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Politique Israël

Mofaz : les grands blocs d'implantations dans le même sac que les avant-postes

Le député Kadima Shaoul Mofaz a critiqué le gel de la construction en Judée-Samarie qui met sur le même pied d'égalité les grands blocs d'implantations, sur lesquels il existe un consensus national, et le dernier des avant-postes illégaux. Selon lui, le refus du gouvernement Netanyahou de présenter un plan politique clair, a poussé les Américains à faire pression sur Israël, résultat : gel total de la construction.
247 commentaires
moi aussi je n'arrive pas a comprendre pourquoi on ne peux pas construire sur notre terre dans notre pays??
c'est fou ça! ca m'énérve en plus c'est palos reclame Jérusalem... et aprés, ils vont réclamé koi??
non,non,non ils auront ce qu'ils méritent et ca depuis leur participation et leur soutient au nazi durant cette 2 guerre mondial!!! c'est a dire RIEN!
Envoyé par Yello - le Jeudi 26 Novembre 2009 à 08:36
"Netanyahou: un gel de 10 mois prouvera qu'israêl veut vraiment la paix":

Il (Bibi) peut geler tout le pays pendant des centaines d'années, les palos, avec leur expert en "jérémiades", le enard abbas, en voudront encore et toujours plus. Ce n'est pas la bonne méthode, mais comme le dit si bien Paul 029, quand on parle sous le feu des bombes et sous les attentats permanents, comment agir avec sérénité??

AM ISRAEL HAY



Choqué En colère ! Embarrassé Star Triste
Envoyé par Viviane_005 - le Jeudi 26 Novembre 2009 à 08:40
en plus, si les palos reclame leur état dans les frontiére de 67, alors On est perdu car depuis 67 c'est frontiére on les a gagné au prix de nombreuse guerre declaré par le hammas et tout le reste des groupe terroriste et aussi au prix de nombreux morts, Israeliens mais aussi palestiniens , retourné dans les limite de 67 c'est comme si le terrorisme a gagner!! et ca pour la securité du monde, c'est mieux que NON, je sais que chaque personne a droit a un petit bout de terre mais nous, Juifs, on n'en a pas eu pendant tout le temps de notre exile. c'est palos a droit a un bout de terre mais vraiment tout petit car ils ne le merite pas!!
Envoyé par Yello - le Jeudi 26 Novembre 2009 à 08:49
Et les "concessions" pour un paix utopique continuent. D'ailleurs les arabes ex palestiniens le disent " ce n'est pas assez". Bien sûr, cela ne le sera jamais assez pour eux.

