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L’Intifada silencieuse : islamisation de jeunes juives
L’Intifada silencieuse : islamisation de jeunes juives

Il existe un phénomène de société dont peu de gens connaissent l’existence mais qui sévit et grandit d’année en année. De plus en plus de jeunes femmes juives israéliennes vivent ou encore se marient avec des arabes israéliens ou palestiniens et sont contraintes de se convertir à l’Islam. On recense actuellement plus de 20.000 femmes juives dans ce cas (toutes consentantes au début de la relation) et environ 30.000 enfants sont nés de ces unions. Une femme exceptionnelle, entourée de bénévoles a fait de ce problème son cheval de bataille.

La rabbanite Rachel Baranès a créé l’association « Hemla » depuis plus de 10 ans et s’occupe de sauver ces jeunes femmes qui sont tombées dans les griffes de « l’amour » avec des palestiniens. Des contes de fées qui se transforment en drames. Nous avons rendez-vous dans ce refuge tenu secret et protégé, dans le centre d’Israël. C’est avec une pointe d’appréhension que je franchis le portail de la villa avec Michèle (qui heureusement m’accompagne pour ce douloureux reportage).

La rabbanite nous reçoit souriante et affable, des jeunes filles sont en train de déjeuner, d’autres nous toisent, d’autres plus timides montent dans leurs chambres, une jeune fille nous apporte à boire. En même temps que la rabbanite nous raconte, elle répond aux nombreux coups de téléphone, donne des consignes et jette des regards protecteurs à « ses filles ». La tendresse est déjà palpable.

La rabbanite travaillait à l’époque, pour l’organisme « Arakhim » et lors d’une visite chez des parents quant au choix de l’école de leurs enfants, elle s’aperçoit que l’aînée a des marques bleues autour du cou. Elle la prend à part pour la questionner ; la jeune fille qui n’avait que 16 ans lui raconte qu’elle a rencontré un palestinien à Yafo, il y a un an et qu’elle est tombée amoureuse. Cette histoire qui commence comme un rêve d’enfant se termine en cauchemar. Le prince s’est transformé en monstre qui la bat et la menace de la tuer ainsi que sa famille, si elle le quitte. Elle a très peur. La rabbanite Rachel lui propose son aide, c’était il y a vingt ans. C’est à ce moment là que la mission de la Rabbanite a vu le jour. Elle a sorti de cet enfer des centaines filles et en a marié plus de six cents ! Depuis, cette jeune femme, sortie des griffes de son « amoureux », s’est mariée et prépare la Bar-mitsva de son fils.

Le piège des fréquentations

Quand je lui demande comment les filles arrivent à elle, elle répond en riant « havera mevia havera » (une amie amène une amie). Elles ont toujours une complice, une copine qui servira d’alibi, entrainée elle aussi dans ce guêpier, l’une dira à ses parents qu’elle est chez l’autre et vice versa. L’équipe qui travaille avec la Rabbanite est constamment à l’affut de ces jeunes filles. Ces rencontres entre juives et arabes peuvent avoir lieu partout : dans les super- marchés, dans les centres commerciaux, dans les écoles, les universités, sur les lieux de travail, dans les endroits fréquentés par les jeunes et souvent même sur internet.

 

 

La Rabbanite, dont l’expérience n’est plus à prouver est aussi souvent contactée par des rabbanim, des voisins, des amis, des personnes qui ont vu ou entendu dire que telle ou telle fille fréquente un palestinien. Sa renommée a traversé les frontières, et de Brookline à Paris nombreux sont ceux qui ont entendu parler de ses actions.

« Vous savez, il y a 15 ans, c’était des cas isolés, cela arrivait rarement et surtout dans les familles laïques, mais malheureusement. Aujourd’hui ce phénomène s’est considérablement développé, et cela peut arriver dans les meilleures familles, dans toutes les couches sociales et de toutes tendances religieuses. Nul n’est à l’abri.

« Cela se passe quand même plus souvent dans les villes ou il y a une forte concentration de palestiniens, comme Beer-Shev’a, Jérusalem, Haïfa… ? » Lui-dis-je.

« Pas du tout, pourquoi d’où venez vous, me dit elle ? »

« Nous sommes d’Ashdod, et nous n’avons pas, ou très peu de palestiniens dans notre ville ! ».

« Détrompez-vous, répondit-elle, nous avons à l’heure actuelle à la villa une jeune fille d’Ashdod qui vivait avec un arabe. Il y a des ouvriers arabes qui louent des appartements à Ashdod, et qui fréquentent des juives, je peux même vous donner les adresses. »

Nous pensions que cela se passait loin de chez nous, c’est sous notre nez, nous sommes atterrées !

« Au début, j’avais deux filles qui vivaient avec moi, puis 3 puis 10, 15. Aujourd’hui elles sont 25 jeunes filles vivent à la villa, et cela jusqu’à leur mariage ». Elles ont 15 ans et plus.

