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Politique IsraëlRestauration des grottes de Beit ShéarimLe président de la Knesset Réouven Rivlin a dévoilé mardi un grand bas-relief représentant la Ménorah (chandelier à sept branches) au parc national de Beit Shearim en Galilée. Cette Ménorah, qui mesure 1,90 m de haut, est l’une des majeures attractions pour les visiteurs du site archéologique, qui vient d’être rénové.
Les grottes d’inhumation ont été [...]
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Dernière mise à jour, il y a 8 minutes
Et quand on pense aux conditions morales déplorables dans lesquelles ces scientifiques travaillent: déni de leurs découvertes par les enturbannés, verts de rage, qui s'empressent de jeter une chappe de plomb sur la moindre de leurs trouvailles, ou de les détourner à leur profit, silence abject de la communauté internationale, par peur panique de ces mêmes enturbannés, etc.... Les efforts de ces archéologues n'en sont que plus méritoires.
Mais, qu'importe, ces hommes/femmes courageux et tenaces continuent leur travail, "contre vents et marées".
Un seul mot à leur adresser: B R A V O...Parce que, grâce à leur abnégation, le monde entier est bien obligé de constater qu'Israêl a plus que jamais "le droit", et "le devoir" d'être là où il est.
AM ISRAEL HAY
Découvertes archéologiques
Dossier rassemblant les derniers articles écrits sur les récentes découvertes archéologiques du pays depuis la période biblique jusqu’à l’époque ottomane.
Archéologie : Jérusalem était une ville fortifiée il y a déjà 3700 ans
jeudi 3 septembre 2009 par Jean-Marie Allafort
La découverte archéologique que vient d’annoncer le département israélien des Antiquités renouvelle profondément la connaissance de Jérusalem à l’époque cananéenne. Dans la cité de David (aujourd’hui le quartier de Silouane) des archéologues israéliens ont mis au jour une imposante muraille de 24 mètres de long qui entourait la ville de Jérusalem bien avant sa conquête par le roi David.
Archéologie : découverte d’une somptueuse demeure romaine à Jérusalem
mardi 18 août 2009 par Jean-Marie Allafort
La cité David n’a pas fini de révéler ses secrets. Le Département israélien des Antiquités vient d’annoncer la découverte d’une demeure romaine particulièrement impressionnante du 3ème siècle après JC sur le terrain du parking "Guivati" dans la cité de David à Jérusalem.
Archélogie : Un ancien aqueduc découvert à Jérusalem
vendredi 19 juin 2009
Des fouilles archéologiques à Jérusalem ont permis de découvrir un ancien aqueduc qui apportait de l’eau au bassin du Sultan et au Mont du Temple, approvisionnant en eau propre les résidents de la ville et les nombreux pèlerins visiteurs.
Découverte exceptionnelle : un papyrus hébraïque antique de 2000 ans
samedi 9 mai 2009
Il s’agit d’un document très ancien, écrit sur un parchemin de type papyrus, en caractères hébraïques antiques propres à l’époque du Second Temple. Ce style très caractéristique d’hébreu primitif a été identifié principalement sur les Manuscrits de la mer Morte.
En 2004, lorsque la rampe des Maghrébins s'effondra, on découvrit une petite pièce contenant une alcôve recouverte d'un dôme, une sorte de niche de prière musulmane, tournée vers le sud. Selon certains, il s'agirait des vestiges d'une salle de prière qui aurait fait partie d'une madrassa (école religieuse musulmane), laquelle fonctionnait près de la porte des Maghrébins.