Je vais vous mettre un long copié collé pris sur modia.org qui exprime totalement notre pensée, analyse clairement où nous allons.
Qu'Hachem nous vienne en aide. Je crois que dans l'impasse où nous nous trouvons, si Bibi continue de trop faire ce type de concessions cela va chauffer en Eretz. Il n'a pas la tâche facile, c'est un fait certain mais à trop louvoyer il risque de tout perdre: le soutien de ceux qui ont voté pour lui 'une part alors que plus que jamais les juifs devraient montrer un front uni
Au passage je vous signale que pour les fête de Hanouccah, la boutique de Juif.org offre des articles à bas prix.
Yehudit
Envoyé par Judith - le Jeudi 26 Novembre 2009 à 09:00
Nous écrivions il y a 10 jours: Enfin, la paix à l'échelle mondiale est arrivée: ensemble, l'Iran, les Etats Unis d'Obama, la France de Sarkozy et de Kouchner, la Chine et les autres et aussi les dits "mouvements de la Paix" israéliens sont ensemble contre Israël qui construit des appartements dans Jérusalem dans le quartier de Guilo qui comprend 40000 habitants juifs. Les faux amis d'Israël ont dévoilé leur coeur, leur duplicité et leurs véritables tactiques hostiles.
Hier, Netanyahou a confirmé cette analyse et s'aligne totalement sur la politique américaine d'un Goush Katif bis qui augmentera encore plus le terrorisme. Pourquoi? Réfléchissons, à l'approche de 'Hanouka, fête du rétablissement de la vie en Israël selon la Torah. Cette évolution (trahison effrontée des promesses faites aux électeurs) va créer une situation conflictuelle vive et peut-être violente parmi les Israéliens, sans aucune concession des Palestiniens (ils l'ont déjà annoncé), au contraire! face aux carpettes/dirigeants israéliens qui s'allongent devant le serviteur des pays arabes, Obama, qui a déclaré publiquement qu'il orienterait sa politique selon sa religion musulmane (video ici). Péres parcourt le monde mandaté pour cette politique d'Oslo (qui avait fait millier de victimes israéliennes), et est reçu pour cela en grande pompe par les dirigeants communautaires de la diaspora, soutenus par des grands rabbins de là-bas qui réassurent l'identité nationale non israélienne. La droite israélienne annonce l'extension de la rebellion et l'objection de conscience dans l'armée. Les divers grands rabbins israéliens (fonctionnaires) demandent l'obéissance à l'Etat comme priorité et le refus de l'objection de conscience; et ne rappellent pas le projet juif sur la terre d'Israël réservée par le D.ieu de la Torah pour une fonction sainte, ni la justice sociale (même employés de l'Etat et des services religieux régulièrement non payés ou avec retard), ni la pauvreté grandissante en même temps que l'enrichissement et la corruption aux niveaux élevés, ni la violence logique qui s'étend dans la jeunesse. Une situation nouvelle et explosive comme à l'approche de la destruction du Temple. Il est temps de revenir à la morale de la Torah (Hanouka).
Attention: Netayahou utilise sa tactique habituelle: le language a double signification mais avec une ligne unique de réalisation. Il gèle la construction dans les implantations juives en Judée Samarie pour 10 mois, disant qu'il remet ainsi la responsabilité du processus de paix aux Palestiniens et semble être le généreux. Double: il précise qu'il ne renonce pas à la croissance naturelle dans ces implantations selon les besoins ni à la construction dans l'ensemble de Jérusalem y compris dans les quartiers à majorité arabe dits de Jérusalem-Est (alors qu'ils sont au Nord). Donc personne ne peut savoir où est la vérité.

Alors qu'en est-il? Obama et son équipe jubilent: Bibi réalise le plan qu'ils ont mis au point dans la réunion dont rien n'a été publié. Ils jubilent car Bibi est devenu le valet d'Obama et ce n'est plus le Chef du gouvernement israélien qui gouverne. Et Bibi, derrière tout cela, accomplira totalement la volonté d'Obama: l'essentiel est que Bibi réalise le programme d'Obama contraire à tous ses engagements pré-électoraux et où il affirmait que'il ne fera pas les mensonges et tromperies de Rabin envers ses électeurs. Il le fait pourtant, hurlent les mouvements politiques de droite, du "Grand IsraËl". Et ils se préparent à une riposte dure d'opposition qui laisse présager d'après les premières déclarations : l'encouragement à l'objection de conscience dans l'armée, l'engagement de leurs rabbins de cette orientation à éduquer en ce sens, ce qui veut dire aussi implicitement pour eux le droit moral à bloquer par tous moyens la politique de Bibi et il est probable que des violents de droite seront tentés d'aller jusqu'aux mesures extrêmes qui furent utilisées contre Rabin. Et ils invoqueront que là où ils n'y a plus de démocratie parce que le Chef de l'Etat a trompé ses électeurs, tout est permis pour rétablir la vérité démocratique (ces discours commencent à se dire sur les ondes). Alors les forces de commandement militaire et des renseignements entrent en action et se comportent contre tout un camp politique comme s'il était ennemi de l'Etat et de la démocratie: le délire collectif qui a précédé la fin de Rabin.
On voit tout le dégât immense où mène le mensonge dans l'utilisation de la démocratie. On en est là. C'est immensément triste, immoral.
Et quand des grands leaders spirituels substituent à la règle de la vérité et de la Torah celle de l'obéissance intégrale aux dirigeants même corrompus et menteurs pour la simple raison que ce sont les dirigeants, il n'y a plus ni loi ni juge. Les pires crimes ont été accompis ainsi par toutes les dictatures. Chacun prend la loi entre ses mains.

