Par souci de clarté pour tous nos lecteurs, j’utiliserai ici un langage très simplifie et image.

Pour commencer, il faut savoir qu’un virus est un tout petit organisme vivant, pouvant s’intégrer dans n’importe quel autre organisme vivant et y résider plus ou moins longtemps.

L’organisme hôte dispose de toute une batterie de contrôles et de défenses aussi bien externes qu’internes, lui permettant de contrôler les effets éventuellement néfastes du virus. Lorsque cet ensemble défensif prend le dessus sur la présence virale, alors tout se passe bien pour l’organisme hôte dans son ensemble ; si par contre ce sont les effets nocifs du virus qui prennent le dessus, s’installe alors un état dit pathologique, en d’autres termes la maladie associée au virus en question. C’est à ce stade qu’intervient le corps … médical cette fois ci, pour enrayer les effets du virus.

Mais dans tout cet arsenal de guerre biologique, existe une autre arme très efficace elle aussi, le vaccin. Le principe du vaccin est de fournir à l’organisme susceptible d’être attaque, la carte d’identité du virus suspect afin que celui-ci soit intercepte des son entrée sur le territoire à protéger.

Voila en gros les grandes lignes biologiques des virus et des moyens de lutte à leur égard. Dans le contexte mondial actuel, le vent de panique général a pousse les gros laboratoires pharmaceutiques a développer au plus vite un vaccin efficace contre le virus H1N1 et surtout a le vendre en grandes quantités…..et la je vous pose la question, en y regardant de plus près, qu’est ce que cette grippe a de plus meurtrier que les autres et en quoi des morts par ci par la en font une menace mondiale imminente ?Est ce que cette propagande alarmiste ne serait pas du pain béni pour les gros bonnets de la pharmacie mondiale en quête de revenus complémentaires en cette période de crise financière ?

La question reste posée……et à vrai dire je suis persuade que notre cher ministre des affaires stratégiques Moshe Ayalon se l’ai très justement pose, n’existe-t-il pas aujourd’hui des virus plus nocifs et plus dangereux que celui de la grippe A ? Il semble que sa réponse soit oui (la mienne aussi…).

Certes nous ne parlons plus ici d’organismes biologiquement dangereux, mais politiquement nocifs. Ces virus politiques, très justement nommes et désignés par Moshe Ayalon, ont en effet toutes les caractéristiques des virus biologiques telles que décrites ci-dessus. Ils sont petits, très vivants et très actifs, ils prennent en général pour cible les organismes les plus faiblement équipés pour leur résister, c'est-à-dire les démocraties et en ce qui nous concerne une des democraties les plus démocratiques du monde, l’état d’Israël. Une fois a l’intérieur de la victime, ils agissent très sournoisement, réussissant même parfois à se tisser des amitiés bien placées au sein même de toute la stratégie de défense, la haute cour de justice israélienne par exemple pour ne citer qu’eux.

Mais comme tout corps malade, arrive le moment ou l’on désire se débarrasser définitivement du microbe, et voila qu’a un échelon très élevé du processus biologique de l’état se dessine un antidote désireux d’en finir avec la maladie chronique et qui commence par le commencement, c'est-à-dire nommer les choses : le groupuscule gauchiste extrémiste La Paix Maintenant est un virus dans le paysage politique israélien ! A partir de la, tel que nous l’avons appris plus haut, il ne reste plus qu’a lancer la phase qui suit : élaborer l’antidote définitif.

Mais voila que les effets pervers du virus se déclarent assez rapidement, le corps malade défend lui-même son agresseur interne et rejette en force la proposition de guérison qui lui est faite.