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Israël : Défense au Moyen-OrientTsahal se prépare à incorporer les 'haredimLa loi Tal venant d'expirer sans être remplacée, laissant à l'armée israélienne le soin de traiter le problème des milliers d'étudiants en Torah a plein temps qui sont soudainement devenu obligé de s'enrôler dans l'armée. Maintenant, un plan en trois volets a été révélé et qui verrait la communauté 'haredi (ultra-orthodoxe), le principal bénéficiaire de la dispense de la loi Tal pour les érudits en Torah, capable de s'enrôler tout en maintenant des normes élevées d'observance de la Torah. Le programme verrait un tiers des hommes 'haredi s'enrôler dans des unités combattantes, un tiers servir dans la police israélienne ou le service civil, et un tiers s'enrôler dans différentes unités de soutien de l'armée, en particulier dans les renseignements et la force aérienne. Pour faciliter leur enrôlement, l'armée crée trois autres régiments du Nahal 'Haredi, un programme qui vise à aider les hommes religieux à maintenir leur mode de vie pendant leur service militaire. Dans le cadre du programme, les soldats recevront de la nourriture préparée selon les normes de chacheroute les plus strictes, auront chaque jour du temps pour étudier la Torah, et ne serviront pas aux côtés des soldats de sexe féminin. En outre, les unités sont mises en place pour permettre aux 'haredim de servir près de leurs maisons. Par exemple, les hommes vivant à Tsfat pourront servir dans des unités de stockage dans des bases à proximité, et rentrer chez eux dans la soirée. Ce dernier programme est toujours en attente de l'approbation du gouvernement. Les commandants de Tsahal étudient également l'option de dire que les hommes qui ont appris la Torah à plein temps en vertu de la loi Tal et qui ont maintenant plus de 21 ans pourraient rejoindre la population active sans avoir à faire leur service militaire. Articles connexes
9 commentaires
| Membre Juif.org
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28 Juillet 2014
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27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
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e
Il y a aussi des individus avec des QI qui pourraient trouver des voix dans les transmissions la logistique les sions les ambulances les pompiers la défense passive la conduite d engeins etc....
J ai la conviction qu a 5 ans ils en redemanderont .....
Cette population va intègrer de mixer et le pays s enrichira de cette nouvelle population de citoyens a part entière et le pays s en trouvera grandit
shalom.
Au Moyen-Orient, les accords Sykes-Picot (1916) et le pacte de Bagdad (1955) ont exhalé leurs derniers remugles à la chute du mur de Berlin, lorsque l’Occident se retrouva orphelin de ses meilleurs ennemis alliés de l’ours soviétique.
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A l’époque, certains évoquaient déjà la fin de l’histoire ; d’autres, moins utopistes, sentaient poindre le retour du spirituel voire la « revanche de Dieu » (Gilles Kepel) à l’aube du XXIe siècle.
A Damas, la vieille alliance avec le cousin perse permit d’oublier l’implosion du grand frère soviétique.
Le temps que la politique étrangère russe renaisse de ses cendres, les conseillers militaires venus de Moscou plièrent bagage, laissant la place aux pasdarans iraniens et autres agents de liaison avec le Hezbollah libanais.
Cette coproduction syro-iranienne, née en pleine guerre Iran-Irak, lorsqu’en 1982, un bref armistice laissa passer un convoi de Gardiens de la Révolution de Téhéran à Beyrouth, allait sceller la synthèse islamo-nationaliste devenue hégémonique à l’intérieur du monde arabe.
Son secrétaire général Hassan Nasrallah, élu par ses pairs en 1992, résume à lui seul le cheminement idéologique du Levant au XXe siècle : fils d’un militant du Parti Social-Nationaliste Syrien (PSNS), ce trent
Ces organisations non gouvernementales affirment que depuis l’expiration de la loi Tal, les étudiants de Yeshiva ne sont plus admissibles à recevoir des fonds d’Etat, qui s’élevaient à quelque 30 millions de shekels (environ 6 millions d’euros) par mois.
Selon eux, il n’y a pas plus de base légale pour exempter les étudiants de yeshiva du service militaire et le gouvernement devrait cesser de financer 54.000 étudiants de yeshiva.
La pétition a été déposée par Hiddush, Israël libre (deux organisations non gouvernementales qui veulent promouvoir la liberté religieuse et l’égalité), le Forum pour un service égal et l’ancien député Ronny Brison (Shinui) .
Ils soutiennent que les critères de financement pour les étudiants de la yeshiva concernent ceux qui sont exemptés du service militaire service conformément à la loi Tal.
La situation juridique ayant changé depuis le 1er août, date d’application d’une décision précédente de la Cour suprême qui mettait fin à la loi Tal pour discrimination, les 54.000 étudiants de Yeshiva exemptés de service militaire et qui bénéficiaient des fonds publics, n’y ont plus droit et doivent s’enrôler dans l’armée, comme le font les autres Israéliens.
Toutes les tentatives d’édification d’une nouvelle loi Tal, la commission Plesner, le ralliement de Kadima à la coalition gouvernementale, ont échoué.
Cette semaine, la nomination d’Avi Dichter comme ministre de la défense civile, fut un autre coup porté à Kadima.
Toutefois, si aucune solution n’est trouvée avant de nouvelles élections, une partie de l’opinion publique pourrait en tenir rigueur au premier ministre Netanyahou, qui n’a pas voulu affronter directement le camp haredi.
Le ministre de la Défense Ehud Barak a chargé Tsahal de rétablir la dernière version de la loi sur le service militaire, en vigueur à partir de 1968, et de présenter, dans un mois, une proposition concrète en ce qui concerne la mise en œuvre de la loi dans la communauté ultra-orthodoxe.
Cela pourrait servir de solution temporaire jusqu’à ce que la Knesset légifère à nouveau pour réglementer de façon permanente le projet ultra-orthodoxe.
Shahar Ilan, vice-président de Hiddush, estime que le financement des étudiants de yeshiva, lorsque la loi Tal était en vigueur, coutait environ 30 millions de shekels (6 millions d’euros) par mois et 400 millions de shekels (60 millions d’euros) par an.
Le rabbin Uri Regev, directeur exécutif de Hiddush, a déclaré que le principe doit être clair.
"Celui qui ne sert pas ne doit pas recevoir de fonds de l’Etat.
Toute tentative de transférer les fonds constitue une violation flagrante de la loi."
Misha Uzan/JForum (Correspondant spécial)
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