Le seul résultat est l'auto-destruction et la jubilation des adversaires et le renforcement de leur extrémisme. Cela s'est produit après le pogrom de Gouch Katif et maintenant tous les politiciens de tous horizons disent que ce fut une erreur mais on récidive. Et la diaspora reste indifférente; non, plus que cela, elle est flattée par les visites de Péres qui, au lieu de son rôle de Président représentatif de l'unité se transforme délibérément en propagandiste de sa seule politique d'Oslo. Il n'y a pas de loi. Ce que veulent toujours les gouvernants vieillissants en Israël, c'est finir leur carrière en se faisant un nom dans l'histoire par un seul moyen: faire la politique demandée par l'étranger: c'est une pathologie qui est la mutation de la dépendance millénaire dans la diaspora. Et cela s'est manifesté dans la maladie de base de l'Etat d'IsraEl selon la définition de Ben Gourion: faire un Etat "comme les autres". Tout est là. Mais aucun peuple ne fait cela actuellement, et certainement pas nos ennemis. Les USA ont voté pour un homme qui fait uniquement la politique arabe, et quand on s'y soumet le réveil est dur. Et Sarkozy et les Européens jubilent aussi et reçoivent en récompense d'immenses contrats financiers des pays arabes.

Il suffirait pourtant pari nous de 10 vraiment justes pour que le peuple ne tourne pas vers la destruction inévitable comme ce fut le cas à Sodome, disent nos textes. Qui va réagir? Et la morale juive enseigne cette morale et que les solutions ne sont aucunement dans "la politique" qui tourne toujours actuellement en corruption, mensonge et exploitation des pauvres. Pis qu'un capitalisme sauvagen tous les rapports officiels dsur la situation sociale le décrivent. Nous avons pourtant toutes les règles du bien dans la Torah. Etudions, prions, vivons.




Nouvelles au 20 novembre

Regardez cette video sur les performances de l'aviation israélienne, vous serez surpris et cela vous éclairera peut-être sur les événements à venir. (Lien ici).

Une guerre des Juifs ? par Shmuel Trigano:


On n’a pas assez réfléchi aux conséquences possibles du rapport Goldstone sur l’opération « Plomb durci » à Gaza. Profondément défaillant sur sa méthode d’investigation, il compare l’État d’Israël à l’organisation terroriste du Hamas et l’accuse de crimes de guerres et de crimes contre l’humanité.

L’accusation n’est pas nouvelle parmi les ennemis d’Israël. La seule différence, c’est qu’elle est endossée en bonne et due forme (1) par une institution internationale qui leur fournit ainsi un acte d’accusation juridique pour fonder leur entreprise mondiale de délégitimation.

Il est possible que ce rapport reste sans lendemain, ce que je ne crois pas, mais il nous rappelle qu’il ne faut nullement négliger la guerre symbolique qui se livre aujourd’hui contre Israël et, plus largement, le peuple juif. N’oublions pas qu’on avilit moralement un ennemi avant de le supprimer. On le déshumanise pour mieux l’abattre moralement (2). Il faut regretter que le leadership juif dans tous les pays n’ait pas encore compris que là était pour l’instant la clef de la bataille qui se livre depuis 10 ans, lorsque nous sommes entrés dans sa phase la plus accélérée, car le projet de l’extermination du peuple juif n’est pas nouveau.

Sur le plan des symboles, dans ce rapport Goldstone, c’est le Juge Goldstone lui-même qui est significatif. Il est effectivement juif, pratiquant et sioniste même, ajoute la rumeur, avec des antécédents de lutte contre l’Apartheid en Afrique du Sud.

Il n’est pas dénué de sens que l’ONU ait choisi un tel profil pour exécuter ses basses œuvres contre Israël. Il lui assurait l’impunité morale et la garantie de l’impartialité. Pensez donc, si un Juif le dit ! Alors c’est vrai.

