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OpinionsDestruction d’Israël «made in America», par Dick Morris et Eileen McGann![]() « Obama a, certes, fêté le premier Seder de De Caroline Glick, rédactrice en chef adjointe du Jerusalem Post, nous parviennent des nouvelles alarmantes. Experte en relations arabo-israéliennes, et disposant d'excellentes sources au sein même du gouvernement de Netanyahu, elle rapporte que le directeur de Plus menaçant encore, Glick rapporte (probablement de sources haut placées dans le gouvernement israélien) que l'administration Obama a tout sauf admis comme un fait irréversible et inévitable que l'Iran développera bientôt des armes nucléaires. Elle écrit : «... nous avons appris que [l'administration Obama ] s’est fait une raison concernant les ambitions nucléaires de l'Iran. Des hauts fonctionnaires de l'administration le reconnaissent pour autant que ce soit dans des communications hors microphones. Il est vrai, disent-ils, que l'Iran peut exploiter ses futurs entretiens avec les Etats-Unis pour jouer la montre, avant de tester une arme nucléaire. Mais ils ajoutent, si cela se produit, les Etats-Unis devront simplement vivre avec un Mollacratie disposant de l’arme nucléaire. » Elle poursuit en exposant que l'administration Obama a perdu l’espoir d’empêcher Israel d'attaquer l'Iran, et écrit : « du point de vue de l'administration [Obama], si seulement Israël pouvait laisser tranquilles les installations nucléaires iraniennes, l'Iran se comporterait bien. » Elle note que les fonctionnaires américains considéreraient tout dommage causé aux intérêts américains, découlant d'une attaque israélienne contre les installations nucléaires iraniennes, serait de la responsabilité d'Israël, et non de l’Iran. Sur le mode classique du syndrome de Stockholm [2], l'administration Obama fait preuve de plus d’empathie pour les dirigeants iraniens qui détiennent un otage israélien qu'avec la nation qui peut être effacée de la carte si l'Iran acquiert la bombe. La date limite de la fin de l’année que s’est fixée Obama pour des entretiens iraniens ayant pour but de mettre un terme à sa marche n’est qu’une menace de façade sans action militaire. Comme l’a écrit Metternich, « une diplomatie sans force est comme une musique sans instruments ». En se limitant à avertir d’un renforcement possible des sanctions économiques si les entretiens ne progressent pas, Obama formule une menace inconsistance. Les sanctions n'auront probablement aucun effet, parce que Tout cela signifie que l’existence d’Israël est en danger. Si l'Iran obtient la bombe, il l'emploiera pour tuer six millions de juifs. Aucune menace de représailles ne fera la moindre différence. On ne peut pas décourager par une menace de mort un terroriste prêt à mourir en se faisant exploser. De même on ne peut dissuader une théocratie déterminée à mériter le Paradis et ses vierges par un acte glorieux de violence. De toute façon, l'Iran ne lancera probablement pas la bombe elle-même, mais pourrait la donnera à ses marionnettes terroristes qui la lanceraient sur Israël, ce qui lui permettrait de nier sa responsabilité. Obama, déterminé à l’apaisement, n’exercerait probablement pas de représailles avec des armes nucléaires. Et Israël sera mort et enterré. Les patriotes juifs rayonnants qui ont voté pour Obama doivent se rendre compte que nous, en tant que juifs, sommes témoins de ce que la fin d’Israël est possible. Nous sommes dans la même situation morale que nos ancêtres qui ont assisté à l’ascension de Hitler mais n'ont rien fait rien pour faire pression leur président démocrate libéral préféré, F[ranklin]D[elano]R[oosevelt], de prendre n'importe quelque vraie mesure que ce soit pour les sauver, ni même pour laisser les réfugiés juifs venir dans le pays. Si nous restons indifférents, nous éprouverons, en regardant la destruction d’Israël, la même angoisse que celle de nos ancêtres qui furent témoins de l’Holocauste. Car chose est de plus en plus claire: Barack Obama n'est pas prêt à lever le petit doigt pour empêcher l'Iran de développer sa bombe. Et Hillary Clinton, pas davantage. Obama a, certes, fêté le premier Seder de Dick Morris et Eileen McGann * * Dick Morris est un ancien conseiller de Bill Clinton. Eileen McGann est avocate et PDG de Vote.com. Ensemble, ils collaborent à des livres, des éditoriaux et des campagnes de politique étrangère. Pour recevoir gracieusement des exemplaires de tous leurs commentaires, veuillez vous inscrire à dickmorris.com. ------------------------------ Notes du traducteur [1] Sur ce haut fonctionnaire de l’administration Obama, voir "Leon Panetta, nouveau patron de [2] Cette expression illustre la propension des otages qui partagent la vie de leurs geôliers durant un certain temps, à développer une empathie, ou une contagion émotionnelle avec ces derniers. Ce comportement paradoxal des victimes de prises d'otages, a été décrit pour la première fois, en 1978, par le psychiatre américain F. Ochberg, lequel lui donna ce nom suite à un fait divers qui eut lieu dans cette ville. (D’après Wikipédia, article « Syndrome de Stockholm ». Front Page Magazine Texte original anglais : "Iran's Annihilation of Israel: Made in America". Traduction française : Menahem Macina, pour upjf.org. Ajouter votre commentaire !
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