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![]() Lois concernant la période de Beyn Hamétsarim
Beyn Hamétsarim est la période de 3 semaines séparant le 17 Tamouz du 9 Av. Il est important de souligner que des différences existent entre les lois concernant la période de Beyn Hamétsarim de celle de la Sefirat Haomer.
1) Les coutumes appliquées depuis le 17 Tamouz 1.1) La bénédiction de Shéhéhéyanou sur un habit ou un fruit nouveaux durant cette période. La coutume durant Beyn Hamétsarim est de ne pas porter de nouvel habit ni de manger de fruit nouveau, pour ne pas avoir à réciter la bénédiction de Shéhéhiyanou. Cependant, en l’honneur de Chabat, nombreux sont ceux à se montrer moins stricts et récitent Shéhéhiyanou sur un habit ou un fruit nouveaux ; et ce, jusqu’à Roch Hodech Av (le Chabat suivant Roch Hodech Av non inclus). En revanche, selon le Ari Zal, on ne récite pas Shéhéhiyanou même durant les Shabatot de Beyn Hamétsarim. Les petits enfants en âge d’être éduqués mais incapables encore de distinguer ces jours de Beyn Hamétsarim du reste de l’année, pourront s’ils en ont particulièrement envie, recevoir un fruit nouveau et réciter la bénédiction de Shéhéhiyanou. Une femme enceinte prise d’un désir pour un fruit nouveau pourra en consommer, afin d’éviter tout risque de dommages que cette envie pourrait lui causer, à elle ou au fœtus, D… nous en préserve. Une controverse existe entre les décisionnaires au sujet de la récitation de Shéhéhiyanou dans ce cas. Selon le Michna Beroura, le Hida et d’autres maîtres, elle ne pourra pas réciter Shéhéhiyanou. Cependant, le Rav Ovadia Yossef Chlita recommande de le réciter en se basant sur plusieurs autres décisionnaires. Une personne malade, aura le droit de manger des fruits nouveaux afin de renforcer son appétit, car nos Sages n’ont pas inclus les cas de maladies dans ce décret. Au sujet de la bénédiction, la même controverse existe que pour la femme enceinte. Un couple ashkénaze qui a eu un garçon aura le droit de réciter la bénédiction Hatov Véhamétiv. La coutume séfarade étant de ne pas réciter cette bénédiction dans ce cas, la question ne se pose pas pour un couple séfarade. Il est permis de réciter le Gomel durant cette période. Si plus de 3 jours risquent de s’écouler depuis l’évènement ayant entraîné le Gomel, il sera même permis de le réciter le jour du 9 Av, à la lecture de la Torah de Minha où sont lus les versets de consolation.
1.2) La musique durant Beyn Hamétsarim
Depuis la veille au soir du jeune du 17 Tamouz jusqu’au 9 Av, on n’aura pas le droit d’écouter de musique jouée par des instruments. De nombreux décisionnaires incluent dans cette interdiction le chant même sans accompagnement musical. Cependant, si par son chant, une personne souhaite s’encourager et se renforcer dans son service divin, ou épancher son cœur devant D…, ce sera permis ; bien entendu sans accompagnement musical.
Cet interdit est valable durant toute cette période, et même pendant les heures précédant et suivant Chabat, ainsi que Roch Hodech. Les professeurs de musique ainsi que leurs élèves devront demander à un Rav la conduite à suivre concernant la poursuite de leurs études durant cette période. Les repas à l’occasion d’une mitsva, comme une Brit Mila, un Pidyon Haben pourront, d’après de nombreux décisionnaires, être accompagnés par des instruments de musique. Il serait même possible d’y danser. Certains discutent cette permission et interdisent la musique même à ces occasions. Cependant, tous s’accordent à interdire l’accompagnement musical à partir de Roch Hodech Av.
2) Les lois qui s’appliquent depuis Roch Hodech Av.
2.1) Les lois concernant la consommation de viande et de vin.