C’est là un cas de figure que nous rencontrons régulièrement depuis 10 ans. Il y a le Juge Goldstone, il y a aussi l’entourage juif d’Obama, leviers de sa politique moyen orientale, et combien d’autres cas… On a vu surgir dans tous les pays occidentaux toute une galerie de personnages juifs prenant des poses de pères-la vertu et de sages au-dessus de la mêlée pour jeter l’opprobre sans fondements sur d’autres Juifs et notamment Israël.

C’est un phénomène unique que l’on ne rencontre que dans le monde juif et qui soulève de sérieuses questions sur la puissance de l’instinct de mort en lui. On a parlé de haine de soi, on a parlé d’alterjuifs (3) pour définir ce type d’identité, mais le problème est plus profond, plus vaste. Il n’est pas récent mais consubstantiel à la condition juive.

Les accusateurs publics auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui sont dans la plupart des cas d’origine juive, beaucoup sont israéliens. C’est un fait massif qui n’a pas été assez souligné. Or, nous avons constaté, durant ces années, que le fait d’être juif ne prémunit nullement contre l’antisémitisme. En l’occurrence, le rapport Goldstone s’apparente à une accusation de crime rituel quand on y lit qu’Israël a « délibérément terrorisé une population civile » et que « la violence israélienne contre les civils relève d’une politique délibérée ». Je ne peux me livrer dans ce cadre à une étude détaillée des malversations et des manipulations qui caractérisent ce rapport (4). Est-ce étonnant quand on sait que l’ONU et le Conseil des Droits de l’Homme sont sous l’influence des 60 États membres, très démocratiques comme on le sait, de l’Organisation de la Conférence Islamique ?

Il est temps d’entamer une sérieuse réflexion sur ce phénomène. Que recherche cette mouvance ? Sauver sa peau parce qu’elle pressent une impasse prochaine ? C’est effectivement un mauvais indice psychosociologique d’une tragédie qui est peut-être en train de se préparer sous nos yeux de spectateurs impuissants (5). Jouer sans danger aux grands moralistes sur la montagne ? C’est comme la fameuse boutade sur la morale kantienne : « Kant a les mains pures, mais ils n’a pas de mains ». Régler son compte à une judéité mal assumée ? Leur malaise élevé à une doctrine empoisonnerait le monde, en tel cas. Servir, plus prosaïquement, un carriérisme ? Il est en effet prouvé que la position qu’ils défendent est le « sésame ouvre-toi » des médias, des prébendes et des honneurs. C’est ce qui fonde justement la prépondérance de facto de leur discours et la censure qui pèse sur nombre d’intellectuels juifs dans la presse, les arènes publiques et les plateaux de télévision où ils ne sont invités que pour être « exécutés » publiquement sur le pan de leur respectabilité intellectuelle et morale.

Leur posture est doublement amorale, parce que leur jugement est infondé (on peut reprendre une à une toutes les pièces du dossier pour les contester) et parce qu’il est lancé à la cantonade au moment où les Juifs sont en butte à l’hostilité, comme pour hurler avec les loups. Elle témoigne surtout d’un terrible manque de sens politique parce que le discrédit rejaillira toujours sur eux et les emportera, en premier, dans la tourmente qu’ils auront attisée. C’est justement parce qu’ils sont juifs qu’ils jouent le rôle qui leur est assigné par l’idéologie dominante. Et c’est ce qui les exclura ipso facto de ses rangs.

Qu’on ne me dise pas qu’il y va de la liberté d’opinion et de critique (6). Il suffit de se livrer à une comparaison pour constater que le discours des détracteurs et des dénonciateurs est abusif et excessif dans la mesure où aucun autre État dans le monde, et parmi les pires cas, n’est sujet à une telle attaque symbolique. Non, c’est de bien autre chose qu’il s’agit, d’un phénomène pathologique, d’une corruption du débat démocratique qui caractérise le monde juif, comme nulle part ailleurs.

La question n’est pas uniquement morale et spirituelle. Elle est politique et stratégique : une guerre des Juifs est-elle en train de se dérouler aujourd’hui ? Répondre à cette question déchirante décidera de la capacité des Juifs de faire face à cette situation.

