Ces 9 mythes et superstitions vous donneront une idée des différentes coutumes et croyances que peuvent avoir les soldats de Tsahal.

Cette histoire n’a jamais été confirmée par une source officielle, ,mais elle serait à l’origine de la consigne donnée aux soldats de ne pas prononcer le mot “hazor” à la radio, qui signifie à la fois “répéter” et “retourner”.

Selon la légende, durant une mystérieuse opération et alors que différentes unités communiquaient entre elles par radio, l’un des protagonistes prononça alors le mot “hazor”, dans le but de faire répéter à son interlocuteur ce qu’il venait de dire. Malheureusement, ce dernier compris de retourner d’où il venait et fût alors pris avec son unité sous le feu ennemi.

Les marins de la Marine Israélienne croient fortement à ce mythe très répandu: ne sifflez en aucun cas en pleine mer car le dieu de la mer vous soupçonnera alors de courtiser sa fille, déclanchant chez lui une colère telle qu’elle en déchainera la mer et engloûtira le navire avec tout son équipage.

Quand les pilotes sont diplômés de l’Académie de l’Armée de l’Air, ces derniers recoivent pour marquer la fin de leur entrainement un blouson de cuir marron, comme ceux que l’on peut voir dans l’imagerie Hollywoodienne. Pour ce qui est des lunettes de soleil “aviateurs” qui vont avec, les pilotes doivent les acheter… eux-mêmes.

Avant que les femmes ne puissent devenir combattantes dans la Marine Israélienne, une superstition tenace voulait que la présence de ces dernières dans la salle des machines empéchait le bon fonctionnement du navire. Non pas dû à une raison technique mais à la jalousie de celui-ci.

Les soldats du Corps des Blindés de Cavalerie entretiennent une superstition pour le moins étrange. En effet, la tradition veut que si ces derniers partent au combat, en portant des sous-vêtements rouges, cela leur causera malheur et provoquera des problèmes mécaniques aux tanks, mettant ainsi en périle leur mission.

Quand la Brigade Givati a été réétablie en 1982, le choix de la couleur du béret est revenu à son commandant. Ne sachant que choisir, cette décision cruciale fut finalement déléguée à sa jeune fille, qui fit donc le choix du violet.

Une légende urbaine raconte qu’un soldat de la Brigade des Parachutistes communiqua à ses parents le lieu de son prochain saut de nuit. Afin d’être reconnaissable, il annonça à ses parents qu’il porterait un baton vert fluorescent à sa jambe. Cette nuit-là, lorsque le soldat effectua son saut, le baton fluorescent se détacha de sa jambe et alla s’écraser au sol. Ses parents furent terrifiés, pensant que le parachute de leur fils ne s’était jamais ouvert.

Afin d’instaurer une certaine discipline chez les nouvelles recrues de la Brigade Parachutiste, une punition imaginaire se veut convaincante. Avant que les soldats ne sautent hors de l’avion, un mannequin de dimension humaine est jeté sans parachute afin de vérifier les conditions météorologiques. La fameuse punition serait donc de jeter le soldat le moins discipliné à la place.

Pour s’assurer un vol sans imprévu, il y a trois choses que font les pilotes font avant le décollage: rentrer dans le cockpit du pied droit, ne pas changer d’avion juste à la dernière minute, et surtout, embrasser sa promise avant de s’envoler !