Un « léger » mouvement de panique, mêlé à une certaine admiration, parcourt les sites de partage de contenus ou blogs de ce que le monde francophone compte d’anti-israéliens, d’antisionistes,… qui se trouvent être souvent antisémites pour la plupart.
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Les réactions sont souvent les mêmes toutefois : « Ils s’attaquent à notre liberté d’expression ! ». Nous pensons en effet que tout ne peut pas se dire ou s’écrire, et le fait que la F.D.I.I ait été créé est un élément de plus, malheureux, dans la longue histoire de l’antisémitisme.
« Notre liberté s’arrête là où commence celle de l’autre » est une phrase que nous pensions être connue de tous. S’attaquer aux juifs, les définir d’escrocs, de dominateurs ou de conspirateurs n’est pas une liberté, mais une maladie qui doit être combattue. Elle doit l’être pour éviter que l’histoire se répète, n’en déplaise à beaucoup de nostalgiques qui se sentent logiquement visés par notre combat légitime.
N’oublions pas non plus que le combat de la F.D.I.I est de faire supprimer des contenus haineux -illégaux-, et non pas de supprimer les haineux, comme d’autres l’ont fait ou le font encore aujourd’hui. Ceux-ci se retrouvent d’ailleurs souvent dans les combats que nous vous proposons.
Donc oui, nous nous attaquerons à vos contenus illégaux, et non pas à votre liberté d’expression. Le drame, aujourd’hui, est que nous avons du créer la F.D.I.I. Nous aurions mieux à faire que de combattre la haine et le racisme. Ce n’est pas le remède qui est critiquable, mais le virus lui-même.