Nous comprenons très vite que la villa n’est pas simplement un refuge ou l’on trouve le gîte et le couvert. Les filles sont encadrées par des psychologues, pour certaines il y a nécessité de l’aide d’un psychiatre. Elles travaillent, font des stages ou étudient.

A la villa, les plats sont cuisinés tous les jours, la Rabbanite Rachel tient à ce que les filles se sentent vraiment une atmosphère familiale. Pas avec des barquettes de nourriture toutes prêtes que pourraient leur fournir des associations à vocation sociale. Cette femme d’exception les entoure d’affection et d’attention, ce dont elles ont parfois manqué dans leur famille, même si beaucoup d’entre elles avaient tout le confort matériel.

« Le sauvetage de ses filles à un coût, d’où proviennent vos ressources financières » ?

« C’est extrêmement difficile, nous sommes ici en location, nous avons déjà déménagé deux fois. Psychologiquement aussi, c’est pénible pour les filles. Nous recevons une subvention minime du bureau aux affaires sociales (lishkat harevaha), à peine de quoi faire les courses à la Makolet (épicerie). Il y a des associations qui reçoivent énormément d’aide du gouvernement, nous n’en percevons aucune. Comment dire au parlement, avec tous les députés arabes et ceux de gauche, que nous voulons sauver des filles juives des mains des arabes, nous serions traités de racistes. Notre cause est perdue d’avance ! Seuls les donateurs nous aident dans cette lutte au quotidien. Notre rêve serait d’avoir une grande maison qui nous appartienne, pour pouvoir accueillir encore plus de jeunes filles, où personne ne les délogerait et plutôt que de payer un loyer, nous pourrions utiliser cet argent pour sauver d’autres jeunes filles.

Même si nos équipes sont composées de volontaires, nous devons fréquemment nous déplacer d’un bout à l’autre du pays, payer la location d’un véhicule, soudoyer des palestiniens qui nous fournissent des informations, aller faire des conférences sur le sujet dans les écoles, les universités, payer les services d’un avocat » Un des sauveteurs, présent à son tour prend la parole : « Parfois les arabes acceptent de l’argent (environ 7000 Nis) pour laisser partir leur proie. D’autres fois, ils sont prêts à tuer.

Un palestinien avait montré la cassette d’une femme découpée en morceaux à sa jeune amie juive, la menaçant de subir le même sort si elle tentait de s’enfuir. Cette femme a été sauvée elle est contrainte actuellement de vivre à l’étranger.

Il y a quelques jours, nous avons réussi à sortir une jeune femme et ses deux enfants d’un village arabe près de Hébron, où elle était séquestrée depuis des mois. Nous sommes également souvent aidés par l’armée, des fois même par le Shabak.

Mais le plus dur, c’est après « le sauvetage ». La victime aime son bourreau (le Syndrome de Stockholm), cela prend du temps pour qu’elle l’oublie. Ce qui est important, c’est faire de la prévention et pouvoir sortir ces jeunes filles de là-bas avant que leur vie ne devienne un enfer ».

Une des jeunes filles que nous appellerons Léa, qui vit depuis 8 mois à la villa accepte de témoigner pour notre magazine. Elle a fêté ses vingt ans, il y a quelques jours. (Nous avons intentionnellement changé les prénoms des personnages par souci de confidentialité et de sécurité).

Léa vient d’une famille orthodoxe, elle est fille unique. A 15 ans, elle quitte la maison et rentre dans un pensionnat de filles. A 18 ans, elle commence son « Shirout Leumi » (service civil) dans un hôpital de Jérusalem. C’est là qu’elle rencontre Youssouf qui y travaille aussi.

Il lui dit des mots gentils à chaque fois qu’il la croise. Elle commence à prendre ses pauses et à déjeuner avec lui. Il est plein d’attentions, lui offre des cadeaux, lui demande même si elle a besoin d’argent. Pour la première fois de son existence, elle se sent vivre, elle se sent jolie, quelqu’un s’intéresse enfin à elle. Peu importe leur religion, ils s’aiment.

Les événements s’accélèrent, Youssouf veut qu’elle rencontre ses parents qui habitent à Jérusalem-Est. Elle y est très bien reçue. Désormais, il lui demande de quitter l’appartement de l’armée et de vivre chez lui. Ce qu’elle accepte finalement. Mais le bonheur est de courte durée. Un jour elle rentre en larmes d’une visite chez ses parents (qui ne sont absolument pas au courant de la situation). Elle s’est encore disputée avec sa mère, elle est effondrée.