J’ai en tête une mémoire historique très précise. Quand j’entends (7) Élie Barnavi, qui fut ambassadeur d’Israël, déclarer souhaiter que « la paix » soit imposée à Israël par les États-Unis et tout spécialement Barak Obama, sans autre forme de procès et au mépris du choix démocratique des Israéliens qu’il invoque pourtant sans cesse, quand je lis que toutes les pseudo Organisations « Non gouvernementales » (O.N.G.) des droits de l’homme en Israël et parmi les Palestiniens sont financées par l’Union Européenne et ses États pour mener leur politique d’accablement humanitaire d’Israël au service de leur politique pro-arabe, cela me rappelle irrésistiblement le début de l’époque finale du deuxième État juif (détruit en l’an 70) quand une faction d’une société alors en proie à une guerre civile en appela (en - 63) à l’empire romain, au consul et général Pompée, pour triompher de ses adversaires. Pour la suite que l’on sait.

La question à laquelle nous devons nous confronter soir et matin - et c’est déjà le cas depuis 10 ans pour les plus clairvoyants - est de savoir si nous sommes en train d’assister au processus qui conduira à la destruction de l’État d’Israël. Il faut le dire clairement et que chacun prenne ses responsabilités devant l’histoire et la conscience.

Notes

1 - Cette caractéristique n’est vraie que parce que le Rapport est certifié par une institution. Selon le rapporteur lui même : « Ce n’était pas une enquête [criminelle], mais une mission d’établissement des faits [fact-finding] […] Nous devions faire de notre mieux avec le matériau à notre disposition. S’il s’était agi d’un tribunal, rien n’aurait pu être prouvé. » (Goldstone, interviewé par "Forward", le 2 octobre, Forward.com, October 07, 2009, issue of October 16, 2009) , cf. pour l’article de Forward :
http://www.upjf.org/actualitees-upjf/article-17255-145-7-goldstone-court-lac-would-have-been-nothing-proven-gal-beckerman.html#). Le problème est que ces faits sont établis uniquement sur la foi des « témoignages » des gens de Gaza (sur l’affaire de la mort de la Samouni, voir l’étude de Anna Lifschitz Krams, « La presse et Gaza, histoire du massacre de Zeitoun ») (Controverses, 11, mai 2009). Le Rapport est une pure accusation laissant à Israël le soin de se disculper : « ce ne sera pas un problème embarrassant pour moi si l’investigation israélienne prouve que nombre des faits avancés dans ce rapport sont infondés ».L’accusation sans fondement aura été entre –temps lancée. Personne ne prêtera plus attention à la démonstration du contraire. « Mentez, il en restera toujours quelque chose... »

2 - Le fait que c’est le seul État du monde à être l’objet d’une condamnation « morale », alors que ceux-là même qui le condamnent sont les dictatures les plus obscurantistes de la planète et que les États sont tous des monstres de la « Raison d’État », est un indice très significatif de l’identité d’Israël, même chez ses pires détracteurs.

3 - Cf. « Les Alterjuifs », Controverses n° 7,

4 - La démonstration, point par point, a été faite en anglais par NGO Monitor : « Goldstone Report: 575 pages of NGO "cut and paste" » , « Two NGO Monitor reports on Goldstone :1) House of Cards: NGOs and the Goldstone Report ; 2) Made in Europe: How government funded NGOs shaped the Goldstone report

5 - Exactement le même phénomène s’est produit avant la deuxième guerre mondiale. A l’époque de la guerre froide, ce fut au tour des Juifs communistes à monter sur la scène de l’autodestruction. Dans toutes les occurrences de ce travers, il y avait un indice sociologique de la pression ambiante exercée sur les Juifs, annonçant un assaut à leur encontre.

6 - Sur ce plan-là, personne n’a à me faire de leçons. Un travail de 40 ans, durant lesquels je n’ai pas fait l’économie d’une critique du monde juif, le démontre.

7 - Les Matins de France Culture, 1/10/2009. Entre autres déclarations: ”James Baker ... a dit, on l’a enregistré… « we will screw the Jews » on va baiser les Juifs. C’était de la musique à mes oreilles”.


