|
![]() Une guerre sous anesthésiant
L'Europe, globalement, se laisse envahir docilement. Les changements plus que tangibles sur le terrain sont accueillis par la civilisation en voie de remplacement avec le sourire. La guerre, dont le vainqueur impose les règles, a changé de formule. Ce n'est plus l'armée du plus fort qui fixe la culture et la population dans un lieu donné. Aujourd'hui, les invasions démarrent en douceur, pour passer graduellement, insensiblement, a un accomplissement plus violent, exigeant de jour en jour plus de concessions de la part de l'occupé. Donc, au départ, l'Européen ne s'aperçoit de rien. S'il remarque une immigration certaine, il considèrera avec indulgence qu'ainsi va le monde, ses propres ancêtres n'ayant pas toujours vécu, eux non plus, sur ce sol. Par conséquent, il s'imagine que les nouveaux venus se fonderont, comme le firent ses propres parents en leur temps, lors de l'essor industriel de la seconde moitié du XVIIIe siècle ou des grandes invasions de l'Antiquité, dans le paysage socioculturel global de leur nouvelle patrie, en abandonnant leurs ex us et coutumes, dont la langue, en faveur des habitudes déjà établies, tout en y ajoutant parfois une touche culturelle, culinaire souvent, qui sera, à la longue, absorbée par la civilisation d'accueil. C'est ainsi que des plats ou des condiments considérés comme typiquement européens, comme notamment le thé, viennent en fait de contrées lointaines, quoiqu'ils n'aient pas nécessairement été introduits par la voie de l'immigration, mais par des autochtones revenus au bercail. Au départ, les premiers contacts se passent souvent très bien. Bienvenue aux arrivants, bénis soient les habitants. Le nouveau est souvent gêné, un peu maladroit, pas encore bien installé et il peut se fier à la commisération et à l'esprit de solidarité humaine qui ne manque pas de s'éveiller à son égard. Le malaise s'installe ensuite graduellement: les écarts et excès de certains ex nouveaux venus, voire de leurs enfants paradoxalement nés en Europe dans la mesure où toutes les chances leur sont données pour réussir, avec l'égalité des droits, de la scolarisation, etc., sont tolérés par les indigènes qui ne voudraient pas, par une réaction intransigeante, risquer de troubler la paix avec le voisinage qu'ils reconnaissent comme primordiale. Ils sont donc prêts, puisque la liberté de l'un s'arrête là où celle de l'autre commence, à déplacer et faire reculer la ligne qui démarque précisément ces deux libertés. L'espace de l'autochtone se réduit comme peau de chagrin, car il ne faudrait pas, pour quelques détails sans importances, du moins aux yeux de gens éclairés, tout remettre en cause. Cette dialectique l'oblige à déplacer à chaque fois les bornes en les rapprochant de lui précisément pour éviter qu'elles ne soient dépassées. Mais là où il est poussé à bout, c'est lorsque non seulement il ne peut plus bouger, mais qu'il est en plus agressé dans le peu d'espace qui lui reste. Alors seulement, il tente de se défendre et de lutter pour faire valoir les principes de la démocratie, la liberté et la laïcité pour lesquels ses parents avaient fait la guerre, de la prise de la bastille à la loi sur la séparation de l'Eglise, devenue musulmane, et de l'Etat. Mais c'est là qu'est le hic, car la caste politique, qui n'est pourtant pas plus aveugle que le citoyen moyen, et qui ressent l'invasion au moins autant que lui, sera capable de sacrifier l'avenir et même le présent de son pays pour quelques bulletins de vote de plus. En attendant que les tenants de la nouvelle Europe puissent se passer des partis politiques en présence, le temps de s'organiser et de prendre encore plus d'ampleur pour en créer de nouveaux et hisser au pouvoir leurs propres représentants, les politiciens en tous genres sont prêts à se montrer émerveillés, envoûtés, par l'exotisme duquel ils étaient encore en mal il n'y a pas si longtemps. L'islamisation fera sourire le politicien, et il s'acharnera contre celui qui ne « ramade » pas, le traitant de raciste s'il se plaint qu'on égorge quelque bélier dans l'entrée de son immeuble, ou qu'on s'accoutre en dépit des droits de la femme. Le bon citoyen, qui ne fait pas la fête toute la nuit en dérangeant ses voisins, parce qu'il travaille, qui ne brûle pas de voitures à l'aïd ou le quatorze juillet, parce qu'il respecte le bien d'autrui, sera diabolisé, inculpé pour racisme, alors qu'il n'aura qu'été agressé par tout un système de « coutumes », et il ne lui restera plus qu'à marcher à l'ombre. Et, quand il devient minoritaire, les médias, de concert avec l'ordre, lui reprochent, s'il ne l'a pas déjà fait, de ne pas s'être cherché un autre logement dans un autre environnement, tant qu'il en reste. Mais là où le bât blesse, c'est que les deux civilisations, la nouvelle comme l'ancienne, ne manifestent aucune considération pour la femme, si ce n'est en lui conférant le rôle de femme objet: objet privé chez le Musulman, qui la drape totalement pour