La coutume séfarade est de s’abstenir de manger de la viande (ceci incluant le poulet) à partir du 2 Av, lendemain de Roch Hodech. La coutume ashkénaze est de s’en abstenir aussi le jour de Roch Hodech Av. Les Ashkénazim ne boivent plus de vin à partir de Roch Hodech Av inclus. Lors de la préparation de plats carnés en l’honneur de Chabat, il sera permis d’en goûter pour en vérifier et ajuster l’assaisonnement. Cependant, certaines opinions ne le permettent que dans le cas où la nourriture n’est pas avalée mais rejetée de suite. Celui qui veut se montrer strict sera digne de bénédiction. Celui qui récite la bénédiction sur un morceau de viande, avant de se souvenir, qu' en cette période, il lui est interdit de le consommer, en goûtera un peu pour ne pas que sa bénédiction soit dite en vain.
Les restes carnés des repas de Chabat, pourraient, selon certains décisionnaires être consommés durant la semaine, y compris la semaine du 9 Av. Cependant, en pratique, on s’en abstiendra, plus particulièrement de nos jours où les congélateurs proposent une alternative d’application aisée)
En revanche, celui qui a la coutume de consommer chaque samedi soir une Melavé Malka à base de viande, pourra se baser sur les nombreux décisionnaires qui l’autorisent. Cette autorisation est valable même pour la Melavé Malka de Chabat Hazon. Les Ashkenazim devront à mon humble avis, se montrer plus stricts. On peut donner de la viande aux petits enfants, tout particulièrement s’ils sont de faible constitution. Les opinions sur l’âge limite varient entre, trois (quatre, six) et neuf ans. Selon le Rav Ovdya Yossef, on peut le permettre à un garçon jusqu’à 12 ans et un jour et 11ans et un jour pour une fille. La consommation de viande est autorisée à tout malade même à celui dont la maladie ne présente pas de danger. Une accouchée pourra consommer de la viande pendant les 30 jours suivant l’accouchement. Une femme qui allaite et qui a besoin de consommer de la viande pour avoir un lait de qualite pourra aussi consommer de la viande si besoin, et de preference du poulet.
La coutume des Séfaradim est de boire du vin de la Havdala du Chabat Hazon. La coutume Ashkénaze est de le donner à un enfant de plus de six ans mais ne sachant pas encore s’endeuiller sur la destruction de Jérusalem. Si un tel enfant n’est pas disponible, on pourra donner ce vin à boire à un enfant de moins de 13 ans. En l’absence d’enfant, celui qui a récité la Havdala boira lui-même la majeure partie d’un Reviit voire un Reviit et plus. Cette solution est préférable à la Havdala sur une boisson alcoolisée locale. Lors de repas organisés en l’honneur de Mitsvot il sera permis de consommer de la viande et du vin. Cette permission est valable jusqu’à Chabat Hazon inclus et concerne les repas de Brit Mila (que celle-ci ait été faite en son temps ou repoussée pour raisons médicales), les repas de Pidyon Haben, les repas de Bar Mitsva (le jour où le jeune garçon atteint les 13 ans révolus, voire même un autre jour si des paroles de Torah accompagnent le repas) les repas de Siyoum. Les repas de Brit Ytshak organisés la veille au soir de la Brit ne pourront être accompagnés de vin et de viande.
Ceux qui ont la coutume de ne pas boire de vin pourront boire d’autres boissons alcoolisées ne contenant pas de vin (anisette, whisky, liqueur…) mais devront s’abstenir de jus de raisin et même de vin dilué dont la bénédiction est Shéhakol. Les boissons « arôme raisin » resteront permises puisqu’elles ne contiennent pas de raisin naturel.
2.2) Les coutumes concernant les travaux d’aménagement
Durant cette période plus particulièrement à partir de Roch Hodech Av, on ne peindra ni ne chaulera pas les murs de sa maison. Cette interdiction ne vise que les peintures à but purement esthétique, à l’exception de cas particuliers où la peinture s’est gravement écaillée à cause de fuites ou d’infiltration et où il sera permis de repeindre l’endroit abîmé. (Pisské Teshouvot au nom du Rav Halbershtam Zatsal).