Voici un autre texte très éclairant de Shmuel Trigano et vous trouverez ses autres articles également sur Contreverses (lien ici, lire absolument):

Déconstruire l’idéologie dominante ( par Shmuel Trigano):

Le saviez-vous ? 900 000 Juifs ont été exclus ou expulsés des Etats arabo-musulmans entre 1940 et 1970. L’histoire de la disparition du judaïsme en terres d’islam est la clef d’une mystification politique de grande ampleur qui a fini par gagner toutes les consciences. Elle fonde le récit qui accable la légitimité et la moralité d’Israël en l’accusant d’un pseudo « péché originel ». La fable La fable est simpliste : le martyre des Juifs européens sous le nazisme serait la seule justification de l’État d’Israël. Sa « création » par les Nations Unies aurait été une forme de compensation au lendemain de la guerre. Cependant, elle aurait entraîné une autre tragédie, la « Nakba », en dépossédant les Palestiniens de leur propre territoire. Dans le meilleur des cas, ce récit autorise à tolérer que cet État subsiste pour des causes humanitaires, malgré sa culpabilité congénitale. Cette narration a, de fait, tout pour sembler réaliste. Elle surfe sur le sentiment de culpabilité d’une Europe doublement responsable : de la Shoah et de l’imposition coloniale d’Israël à un monde arabe innocent. Dans le pire des cas, cette narration ne voit en Israël qu’une puissance colonialiste qui doit disparaître. Ce qui explique l’intérêt d’accuser sans cesse Israël de génocide et de nazisme : sa seule « raison d’être » (la Shoah) est ainsi sapée dans son fondement. La « Nakba » est le pendant de la Shoah. La synthèse politiquement correcte de ces deux positions extrêmes est trouvée dans la doctrine de l’État bi-national ou du « retour » des « réfugiés » qui implique que les Juifs d’Israël mettent en oeuvre leur propre destruction en disparaissant dans une masse démographique arabo-musulmane. Les implications Ce discours manichéen a plusieurs implications symboliques et idéologiques : - Il délégitime l’État d’Israël et justifie sa destruction - Il implique que les Juifs ne sont pas un peuple et qu’ils n’ont aucun lien avec la « Palestine » - Il entraîne que leur constitution en nation est en soi une violence et une mystification - Il leur interdit la jouissance du droit à l’autodétermination qui est le privilège de tout groupe humain quel qu’il soit. - Il accuse le sionisme d’avoir mis fin à la « coexistence pacifique » judéo-arabe : il aurait été responsable du départ des Juifs des pays arabo-musulmans - Il innocente par principe les Palestiniens et les Etats arabo-musulmans -Il « autochtonise » les « Palestiniens » alors que l’adjectif « palestinien » désignait auparavant les Juifs du Yichouv. La « Palestine » d’aujourd’hui est, en effet, une invention récente qui date des années 1970. Or, ce récit s’expose à une contradiction majeure - La majorité de la population israélienne n’est ni originaire d’Europe ni rescapée de la Shoah, et ce, dès les années 1950. Originaire des pays arabo-musulmans, elle est partie prenante de l’histoire politique et humaine de la région. La mystification Le destin de cette population est significatif : entre les années 1940 et 1970 elle a été expulsée ou exclue et poussée au départ. 900 000 Juifs d’alors ont dû fuir des pays où ils étaient présents bien avant l’invasion islamique du VII° siècle: 600 000 se sont réinstallés en Israël, le reste, en majorité en France. - Dans leur grande majorité, ces populations ne sont pas parties volontairement mais sous le coup d’un véritable « statut des Juifs », d’un antisémitisme d’État, souvent systématique, soutenu par un arsenal de lois et de règlements. - Cet événement massif et considérable, concernant 10 pays, sur une longue période, commençant dans les années 1920 pour certaines régions, est l’objet d’une véritable mystification qui prend la forme du mythe de la symbiose judéo-arabe que toute l’histoire dément, y compris l’âge andalou. - Ce mythe n’est pas inoffensif : il est la couverture d’un projet de destruction de l’État d’Israël et connaît une diffusion