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Politique IsraëlShimon Peres victime d'un bref malaiseLe président israélien a passé la nuit à l'hôpital après s'être évanoui samedi soir au cours d'une conférence. Il est sorti dimanche matin, «en bonne santé», selon les médecins.
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Dernière mise à jour, il y a 7 minutes
Agé de 86 ans, le prix Nobel de la Paix a été élu président en 2007. Bien que sa fonction soit essentiellement protocolaire, il joue depuis plusieurs mois un rôle important comme représentant du gouvernement de droite de Benjamin Netanyahou, usant de son aura internationale.
Figure historique du Parti travailliste, parti fondateur d'Israël, il n'avait pas hésité à le quitter pour rallier la formation centriste Kadima afin, selon lui, de promouvoir la paix, qu'il affirme être le but de sa vie. C'est l'un des derniers représentants d'une génération de dirigeants qui ont fait leurs premières armes à la création de l'Etat d'Israël en 1948. Il a pratiquement exercé toutes les fonctions ministérielles au cours d'une impressionnante carrière politique: deux fois chef du gouvernement, ministre des Affaires étrangères, de la Défense, des Finances, de l'Information, des Transports ou de l'Intégration.
Le «faucon» devenu «colombe»
Classé parmi les «faucons» travaillistes, Peres a cautionné, alors qu'il était ministre de la Défense dans les années 1970, les premières colonies juives en Cisjordanie occupée. Par la suite, il s'est acquis une réputation de «colombe» en jouant un rôle moteur dans les accords d'Oslo conclus avec le leader palestinien Yasser Arafat en 1993, alors qu'Yitzhak Rabin, le Premier ministre de l'époque, était encore très sceptique. En guise de reconnaissance, Shimon Peres, longtemps prophète d'un «nouveau Proche-Orient» censé devenir un havre de paix et de prospérité, a obtenu en 1994 le prix Nobel de la paix qu'il partagea avec Yitzhak Rabin et Yasser Arafat.
Attendu à Paris
Shimon Peres a fait preuve d'une ténacité politique à toute épreuve. Il détient sans doute un record des défaites électorales après ses échecs aux législatives de 1977, 1981, 1984, 1988 et 1996, si bien qu'une image d'«éternel perdant» lui colle à la peau. Mais après chacun de ces K.O., il s'est relevé pour reprendre le combat, qu'il continue jusqu'à ce jour. Israël lui doit ses puissantes entreprises d'armements, ses industries aéronautiques. Selon les experts étrangers, c'est également le «père» du programme nucléaire israélien qui a fait de l'Etat hébreu la sixième puissance atomique dans le monde.
L'ancien chef du Parti travailliste israélien est annoncé prochainement à Paris par le maire Bertrand Delanoë qui doit inaugurer une place Ben-Gourion, du nom du fondateur de l’État hébreu.
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Cela étant, je lui souhaite refouah schlemah et de conserver bon pied bon oeil.
Je lui souhaite un prompt rétablissement ainsi qu'aux malades du monde entier.
Ryad d'Alger