Il sera de même interdit de planter pelouses, fleurs et arbres dans les jardins lorsque son but est l’agrément qu’ils lui apporteront ; en terme d’ombre ou de décoration. Il sera en revanche permis d’arroser son jardin ainsi que de le désherber.
Durant cette période, on limitera tout achat en rapport avec des joies : achat d’affaires en vue d’un mariage, achat ou couture d’habits pour les futurs mariés. Cependant, si l’on risque de manquer de temps après le 9 Av ou si les prix vont augmenter, il sera possible de faire ces achats même durant cette période. De la même manière, on n’achètera pas durant cette période des objets de prix, ou des accessoires de confort ou de décoration. Par exemple, on n’achètera pas d’ustensiles en or ou en argent, ni de bijoux. On n’achètera pas d’armoires ou de placard, ni de gros électroménager comme un nouveau lave linge ou un sèche linge, ni de voiture. Un objet qu’il est interdit d’acheter ne pourra pas non plus être commandé durant cette période même s’il sera livré par la suite. Cependant, si après le 9 Av les prix du produit augmenteront ou qu’il ne sera plus disponible, on pourra le commander avant le 9 Av. Il faut souligner que lorsque l’achat concerne un objet indispensable de façon urgente, comme une nouvelle machine à laver lorsque l’ancienne ne fonctionne plus, ce sera permis, vu qu’il ne relève pas de plaisir ni du confort mais de la nécessité. Il sera permis d’acheter durant cette période des objets simples d’usage courants tels que couverts, marmites et autres ustensiles de cuisson, outils…
On ne construira pas un bâtiment.
On ne fera pas de travaux de construction ou d’agrandissement de maisons ayant pour but son propre confort pendant cette période. Cependant, si la construction est nécessaire comme celle d’une résidence principale pour qui n’en a pas, ou un agrandissement lorsque le nombre d’enfants le rend nécessaire, ce sera permis. A priori, on n’achètera ni ne louera de bien immobilier à partir de Roch Hodech Av lorsque le but est d’y habiter. De la même manière, on ne s’installera pas dans une nouvelle propriété durant ces 9 jours. Cependant, si l’on y est obligé, ce sera permis. Il serait bien dans ces cas là de fixer la Mezouza de la nouvelle propriété avant Roch Hodech Av. Il reste évident que la fête en l’honneur de l’inauguration de la maison ne pourra être célébrée durant cette période. Toutefois l'etude a laquelle nous avons la coutume de proceder en cet honneur est effectuable, mais sans musique etc.
3) Les lois relatives à la semaine du 9 Av.
3.1) Lois relatives à la lessive et au ménage
La coutume séfarade est d’interdire de laver le linge durant la semaine où tombe le 9 Av. la coutume ashkénaze est de l’interdire depuis Roch Hodech Av. Cependant, celui qui ne dispose que d’une seule tenue, aura le droit, même selon les Ashkénazim, de la laver jusqu’à la semaine où tombe le 9 Av. Les habits qui se salissent particulièrement vite pourront être lavés jusqu’ au 9 Av s’il ne lui en reste plus. L’interdiction concernant la lessive inclus le cas où on n’a aucune intention de porter les vêtements lavés avant le 9 Av. En revanche, laver les habits des petits enfants qui se salissent à grande vitesse est autorisé.
