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Politique IsraëlGaza : un désengagement, pas une expulsionLe siège de l’organisation « Salut de la Nation et de la Terre » ne pourra plus utiliser les mots « expulsion » et « destruction » pour décrire le retrait unilatéral du Goush Katif dans ses annonces radio, selon une décision prise par la Haute Cour de Justice.
La Cour déclare que ces mots violent les règles et règlements concernant les annonces publicitaires payantes des organismes de radiodiffusion.
« Nous parlons d’expressions sur un sujet controversé, » écrit le juge Elyakim Rubinstein. « Les plaignants eux-mêmes ne réfutent pas cela. Par conséquent le sujet relève des interdits régissant les lois de la radiodiffusion. »
Israël Radio et d’autres ont rejeté une publicité soumise par un organisme de droite, qui commençait par « pendant que nous marquons les trois ans depuis la destruction et l’expulsion du Goush Katif… »
Dans une autre publicité, « lors du jeune de Tisha Beav et des jours alentours, nous allumons une bougie pour marquer l’expulsion du Goush Katif… »
Le procureur Aviad Visuli, qui représente les plaignants, a fait valoir qu’il n’y a aucun mal à décrire ce qui s’est passé au Goush Katif comme une expulsion.
« Nous parlons du transfert forcé des résidents du Goush Katif par 60 000 soldats, policiers et autres, et ce malgré l’opposition de 95% des résidents. Conformément au droit international et au dictionnaire, le seul mot qui peut décrire ce déplacement forcé est « expulsion », au lieu de « déracinement » ou « évacuation », a-t-il déclaré.
Visuli a également fait savoir que logiquement, si le mot « expulsion » a une connotation politique, donc le mot « évacuation » doit en avoir une aussi.
Mais Rubinstein insiste en disant qu’autant les règles régissant les autorités de la radiodiffusion que les précédentes décisions de la Haute Cour, définissaient clairement qu’il était correct de rejeter ces publicités. Selon l’Article 5 des règles d’annonces payées sur la radio israélienne, « la propagande politique ou une diffusion concernant un sujet politiquement et idéologiquement controversé parmi le public… » est définie comme une publicité interdite.
Rubinstein remarque que lors d’un cas similaire présenté devant la Haute Cour, la majorité avait statué que les restrictions sur la liberté d’expression concernant les annonces publicitaires payantes ne violaient pas la Loi fondamentale sur la dignité humaine et la liberté, et étaient donc constitutionnelles. Articles connexes
4 commentaires
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Jouer sur les mots à ce niveau de la Justice c'est tellement minable que 'les mots me manquent'
Alors, il faut arrêter tout ce BLABLA et appeler un chat un chat.
Que ceux qui ont honte aujourd'hui de ce qu'ils ont fait ASSUMENT!
Après les évènements du Gouch Katif, où 8000 personnes ont été déracinées de leurs maisons dans lesquelles ils habitaient conformément à la loi et à des décisions gouvernementales de longues date, et alors que ce transfert a été opéré sans qu’il ne se soit passé d’évènement violent, on aurait pu penser qu’à présent chacun sait que l’homme à la kipa brodée est un être doux, amène et débonnaire, opposé à la violence du plus profond de son être, et faisant preuve d’une grande responsabilité physique.
Ces comportements ont été longuement rapportés par la presse écrite et filmée.
En effet, l’homme à la kipa brodée est un homme profondément responsable, c’est un homme profondément inséré dans toutes les structures de la nation. Il va à l’armée dans des unités d’élites, et dans les locaux du mouvement de jeunesse Bne Akiva d’où provient une grande partie de ces jeunes, on peut voir face à l’entrée, des pierres commémorant ceux qui sont tombés lors des guerres d’Israël aux cotés de leurs frères sans kipa. De même on peut trouver ces jeunes dans toutes les universités.
Dans les écoles nationales religieuses, on étudie les matières séculaires, et l’auteur de ces lignes est lui-même un mathématicien et un ingénieur en électronique.
Quant à l’appartenance de la terre d’Israël au peuple juif, il est vrai que pour l’homme religieux cette terre nous appartient de droit divin. Mais ce droit divin n’est pas une brume mystique, il est reconnu par tous les gens sérieux et cultivés sur terre, et la preuve en est que les Anglais dans leur déclaration Balfour, ont effectivement décidé de restituer cette terre au peuple d’Israël. Et il n’est point besoin d’être historien émérite pour savoir qu’il s’agit de la terre d’Abraham, d’Isaac, de Jacob, et du peuple juif pendant de longs siècles, et que si nous l’avons quittée, ce n’est pas de notre volonté, mais parce que les Romains nous en ont dépossédé. Mais les Romains eux-mêmes n’ont pas voulu prétendre que cette terre n’avait jamais été la notre, puisque sur les pièces de monnaies à l’effigie de Vespasien, il était inscrit: “Judea capta”, c’est à dire la Judée prise. Cette terre est donc bel et bien la Judée