Le ratio entre terroristes et civils arabes morts lors de l'opération Bordure Protectrice est d'un sans précédent 1:1, selon une nouvelle étude publiée la semaine dernière, soutenant les conclusions antérieures concernant les soi-disant "victimes civiles" que la propagande du Hamas a fait paraître dans des medias internationaux plus que conciliants avec le groupe terroriste islamiste.
Selon le très respecté Meir Amit Intelligence and Terrorism Information Center (ITIC), 49% des "martyrs" figurant sur la liste du "ministère palestinien de la santé" (MPS) dirigé par le Hamas sont liés à des organisations terroristes, seulement 51% ont été confirmés êtres des victimes civiles.
L'étude, qui a examiné le décompte des morts du MPS depuis les premières étapes de la guerre, a maintenant pu confirmer l'identité de près de 40% des victimes publiée pendant la guerre, soit quelques 842 personnes.
Selon l'ITIC, sur ces 842 personnes :
- 354 étaient des terroristes.
- 367 étaient des civils non impliqués.
- 121 n'ont pas été identifiées à ce stade. Par conséquent, il n'est pas encore possible de déterminer si elles appartenaient à des opérations terroristes ou non.
- Sur les 721 morts qui ont pu être identifiés, les terroristes constituent environ 49% des noms. Les civils non impliqués représentent environ 51%.
- En outre, deux noms considérés à l'origine comme des victimes civiles ont été re-identifiés comme membres de "l'aile militaire" du Hamas, les brigades Al-Qassam. Un troisième a été re-identifié comme un membre du Djihad Islamique.
Le MPS, le corps officiant pour les morts à Gaza, qui a reçu un monopole sur les medias occidentaux, est dirigé par un terroriste du Hamas bien connu, le "docteur" Ashraf Al-Qurda".
Le MPS ne fait pas de distinction entre terroristes et civils, mais plusieurs "groupes palestiniens des droits de l'homme", dont un groupe basé à l'ONU, l'ont fait, et ont avancé que le taux de victimes civiles était entre 72 et 82%.
Israël, cependant, a maintenu depuis le début des opérations que quelques 900 des personnes tuées, soit 47%, étaient des terroristes.
Un tel ratio entre combattants et victimes non-combattantes, environ 1:1, est presque sans précédent dans l'histoire de la guerre urbaine.
Les résultats de l'enquête de l'ITIC arrivent au milieu de la propagande des dirigeants arabes qu'Israël a commis un "génocide" et des "crimes de guerre" lors de sa campagne antiterroriste de 50 jours à Gaza. Ces mêmes dirigeants arabes qui ne peuvent plus compter le nombre de leurs citoyens qui ont eu la tête coupée, qui ont été enterrés vivants, qui ont été massacrés ou violés soit par leurs armées régulières soit par des groupes terroristes arabes se revendiquant de l'Islam djihadiste.