Les décisionnaires discutent jusqu’à quel âge il est encore possible de permettre cela. Selon le Kaf Hahaïm, la limite est l’âge de trois voire quatre ans. Certains permettent jusqu’à six ans, d’autres jusqu’à la Bar Mitsva. L’usage est de permettre jusqu’à l’âge de six ans, et passé cet âge, uniquement si les vêtements sont particulièrement sales. Lorsque l’on veut laver des vêtements d’enfants à la machine, il sera possible d’en laver une grande quantité à la fois, mais on n’y rajoutera pas de vêtements d’adulte. Il est recommandé, dans la mesure du possible, de laver et sécher ce linge discrètement et non au vu et au su de tous. De la même manière qu’il est permis de laver des vêtements pour les petits enfants, il sera aussi permis de leur acheter de nouveaux habits s’ils n’ont plus d’habits propres. A la différence de Hol Hamoed, il sera interdit durant cette période, de laver des nappes, serviettes et autres essuies-mains.
Le nettoyage à sec et le pressing sont inclus dans l’interdiction de laver durant cette période. Si le vêtement s’est taché, on ne pourra laver la tache, à moins qu’elle ne soit particulièrement hideuse et empêche de sortir dignement dans la rue, ou que ce soit en l'honneur de Chabbat Hazon (pour ceux qui ont pour coutume de ne pas nettoyer les vetements depuis Roch Hodech Av). Il sera alors permis de la détacher à condition qu’on n’ait pas d’autres vêtements (déjà portés) disponibles. Il sera permis, y compris pendant la semaine du 9 Av, de dépoussiérer ses chaussures avec un chiffon. Il sera aussi permis de les cirer mais certains se montrent plus stricts. Il ne sera par contre pas possible de les faire briller.
Certains décisionnaires interdisent de laver le sol pendant la semaine du 9 Av. Ils le permettent néanmoins en l’honneur de Chabat Hazon. Cependant, en pratique, de nombreux décisionnaires le permettent si le sol est sale ce qui est désagréable, tout particulièrement lorsque de jeunes enfants y rampent. Il est recommandé d’éviter de faire usage durant cette période de produits lustrant pour le sol. 3.2) L’interdiction de porter des vêtements fraîchement lavés.
La coutume séfarade est d’interdire le port de vêtements lavés durant la semaine où tombe le 9 Av. Cette loi concerne tous les habits y compris les sous vêtements. La coutume ashkénaze est de l’interdire à partir de Roch Hodech Av. Néanmoins, la coutume chez la majorité des Ashkénazim est de porter des vêtements de Chabat lors du Chabat « Hazon » précédant le 9 Av.
Dans les contrées particulièrement chaudes, on pourra adopter la conduite suivante qui facilite l’accomplissement de cette loi. Avant le début de la semaine du 9 Av, pour les Séfaradim (et avant Roch Hodesh Av pour les Ashkénazim), on portera des vêtements pendant un certain temps (la coutume est pendant une heure au minimum) avant de les retirer et les mettre de coté. Ces vêtements n’étant plus considérés comme fraîchement lavés, mais comme des habits déjà portés, il sera, dès lors, possible de les porter durant la semaine du 9 Av. Ceci s’applique aux vêtements qui se salissent particulièrement à cause de la transpiration. Dans certaines conditions difficiles, on pourra se conduire de la sorte pour le reste des habits. Si cette précaution n’a pas été prise avant Chabat Hazon, elle sera encore réalisable durant Chabat, tant qu’on ne dit pas de façon explicite que l’on prépare ainsi ses vêtements de la semaine. Ceux qui suivent ici les conclusions du Ben Ich Hai, ne pourront agir ainsi pendant Chabat. Il leur sera pourtant possible, le Chabat matin, de mettre de nouveaux habits propres et de réserver les habits de vendredi soir (voire du samedi matin s’il fait la sieste) l’après midi pour la semaine. Ceux qui n’ont pris aucune de ces précautions à temps, pourraient poser leurs habits propres au sol, leur ôtant par là, le titre « d’habits propres » ce qui permettrait de les porter durant cette période. Le Or Letsion écrit cependant que cette dernière méthode n’est pas approuvée par tous les décisionnaires. De la même manière, on ne pourra, pendant cette période, mettre des draps propres dans les lits.