qu'elle échappe au regard de l'autre, en lui interdisant toute féminité ; objet public chez l'Européen qui veut la voir sous toutes ses coutures, et qui ne respecte ni son intimité ni sa pudeur. Si dans l'une elle «sait» pourquoi elle est battue même lorsque son «propriétaire» ne le sait pas ; dans l'autre, elle est soumise dès son plus jeune âge à un terrorisme et des pressions psychologiques dont le seul but est d'en faire un objet de plaisir pour les mâles. Or, comme il faut qu'elle accepte, la société en général se chargera de la persuader d'être consentante, la méprisant et la «libérant» en la bousculant, après avoir par la raillerie et la pression soumis et dompté sa personne physique. D'autres, pour ne pas que leur Dame soit recyclée en mosquée, chantent les «mérites» de l'obscurantisme médiéval et cherchent à faire replonger l'Occident dans ce qui l'avait opprimé pendant des siècles, le rendant servile par le servage dont il s'était sevré, ce qui avait empêché tout progrès humain, scientifique ou médical, comme cherche à le faire aujourd'hui le camp de l'anti paix qui se frotte au monde libre par le ventre de ses femmes. Concluons ce propos par une parole inhérente à la pensée et à la bonne morale de la France: «Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas que l'on te fasse à toi-même». L'Europe, et tout particulièrement le Royaume-Uni, par se politique et son travail de sape médiatique – n'oublions pas que l'Empire du soleil couchant s'était dédit de la déclaration Balfour en privant les Juifs de la Transjordanie, instaurant le livre blanc pour empêcher la renaissance d'un Etat Juif en Palestine, juive aussi – entrave du mieux qu'elle peut le rétablissement du royaume de Juda, qualifiant les Juifs revenus d'exil rétablis en leurs frontières de colons, et exerçant sur les dirigeants d'Israël malheureusement influençables, toutes sortes de pressions pour les contraindre à signer des accords catastrophiques et à abandonner leur terre après près de deux mille ans d'errance. Tel est pris qui croyait prendre et on voit bien comment, le rayonnement en déclin se confond en excuses devant ses nouveaux maîtres quand l'un des participants à un débat télévisé qualifie l'i-slam de belliqueux. Or, les Anglais, loin de chercher à s'amender, lancent des mandats s'arrêt internationaux contre les dirigeants juifs qui se battent contre leurs agresseurs. Et ceux qui voulaient tellement voir les Juifs se faire dévorer leur terre par l'occupation islamique se sont vu eux-mêmes envahis par leurs protégés, et les spoliateurs de la terre des Juifs qu'ils cherchent nuit et jour à faire passer pour des victimes jouent sous leurs fenêtres et dans leurs rues la même comédie. VSD
à Contre-Courant
Eliane Ketterer
Ftouh Souhail
Walid Shoebat
12 commentaires
Ajouter votre commentaire !
Vous devez être membre de Juif.org pour ajouter votre commentaire. Cliquez-ici pour devenir membre ! | Membre Juif.org
Il y a 2 heures - Times of Israel
Il y a 2 heures - Le Figaro
Il y a 2 heures - Le Figaro
Il y a 3 heures - Juif.org
14 Mai 2025 - Le Monde diplomatique
20 Mai 2025 par Claude_107
20 Mai 2025 par Claude_107
19 Mai 2025 par Blaise_001
19 Mai 2025 par Blaise_001
18 Mai 2025 par Claude_107
22 Mai 2025 - Torah-Box
22 Mai 2025 - Torah-Box
4 Mai 2025 - Le Monde Libre
4 Mai 2025 - Identité Juive .com
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
cliquer ici
source : http://vudejerusalem.20minutes-blogs.fr/
Pour tous les Israéliens, le nom de Roi Klein est devenu le synonyme de l’héroïsme, du sacrifice de soi, et de toutes les valeurs du sionisme d’antan, qui se perpétuent jusqu’à nos jours. Ce jeune officier, tombé pendant la Deuxième Guerre du Liban en se jetant sur une grenade pour sauver ses soldats, a rejoint dans l’histoire de notre jeune Etat les héros les plus mythiques, depuis Joseph Trumpeldor jusqu’à Yoni Netanyahou... Il n’est pas anodin que les circonstances de sa mort soient identiques à celles de la mort d’un autre jeune soldat, Nathan Elbaz, tombé pendant la guerre d’Indépendance, et immortalisé par un poème de Nathan Alterman.
Notre reine amazighokabyle de confession juive nous a enfanté NOUS LE PEUPLE KABYLE ET L'IMPOSTURE MONDE COLONIAL DIT ARABE SAIT OU SAURA QUE sa defaite vient de commencer avec LA PRISE DE CONSCIENCE IDENTITAIRE ET TERRITORIALE DU PËUPLE VAILLANT KABYLE NON ARAbaisé PAR LA DOCTRINE DU MALEFIQUE MAHOMET DIT MOMOH L'arabe aieul de benladen et des rois faineants arabes.
Nous rêvons du jour où une legion de combattants kabyles sera à côté des enfants d'israel pour combattre la colonisation larabonazislamique et ses relais.
Mille mercis pour ceux et celles qui signent la petition que voici
http://mak.makabylie.info/La-justice-algerienne-lance-un?lang=fr
VIVE LE PEUPLE JUIF VIVE LE PEUPLE KABYLE QUE DIEU GUIDE LEURS PAS VERS LEUR LIBERTE ET LA RECUPERATION TOTALE DE LA TERRE DE LEURS ANCÊTRES QUI EST ENCORE ENTRE LES MAINS MALEFIQUES DE L'IMPOSTURE MONDE COLONIAL DIT ARABE ,AMEN