du travail à faire sur ce ujet Grave, que tous les gouvernements ont délaissés partiellement leurs travaux sur le terrain. Il y a des amélioriations à éxécuter en urgence, la populations grandis avec une vitesse grand "V" et il y va de soit d'agir rapidement, le gouvernement en est conscient et il réagit coup par coup, c'est pas évident dans une seule cadence gouvernementale de le réaliser , il faut du TEMPS ET DE L'ARGENT.0 Moi je suis réaliste comme tous les Israëliens, nous vivons Tous, au jour le jour, au petit bonheur la chance avec des OVER DRAFT au quotidien ( découvert bancaire autoriséà trois fois la paye mensuelle), c'est uniquement en ISRAËL
Il s'agit bien d'une course contre la montre, et les problèmes seraient plus facilement résolus si la croissance démographique était moins forte.
Question confort. en Israel, j´ai souvent vu des bus qui n´ont rien à envier aux bus de France.