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Israël : infos SociétéL'Iran interdit l'exportation de 50 produits à cause des sanctionsL'Iran a interdit l'exportation de près de 50 produits de base, ont déclaré mardi des medias iraniens, alors que le pays prend des mesures pour préserver les produits essentiels alors que les sanctions occidentales se renforcent. La dictature islamique est sous une intense pression financière à cause des restrictions commerciales imposées par les Etats-Unis et l'Europe contre son programme nucléaire. Les interdictions ont conduit à une forte baisse des exportations de pétrole au cours de la dernière année, une source importante de devises et de revenu pour le gouvernement. Le Rial iranien a également chuté à cause des craintes que la banque centrale iranienne ne sera pas en mesure de défendre sa valeur, rendant les importations plus difficiles et plus coûteuses. Les commerçants iraniens ne seront plus en mesure d'exporter des biens tels que le blé, la farine, le sucre et la viande rouge, ainsi que les lingots d'aluminium et d'acier, selon une lettre du ministre de l'industrie publiée mardi dans les medias iraniens. La lettre dit aussi qu'une nouvelle liste de produits interdits sera publiée ultérieurement. L'agence de presse Mehr a déclaré que l'interdiction inclut la réexportation de certains produits importés grâce a des subventions gouvernementales sur le dollar. Le gouvernement iranien fournit des dollars à un taux de 12 260 rials pour un dollar pour des produits prioritaires. Sur le marché libre, le dollar coûte environ 32 000 rials. Nombre des importations de base de l'Iran sont transportées par mer via des porte-conteneurs. Les produits alimentaires et de consommation ne sont pas visés par les sanctions, mais un nombre croissant de compagnies maritimes occidentales se retirent du commerce avec l'Iran en raison de la complexité des transactions, tout en craignant perdre également des affaires ailleurs. Ce mois-ci, la compagnie maritime Maersk a dit qu'elle arrêterait les escales au pays des ayatollahs. Selon l'organisation mondiale du commerce, près de 85% de toutes les exportations de l'Iran en 2011 étaient des combustibles et des produits miniers. Articles connexes
6 commentaires
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Leurs dieu va les punirs.L'Iran sera rayer de la carte.Que le Peuple se révolte, et punis leurs dirigeants de la même punition que l'ancien dictateur Irakien
Si le monde politique pense que avec l’embargo il parviendra à convaincre l'iran sans passer sur les armes?
tant mieux mais le monde musulman le sang de Dieu ne sir cule pas dans son corps.De tout souhait..que tout soit détruit.Nous ne savons pas exactement combien de temps ça reste encore pour voir l'Iran avec cet arme!
Le secrétaire général de l’OCDE Angel Gurría a annoncé il y a quelques heures que son organisation a l’intention de distribuer la technologie israélienne et le savoir-faire de l’Etat Juif dans les pays du tiers monde, pour aider les pays pauvres à faire face à la crise mondiale de l’eau. Gurria a fait son annonce lors d’une réunion tenue à la Société nationale de l’eau Mekorot à Tel-Aviv en présence d’eau et du ministre de l’énergie Uzi Landau.
« La crise mondiale de l’eau prend de l’ampleur et la demande en eau augmente à une vitesse beaucoup plus élevée que la population mondiale augmente », a déclaré Angel Gurria, ajoutant: «L’OCDE est à la recherche de connaissances, d’expériences et de professionnalisme pour résoudre la crise mondiale de l’eau. »
Au cours de la réunion, Mekorot a présenté des calculs en fonction desquels les dommages économiques mondiaux attendus en 2050 en raison de la crise de l’eau pourraient atteindre 800 milliards de dollars.
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La compagnie nationale israélienne des eaux a expliqué que ses calculs sont basés sur les données de l’OCDE qui stipule que 40% de la population mondiale souffrira de pénurie d’eau en 2050, principalement en Afrique, Amérique du Sud et Asie de l’Ouest.
Mekorot a présenté les technologies qu’il a développées pour faire face aux crises de l’eau. Parmi les innovations présentées : la capacité à produire de l’eau dans les zones arides comme les déserts par le biais de forage à des profondeurs de plus de 1,5 km.
En outre, la société a présenté les développements destinés à atténuer la crise de l’eau dans les pays du tiers monde. Ainsi, un projet prévoit de développer les infrastructures de l’eau dans l’une des régions les plus arides du monde : l’Ouganda. Quelque deux millions de personnes vivent dans la région la plus sèche de ce pays.
Elyes Kahn – JSSNews