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![]() Forum des Entrepreneurs Francophones d’Israël
La quatrième rencontre du Forum des Entrepreneurs Francophones d’Israël (FEFI) s’est déroulée le dimanche 2 mai dernier au Centre Menahem Begin de Jérusalem, dans le cadre d’une conférence intitulée Jérusalem et sa métropole : une destinée commune. Etaient notamment présents les députés Tsipi Hotobely, Otniel Schneller et Ofir Akonis Une fois encore, la communauté francophone, à l’occasion de Yom Yéroushalyim, a démontré son dynamisme et son esprit d'initiative. Les députés Tsipi Hotobely (Likoud), Otniel Schneller (Kadima) et Ofir Akonis (Likoud, président de la commission économique à la Knesset), dont la participation a été coordonnée par Haïm Belichat, ont trouvé là l’occasion d’exposer leur position sur le statut de Jérusalem, son histoire et son avenir, face à la trentaine d’entrepreneurs et de dirigeants d’entreprises francophones présents. Les députés ont manifesté toute leur estime à l’égard des francophones de Jérusalem, dont le nombre et l’influence vont croissant, et ils ont plus particulièrement rendu hommage aux entrepreneurs qui contribuent au développement de la ville et de sa périphérie. La rencontre a aussi été marquée par l’intervention d’Itzhak Kidouchim, directeur général de Jolt Ltd, qui a retracé les grandes lignes de sa success story : il a ainsi évoqué l’étonnant parcours qui l’a d’abord mené de Djerba à Paris. Puis il a relaté les circonstances de son alyah en 1985, date qui a marqué le début de sa carrière dans la société technologique Jolt, qu’il dirige désormais à Har Hotsvim. Itzhak Kidouchim a notamment fait un tour d’horizon des défis inhérents à la gestion d’une société Hi-Tech à Jérusalem. Méïr Kalfon, directeur général de Hadas-Arazim, a pour sa part présenté les perspectives de coopération avec l’Union des Patrons Juifs de France (UPJF). Les organisateurs, Avraham Azoulay, directeur du "Ptit Hebdo" et Mordechay Rodogold, président-directeur général de Saphir Business Development, ont présenté la nouvelle plate-forme interactive du FEFI – www.meetup.com/FEF -, qui permet désormais une communication directe et continue entre ses membres. La rencontre s’est conclue par un débat, assez animé, sur la nature exacte des objectifs communs et des activités du FEFI pour l’année à venir, les axes majeurs proposés étant la création d’une passerelle avec les entrepreneurs en France, en particulier avec les PME à travers l’UPJF, la coopération avec les autres clubs d’affaires francophones en Israël, avec le network anglophone à Jérusalem, et le développement d’un dialogue avec les autorités économiques municipales et nationales. La quatrième réunion du FEFI s’est déroulée dans le cadre de la conférence Jérusalem et sa métropole : une destinée commune, qui a regroupé cent cinquante participants de Jérusalem et de sa région, parmi lesquels les maires de Mevasseret Tsion et d’Efrat, le président du Conseil régional de Maté Binyamin, les représentants de la municipalité de Jérusalem et plusieurs dizaines de personnalités venues des milieux politiques, économiques et académiques, tels que le professeur Shimon Shitrit, ancien ministre travailliste. La conférence s’est réunie à l’initiative du Mouvement pour le Renforcement de Jérusalem, du Conseil de Jérusalem et de sa Métropole, du Conseil Sioniste en Israël et des forums d’entrepreneurs anglophones et francophones à Jérusalem. Elle était orchestrée par le président du Mouvement pour le Renforcement de Jérusalem, Aryé Hess, et par le président du Conseil de Jérusalem et de sa Métropole, Haïm Belichat. Les députés ont présenté leurs initiatives, qui visent à promouvoir la métropole de Jérusalem comme capitale élargie d’Israël, incluant les municipalités et les villages autour de Jérusalem. Les maires présents ont quant à eux appelé à renforcer les liens et la coopération entre la ville de Jérusalem et sa région. Le Forum des Entrepreneurs Francophones a été crée en août 2009 à Jérusalem lors du congrès 12 heures en Israël ; il regroupe plusieurs dizaines d’entrepreneurs et de dirigeants d’entreprise francophones, anciens comme nouveau immigrants, actifs dans l’industrie, la finance, les services et les nouvelles technologies.
Bref, la coopération française à Jérusalem est une affaire à suivre... (Nehama Lévy) 2 commentaires
Nous aimerions aussi et surtout qu'ils dégagent pour les nouveaux immigrants et en particulier de France des emplois qui pourraient faciliter leur alya. Nous savons tous qu'un bon job à l'arrivée est une des principales raisons de la réussite et de l'adaptation au pays.
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