mondiale, dans les pays les plus éloignés de l’arène du conflit. Il retentit sur la condition des Juifs dans les pays occidentaux et sur la réception de l’islam en leur sein. Il est temps de restaurer le récit historique juif ! Ce n’est pas une question de mémoire, ni de dignité ou de reconnaissance, mais une question politique qui engage la justice. Car les populations concernées sont toujours vivantes : la plus grande partie des Juifs du monde arabo-musulman constitue la majorité des citoyens israéliens et des Juifs de France. Ils ont été victimes de violences, de graves spoliations économiques et financières de la part des nouveaux Etats arabes. L’histoire des 40 dernières années a montré que les passer sous silence se retournait nécessairement contre elles. Leur présence en Israël n’est pas une cause humanitaire – même si leur expulsion en fit des réfugiés contraints de quitter leur pays et d’abandonner leurs biens. Réfugiés, ils le furent clairement au Yémen, en Irak, en Egypte, en Libye. Ailleurs, ils le furent objectivement si partir précipitamment, sous la menace, en abandonnant ses biens, définit la condition de réfugié. L’enjeu inavoué - Les Juifs du monde arabe constituaient une nation dominée, assignée au statut infâme de dhimmi. La seule tolérance qu’ils connurent dans ces pays fut l’époque coloniale où ils échappèrent à cette condition dégradante de parias. - Il faut voir dans l’immigration de ces populations en Israël le processus d’autodétermination d’une nation dominée du monde arabo-musulman au moment même où le nationalisme arabe conduisait à la création d’Etats qui n’existaient pas auparavant. - Cette autodétermination s’identifiait naturellement avec le sionisme en quête d’auto-émancipation. - C’est ainsi que l’existence d’Israël et le sionisme sont perçus dans la perspective du monde arabo-musulman : comme la rébellion d’une nation dominée contre la loi de l’islam et la oumma. C’est la cause unique du conflit israélo-arabe. - La Palestine n’a jamais été une entité politique, culturelle, identitaire. Il n’y a pas de « Palestine » avant l’instauration du mandat britannique par la Société des Nations, en 1920. Une partie des Palestiniens sont des immigrés du monde arabe, installés là, à la fin du XIX° siècle et au début du XX°, favorisés par la politique ottomane et attirés par la prospérité économique, apportée par les Juifs. Ils sont au plus aussi « palestiniens » que les Juifs. Yasser Arafat comme Edward Saïd étaient des Egyptiens. C’est un tout autre paysage historique et politique qui transparaît sous la chape de plomb de la mystification. - L’État d’Israël, reconnu en 1948 par le Conseil de sécurité, est aussi légitime que les États arabes, pure invention post-coloniale. Ils n’existaient pas auparavant. Avant la colonisation européenne, leurs territoires étaient sous le pouvoir colonial - mais musulman - de l’empire ottoman. - Il n’a pas de dette envers les Palestiniens. Un échange de populations s’est produit à cette époque d’après guerre : en Europe pour environ 18 000 000 de personnes (dont le déplacement vers l’Allemagne de 12 000 000 de ressortissants d’origine allemande, provenant de 5 pays) ; en Asie, pour les 12,5 millions d’Indous et de Pakistanais à la suite de la sécession du Pakistan musulman en 1947-1948. Rappelons le transfert avant-guerre de 1,3 millions de Grecs et de 400 000 Turcs, de 200 000 Bulgares en 1923-1933, et combien d’autres échanges de populations dans le monde entier. Parmi elles, 900.000 Juifs et 600.000 Palestiniens. - Par contre, la dette arabe est réelle: les biens juifs spoliés sont 500 fois supérieurs à ceux des Palestiniens. - Les Palestiniens et les États arabes sont les seuls responsables de leur situation : * Ils ont systématiquement refusé tous les partages de la Palestine mandataire alors que les Juifs l’acceptaient. * Un Etat palestinien s’est néanmoins déjà créé sur les deux tiers de la Palestine : la Jordanie. 