3.3) L’interdiction de se laver et de s’oindre. La coutume séfarade est de permettre de se laver, et ce, même à l’eau chaude, jusqu’avant la semaine du 9 Av. Durant cette semaine, il ne sera permis de se laver qu’à l’eau froide. La coutume ashkénaze, ainsi que l’usage de ceux qui se conforment au Ben Ish Hai, est d’interdire de se laver à partir de Roch Hodech Av et ce, même à l’eau froide. La veille de Chabat Hazon, il sera permis de se laver les mains, les pieds, et le visage à l’eau chaude mais sans savon. Certains permettent aussi, de se shampouiner la tête la veille de Chabat Hazon. Dans les contrées particulièrement chaudes, la conduite à tenir sera différente.
Pour un séfarade, il sera donc permis d’aller à la piscine ou à la mer même la veille du 9 Av puisque l’eau n’y est pas réellement chaude. Pour un ashkénaze, ce sera permis jusqu’à Roch Hodech Av. Cependant, il faudra faire particulièrement attention à ne pas se baigner dans des endroits qui pourraient s’avérer dangereux, vu que ces jours sont propices aux dangers.
Toutes ces limitations ne concernent que des bains de confort, mais dans les contrées où les fortes chaleurs, rendent la transpiration difficilement supportable à la personne elle-même ainsi qu’à son entourage, les décisionnaires ashkénazes autorisent de se laver au savon même pendant la semaine du 9 Av avec de l’eau froide ou même tiède. (Une eau est considérée tiède lorsque sa chaleur est insuffisante pour procurer un plaisir mais suffisante pour réduire le froid de l’eau). Si la personne est enrhumée ou extrêmement sensible au point qu’il lui est impossible de se laver à l’eau tiède, il serait possible de le lui autoriser de se doucher même à l'eau chaude car son intention n’est pas son confort mais de retirer la transpiration.
L’utilisation de pommades, crèmes parfums et autres déodorants est autorisée durant toute cette période à l’exception du 9 Av lui-même où seul le déodorant est permis.
Un bain à but thérapeutique sera permis. C’est pourquoi on pourra autoriser à une femme rentrant dans le 9ème mois de sa grossesse de prendre un bain chaud pour calmer la douleur des contractions. On pourra aussi l’autoriser à une accouchée durant les 7 jours qui suivent l’accouchement, ainsi qu’à celui qui souffre d’hémorroïdes et qui pourrait être guéri en restant 1 ou 2 heures dans un bain chaud.
3.4) L’interdiction de se raser et de se couper les cheveux
La coutume séfarade est de n’interdire de se raser et de se couper les cheveux que pendant la semaine où tombe le 9 Av. La coutume ashkénaze, suivant l’opinion du Rama, est de l’interdire à partir du 17 Tamouz. Pendant la semaine du 9 Av, il sera interdit aux adultes de couper les cheveux des enfants encore mineurs. Avant cela, même pour ceux qui interdisent de se couper les cheveux, il sera permis de couper les cheveux des enfants, et telle est la coutume chez une partie des Ashkénazim. D’autres ont la coutume de l’interdire chez les adultes et les enfants de façon identique, à partir du 17 Tamouz.
Un enfant venant d’avoir 3 ans et dont les parents souhaitent couper les cheveux selon l’ancienne coutume de la « Halake », pourront le faire sauf pendant la semaine du 9 Av. Certains préfèrent repousser cette coupe de cheveux à après le 9 Av. Certains décisionnaires séfarades autorisent aux femmes de se couper les cheveux même pendant la semaine du 9 Av, d’autres l’interdisent. La coutume ashkénaze est de l’interdire à partir du 17 Tamouz. En revanche, l’épilation des sourcils est autorisée selon toutes les opinions, et l’épilation des jambes et du reste du corps en cas de besoin.
Pour un besoin de pudeur, comme lorsque les cheveux de la femme sont trop longs et sortent de son couvre chef, ce sera aussi permis.
Yonit MOZES
Alain LEGARET
Aldo-Michel Mungo
Philosémitisme
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