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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLa Turquie nie l’ultimatum d’Obama18 Août 2010 - Juif.org
    Après le déni de Washington, Ankara nie à son tour les rapports disant que le président américain Barack Obama avait personnellement averti le premier ministre turc que les Etats-Unis ne vendraient plus d’armes à la Turquie a moins que ce pays ne change son approche envers Israël et l’Iran.
Le journal turc Zaman a rapporté mercredi que les autorités d’Ankara nient avec colère les informations publiées par le Financial Times britannique plus tôt cette semaine. « Aucun pays ne peut mettre en garde la Turquie, affirme le ministre turc des affaires étrangers, Ahmet Davutoglu, « nul ne peut afficher une telle attitude envers le premier ministre turc. » Davutoglu réagit comme si il pensait que la Turquie d’aujourd’hui était encore l’empire Ottoman d’avant-hier.
Le Financial Times citait une sources américaine disant que lors d’une rencontre entre Obama et Erdogan en marge du sommet du G-20 à Toronto, le président américain avait déclaré que les récentes actions d’Ankara, y compris un vote contre des sanctions contre l’Iran, pourrait rendre difficile pour l’administration américaine d’approuver la vente d’armes à la Turquie. Obama faisait en particulier référence aux difficultés que cela pourrait poser au Congres.
Cependant, le ministre turc des affaires étrangères a insisté disant que la réunion au Canada a été « une rencontre amicale qui a eu lieu en conformité avec les relations entre deux pays alliés. »
Le président turc Abdullah Gul a également nié le rapport cette semaine, disant : « il n’y a pas de problème dans les relations avec les Etats-Unis. » Selon Gul, « la Turquie avec laquelle certain avaient pris l’habitude n’existe plus. Au lieu de cela, il y a une Turquie qui joue un rôle central dans de nombreux processus. Et il y a ceux qui sont désorientés par cela. »
Le gouvernement turc prétend que les liens avec les Etats-Unis sont bons, et note la collaboration pour stabiliser l’Afghanistan et préparer le retrait d’Irak.
La Maison Blanche a démenti l’information lundi. « Il n’y a pas d’ultimatum, » a déclaré le porte-parole de la Maison Blanche, Dan Burton, ajoutant qu’il n’avait aucune idée d’où pouvait venir ces spéculations. Le porte parole a déclaré qu’Erdogan et Obama ont parlé quelques jours avant le rapport, et ont discuté de l’Iran, de la flottille pour Gaza, et d’autres questions connexes. Il a souligné que le dialogue avec la Turquie était en cours, mais qu’aucun ultimatum n’a été donné.
Pour rappel, l’article du Financial Times ne parlait pas d’un « ultimatum », mais d’une mise en garde faite à la Turquie. L’article précisait que des futures ventes d’armes, qui doivent êtres approuvées par le Congres, aurait du mal à passer cette étape si la Turquie ne changeait pas son attitude vis-à-vis d’Israël et de l’Iran. Le fait que la Turquie et la Maison Blanche nient l’existence d’un ultimatum ne change rien au corps de l’information publiée par le journal britannique, mais tente seulement de sauver la face à Obama et la Turquie, qui de toute manière n’ont aucun poids dans cette affaire. Articles connexes
10 commentaires
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Je suppose que c´est une erreur d´impression "PAR (et non pas pour) un tireur encore indéterminé"
Si il était "à poil" devant une ambassade, c'était un manque de respect manifeste et une provocation. Par sa nudité, il a montré ainsi qu'il était déjà prêt à retrouver ses "vierges" là-haut. Son voeu a été exaucé.
Cet abruti (qu'il soit turc ou palos) n'a eu que ce qu'il méritait. Point barre. Pas besoin de + de littérature sur les divagations/errements de ces malades mentaux.
AM ISRAEL HAY
Décidemment, les turcs (du moins les chefs que ces malheureux turcs ont à leur tête actuellement) souffrent toujours d'alzheimer.
Tout comme ils nient le génocide arménien (et là ils peuvent encore "endormir" pas mal de monde, vu le peu de rescapés du génocide qui doit continuer à exister), ils nient maintenant les paroles d'obamarabe. Entre menteurs, c'est le bras de fer..et Israêl qui compte les points....
AM ISRAEL HAY