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![]() Comment donner la Tsédaka ?
Différentes conditions accompagnent le don de la Tsédaka: 1. Nous ne devons pas être désobligeants envers quelqu'un qui tendrait la main. 2. Nous devons subvenir à ses besoins à hauteur de nos moyens. 3. Plus que tout nous devons le recevoir avec bienveillance. La première exigence de la Thora : Ne pas être désagréable se comprend. Gêner quelqu'un revient à transgresser un interdit de la Thora « ne pas faire honte à son prochain ». Pour autant le cour de la charité semble évoluer autour de la seconde règle : subvenir aux besoins de son prochain. S'il en est ainsi, pourquoi la Thora insiste plus que tout sur la nécessité d'avoir un visage souriant à l'égard d'une personne qui serait dans le besoin ? Le traité Baba Battra (9b) enseigne que celui qui donne une pièce à un nécessiteux reçoit six bénédictions. Par contre celui qui saura lui parler avec douceur recevra onze bénédictions. Pourquoi la Thora accorde-t-elle une telle importance à une parole amicale ? C'est que le donateur investit toute sa personne pour pouvoir donner un sourire à son hôte. Par contre lorsqu'il lui remet de l'argent, il ne consacre à cette mitsva que ses gestes. Ceux qu'il a réalisés pour lui donner cette somme. Pour autant un sourire ne peut contenter les besoins de notre prochain. C'est pourquoi nous devons toujours allier le geste concret à l'investissement global. Le don à la gentillesse. La mitsva de Tsédaka est un acte fondamental dans la Thora. Nous devons donc apprécier à sa juste mesure le mérite que nous donne une personne qui nous demande la charité. En effet c'est grâce à elle que nous pouvons réaliser cette grande mitsva. Nous comprenons dès lors pourquoi la mitsva de Tsédaka s'articule en trois points. Que D.ieu fasse que le bon cour et la générosité d'esprit dont a su faire preuve notre peuple au fil des générations intercèdent auprès du Créateur afin qu'Il accepte d'être charitable avec nous en retour, en nous délivrant de cet exil dès aujourd'hui grâce à la révélation de notre juste Machia'h.
Source : Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch - Chaarei Tsédaka - http://lettredetorah.blogspot.com Le Figaro
Caroline Glick
Shmuel TRIGANO
Juif.org
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Le tzaDdik ou le juste ou le JUSTIFIÉ ne l’est que par D.IEU et par D.IIEU seul. Il n’y a donc aucun mérite à faire le bien avec le fond et la forme. Il n’attend pas non plus de récompense en échange. Le don de D.IEU est un don gratuit, le don du justifié est aussi un don gratuit. Le justifié, ne marchande pas avec D.IEU : « parce que j’ai donné une pièce avec le sourire, D.IEU me donne 11 bénédictions au lieu de six. Ce n’est pas comme cela que ça marche. D.IEU bénit en abondance celui qu’IL a justifié et mes/les actes coulent simplement de cette surabondance (Ps. 23, etc.) Je ne fais rien pour recevoir quelque chose de D.IEU. J’ai déjà reçu parce qu’à la montagne du Seigneur D.IEU pourvoit. David