Youssouf lui donne alors un cachet « prends, ca te calmera » dit-il. Plus tard, Léa découvrira que c’est de la drogue, mais il est trop tard. Elle en consommera régulièrement. Il l’oblige même à aller livrer ses commandes qui sont des dealers. Le jour de la « haskara » de ses deux tantes qui ont été tuées dans un attentat, elle veut être seule, faire son deuil. Cela énerve Youssouf qui la bat et la violente encore.

Michèle et moi restons silencieuses, la gorge nouée, Léa se tord les doigts, regarde le sol. Je lui demande : « Pourquoi n’êtes vous pas partie ? ».

« Il s’est excusé, et m’a promit que plus jamais cela n’arriverait. Il m’a offert un cadeau et je lui ai fait confiance ». Mais cela ne s’arrête pas là.

Commence un long calvaire. Un jour, qu’ils sont dans leur chambre avec des copains à lui de villages voisins, Yousouf se lève et lui dit « j’arrive, je vais chercher le narguilé ». « Je suis restée seule avec les trois garçons ».

Léa reprend ses forces avant de continuer à voix basse. « Ils ont commencé à me toucher et je n’osais rien dire, rien faire j’avais très peur, j’étais tétanisée, ils m’ont violée et lorsque Youssouf est revenu, je n’ai rien dit. J’ai compris qu’ils étaient de connivence ».

Après cette terrible épreuve, je refusais de me donner à lui. Il s’est emporté, m’a donnait des coups de poing, m’a cassé la mâchoire inférieure, un os de la main, mon corps était couvert d’hématomes ».

Ensuite, plus de sorties, les cadeaux sont devenus des coups. Léa est systématiquement battue si elle ne revient pas à l’heure du travail.

« Vous saviez que cette relation était néfaste sur tous les plans, pourquoi malgré tout, restiez-vous avec lui » ?

« Je ne savais plus qui j’étais. Dans mon fort intérieur, je savais que c’était mal et que je ne méritais pas ce traitement, mais j’étais faible, naïve, en détresse, je vivais en permanence sous la menace : « si tu me quittes disait-il sans arrêt, je te tuerai, j’irais raconter à tes parents, tout le monde te jugera, tu seras rejetée par tous ».

Je ne pouvais plus sortir seule non plus. Un jour que je lui demandais si je pouvais aller voir ma copine, il me répondit « tu me donnes quoi en échange ? » Je l’ai regardé incrédule « mais de quoi tu parles ? »Youssouf me dit : « j’ai envie de le faire à trois ». « Tu es fou ! C’est une blague ? » « Mais oui je plaisante ! » répondit-il.

Quand je suis revenue dans l’après midi, Youssouf est avec un copain, il me dit « va te doucher, on sort ». « Une fois prête, je rentre au salon, (sa voix s’étrangle en repensant à ce terrible moment). Youssouf et son copain se jettent sur moi, me déchirent les vêtements, me mordent, me pincent, me battent et me violent. Tout mon corps saigne ».

« Le lendemain matin, je me sauvais, et décidais d’aller voir une amie pour tout lui raconter. Je ne voulais plus vivre cet enfer. Elle essaya de me convaincre d’aller raconter mon histoire à un Rav, mais je refusais catégoriquement. J’avais trop peur qu’il ne me retrouve, qu’il ne me tue. Un jour, il avait tenté de m’étrangler et c’est son père qui l’avait arrêté à temps. Le portable de ma copine sonna, c’était Youssouf : il m’avertissait que si je ne rentrais pas à la maison dans les 25 minutes qui suivaient, je ne pourrais même pas le regretter car je serais morte. Je ne sais même pas comment il avait obtenu le numéro de ma copine ».

« Lorsque je suis rentré à la maison, il m’avait acheté des cadeaux, me serra dans ses bras, me dit qu’il m’aimait, alors j’ai tout oublié dans ces moments de chaleur. Ces moments ne duraient que quelques heures, et je priais de toutes mes forces, le créateur du monde de me sortir de là, de m’envoyer quelqu’un qui me sauverait ».

« Quelques jours plus tard, il me demanda de l’épouser. Je n’osais pas refuser de peur d’être encore battue. Ses parents ont alors organisé une fête pour nos fiançailles, et son père m’a dit qu’il fallait maintenant que je me convertisse à l’Islam ». « Le lendemain, je me levais comme d’habitude pour aller travailler mais Youssouf me l’a interdit. Il m’enferma et sa famille montait régulièrement pour vérifier que je ne m’étais pas sauvée. J’étais désespérée, j’ai fait une tentative de suicide. Il s’est mis en colère ce jour- là, car je ne lui avais pas répondu au téléphone, et il m’a tellement battue que je n’ai pu fermer l’œil de la nuit, tordue de douleurs atroces au ventre.

Le lendemain, je voulais aller à l’hôpital pour me faire soigner. Youssouf m’a dit : « ma sœur t’accompagnera et si tu dis quelque chose à qui que ce soit, tu es une femme morte. Si l’on te demande ce que tu as eu, réponds que tu es tombée dans les escaliers ».