Après la guerre des Six-Jours, l'esplanade du Mur occidental fut étendue vers le sud. Au cours de ces travaux d'agrandissement, le montant nord et le grand linteau de pierre de la plus ancienne porte de ce secteur furent mis au jour. On peut voir cette porte, connue sous son nom scientifique de Porte de Berkeley, dans la partie réservée aux femmes sur l'esplanade du Mur occidental. Elle a été découverte en 1848 par le missionnaire James Thomas Berkeley, qui occupait alors le poste de consul américain à Jérusalem. Berkeley avait mis au jour cette porte du côté intérieur, sur la face située sur le Mont du Temple. Cette découverte conduisit différents chercheurs à affirmer qu'il s'agissait de l'une des portes du Mont du Temple, remontant à l'époque du second Temple et mentionnées dans des sources juives et chrétiennes de l'époque, parmi lesquelles on trouve la porte de Coponius. Cette porte avait été bloquée à l'aide de pierres à la fin du Xe siècle et la pièce donnant accès à la porte sur sa face intérieure avait été consacrée à El Bouraq. Aujourd'hui, la pièce est fermée et on ne peut y accéder qu'avec l'autorisation du Waqf.
Avec les années, la face extérieure de la porte de Berkeley avait été recouverte et le niveau du sol à l'extérieur du Mont du Temple s'était élevé de plusieurs mètres au-dessus du linteau. A un certain moment, probablement au XIIe siècle, et peut-être même plus tard, une nouvelle porte appelée Bab al-Magriba avait été ouverte dans le Mur occidental, au dessus de la porte de Berkeley. C'est la porte des Maghrébins, qui doit son nom aux habitants du quartier voisin, venus du Maroc à Jérusalem à l'époque de Saladin. Cette porte est ouverte jusqu'à ce jour et constitue la seule entrée permettant aux non-musulmans d'accéder au Mont du Temple.
Au XIXe siècle, des chercheurs européens et américains commencèrent à étudier le Mont du Temple et ses environs. Leurs travaux permirent de mettre au jour, en plus de la porte de Berkeley, l'Arche de Robinson et l'Arche de Wilson, qui portent les noms des chercheurs qui les ont découvertes. D'autres chercheurs bien connus, comme la Britannique Kathleen Kenyon, ont mené des fouilles dans des zones adjacentes au Mont du Temple.
La recherche archéologique et historique dans ce secteur prit un nouvel élan après la guerre des Six-Jours, lorsque des fouilles archéologiques de grande envergure furent entreprises dans le secteur du Mur occidental, sous la direction du Prof. Benjamin Mazar. La plus grande partie de ces travaux fut réalisée dans la zone située au sud de l'esplanade du Mur occidental et un chantier fut également ouvert à l'intérieur de l'esplanade elle-même. Plus tard, l'archéologue Meir Ben Dov supervisa les fouilles entreprises dans le tunnel du Mur occidental et sous les maisons du quartier musulman, des travaux qui furent poursuivis plus énergiquement encore par Dan Bahat. Dès le début, ces fouilles suscitèrent une vive opposition dans les cercles islamiques et les organisations internationales, qui s'opposaient aux travaux des chercheurs israéliens à Jérusalem, quels qu'en fussent les résultats. Cette opposition s'exprimait parfois calmement, mais il arrivait aussi que les voix incitant à la violence prennent le pas sur les autres, provoquant des éruptions violentes. Les opposants à ces fouilles justifiaient leur action en exprimant une ostensible préoccupation face aux fouilles effectuées sous les murs de ce secteur et à la volonté prêtée aux Israéliens de détruire les mosquées qui se trouvaient au-dessus.
Effectiement, ces "abrutis" servent au moins à une chose, à nous faire rire aux éclats (y compris les pantalons à quartz qui font semblant de "trembloter" devant eux. Il faut les entendre entre eux, les dhimmisés: ce sont les + virulents dans le vocabulaire utilisé et les caricatures).
Et heureusement qu'on n'a pas inventé la pilule à rendre les gens intelligents. Ils -les abrutis- ont encore de beaux jours devant eux...et nous, quelques tranches de rigolade à nos offrir. Ca fait du bien par les temps, et les abrutis, enturbannés, qui courent de par le monde....
AM ISRAEL HAY