Pendant les trois jours d’hospitalisation, sa sœur ne m’a pas quittée d’une semelle, elle dormait même avec moi et Youssouf venait tous les jours à l’hôpital.

On m’a soignée et recommandé beaucoup de repos, mais à peine rentrée, il m’a demandé de lui préparer à manger et d’aller livrer sa drogue, car il avait beaucoup de retard dans ses commandes. Je l’ai supplié de me laisser me reposer, mais rien n’y a fait. Je suis rentré épuisée de la livraison et ne pensais qu’à dormir, mais Youssouf n’était pas du même avis, il voulait assouvir ses envies. Ma tête tournait ! Après quelques minutes, je n’entendis plus rien sauf le bruit d’une sirène. La sirène d’une ambulance. Je me réveillais à l’hôpital. Toute sa famille était là. Youssouf réitéra ses menaces si j’ouvrais la bouche ».

Plus tard, je suis repartie travailler et j’ai reçu un appel du Rav Moché qui avait eu connaissance de mon histoire et qui insista pour que l’on se rencontre. J’ai demandé à Youssouf de me laisser passer le week-end chez mes parents que je n’avais pas vus depuis longtemps. J’ai eu beaucoup de chance ce jour là : il accepta.

J’ai rencontré le Rav Moché, mais je n’ai pas voulu le suivre, j’avais trop peur : « notre mariage était prévu pour dans deux semaines, il me retrouvera et me tuera ! » Lui-dis-je.

Le Rav Moché réussit à me persuader et me conduisit directement au « refuge secret ». La rabbanite Baranes m’a tout de suite prise en main et surtout m’a entourée de chaleur et d’affection. Dès le lendemain, j’ai eu la visite d’une assistante sociale, d’un psychologue. La rabbanite s’est occupée de tout pour que je ne manque rien. Elle m’a sauvée la vie.

Cela fait huit mois maintenant que je vis ici, je me sens plus forte, je finis mon service civil dans une pré-maternelle, et commence mes études en informatique.

« Pour quelles raisons avez-vous accepté de nous dévoiler votre histoire malgré toutes les difficultés que cela comporte ? »

« Je pensais que ma vie était finie, que j’étais arrivée à un point de non retour, sur une route sans issue. Je voudrais dire à ces jeunes filles qui vivent le même cauchemar, qu’il est possible de s’en sortir, de redevenir soi-même. Il faut leur apprendre à ne pas tomber dans le piège des flatteries et des cadeaux qui ne sont qu’illusions. Ce n’est pas de l’amour, c’est un « jihad » qui s’infiltre en silence pour islamiser les filles juives et les maltraiter par la suite.

Les arabes reçoivent même de l’argent de leurs organisations lorsqu’ils ramènent une fille juive au village. Grâce à l’association « Hemla », à la Rabbanite Baranes et à toute son équipe de bénévoles, j’ai été sauvée et aujourd’hui je me demande comment j’ai pu être naïve et faible à ce point ».

Cette terrible histoire n’est pas simplement l’histoire d’une jeune fille battue ou violée, ni une histoire d’amour entre deux êtres de religions différentes, qui se termine mal. Ces jeunes filles ou jeunes femmes sont de véritables proies pour les palestiniens qui savent exactement comment se comporter (cadeaux, argent, respect, attentions.) pour les attirer dans ce guet-apens, et une fois le travail accompli, ces filles sont battues, violées, surveillées par la famille, séquestrées, et finalement contraintes de se convertir à l’islam.

Cette histoire, qui peut arriver à tout le monde, est celle de plus de 20.000 femmes juives en Israël, certaines en recherche d’amour de tendresse, d’affection qu’elles n’ont peut être pas toujours reçu dans leur entourage familial, ou d’autres qui sont pour le droit à la différence, et qui elles aussi tombent malheureusement dans le panneau. Plus besoin d’attentats sanglants, avec cette intifada sournoise : une guerre religieuse et démographique est désormais en marche. Nul n’est à l’abri !


Tout sur l'organisation 'HEMLA : http://www.batisrael.org


- par Michaéla BENHAIM du magazine "le Météor" -
Le Mag
2 commentaires
20 000 c'est un chiffre enorme, il faut que les familles soient vigilantes car dans la plus part des cas cela se passe tres mal et pour ma part je suis tout a fait contre ces relations mixtes.
Envoyé par Frank Samuel - le Lundi 6 Décembre 2010 à 08:48
merci a juif.org de passer mon interview exclusive qui a fait l'objet du dossier du mois de novembre sur la revue Meteor. Voici le lien : http://fr.calameo.com/read/0003897887f439c927c29
Michaela Benhaim
Envoyé par Michaela - le Lundi 6 Décembre 2010 à 09:28
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Dernière mise à jour, il y a 22 minutes