75% de sa population est « palestinienne », même si le pouvoir est aux mains d’une minorité bédouine qui n’hésita pas à massacrer les « réfugiés palestiniens» lors du dramatique « Septembre noir » de 1970 (10 000 morts, 110 000 blessés). * C’est la « Transjordanie » (créée en 1922 par l’empire britannique) qui a occupé et annexé les territoires de Judée et Samarie et Jérusalem-Est lors d’une guerre de conquête en 1947-1948. Elle devînt alors la « Jordanie » et les territoires occupés, la « Cisjordanie ». Aucun mouvement de libération palestinien ne se leva contre cette occupation, ni contre celle de la bande de Gaza par l’Egypte. La « Palestine » n’était pas encore née. * Les réfugiés palestiniens ne sont pas innocents : ils étaient partie prenante de l’agression des États arabes contre Israël. Leur départ ou expulsion est directement lié à cette situation. * Les Juifs des 10 pays arabo-musulmans, n’étaient pas sur le terrain du conflit armé, ni ne constituaient une puissance menaçant les États arabes où ils résidaient. - Les Etats arabes n’ont pas intégré les réfugiés palestiniens, à l’inverse d’Israël pour ses réfugiés, pour en faire des foyers de guerre permanents. - Les Palestiniens, y compris les « modérés », refusent toujours aujourd’hui le partage du territoire mandataire restant après la création de la Transjordanie, en refusant à Israël le droit à son caractère national juif, alors qu’ils définissent la Palestine comme arabe et islamique, une terre où, selon leurs documents constitutionnels et leur pratique, il n’y aurait plus aucun juif et où il n’y a déjà quasiment plus de chrétiens. - L’existence d’Israël pose le problème du droit de vivre en sujets libre et souverains des nations non musulmanes dans l’aire musulmane. L’extermination des Arméniens, d’abord par l’empire ottoman, puis par le nouvel Etat turc a représenté la première répression d’une population dhimmie en quête d’indépendance nationale. Il n’y a quasiment plus de Juifs aujourd’hui dans le monde arabo-islamique et les chrétiens y sont en voie de disparition. L’enjeu contemporain Le critère déterminant d’appréciation de la situation d’Israël n’est pas seulement la Shoah des Juifs d’Europe mais celle dont le monde arabo-islamique menace l’Etat d’Israël qui résume l’impasse tragique que le « statut des Juifs », mis en oeuvre lors de la fondation des nouveaux États arabes, y annonçait et que la création de l’État et sa victoire militaire ont suspendue. Elle plane toujours sur sa tête et la menace nucléaire iranienne lui donne toute sa crédibilité. Le peuple juif n’est pas une cause humanitaire mais un peuple de l’histoire et il a le droit à la souveraineté sur une terre qui a connu trois Etats juifs et depuis la plus haute antiquité, en un temps où ni le mot arabe, ni le mot islam n’étaient encore connus. La condition des Juifs n’est pas vouée à la marginalité ou à la soumission par on ne sait quelle fatalité. Ces quelques vérités constituent le B-A BA d’une vision saine et objective de la situation, fondée sur la réalité des faits. Tels sont les éléments historiques et politiques qui doivent inspirer le discours juif aujourd’hui. Il est temps de reprendre l’initiative morale, symbolique, idéologique du débat et du combat. Document élaborant le modèle historique de la fin des communautés juives en terres d’islam . Bibliographie de l’auteur : La fin du judaïsme en terres d’islam, (livre collectif sous sa direction), Editions Denoël, 2009. « L’exclusion des Juifs des pays arabes » (livre collectif sous sa direction), Pardès, 28/2000, Editions In Press. « La mémoire sépharade » (livre collectif sous la direction de Hélène et Shmuel Trigano), Pardès, 34/2003. Le Monde Sépharade, histoire et civilisation, (livre collectif en 2 tomes sous sa direction), Le Seuil, 2006.
Envoyé par Judith - le Jeudi 26 Novembre 2009 à 09:00
Arekat : la démarche israélienne ne suffit pas

[Mercredi 25/11/2009 21:37]

Le chef de la délégation palestinienne de négociations avec Israël, Saeb Arekat, a déclaré que les propos de Netanyahou ne représentaient pas un progrès ou un développement permettant aux Palestiniens de reprendre les négociations. Le porte-parole du chef de l’AP Abou Mazen (Mahmoud Abbas) Nabil Abou-Rodeina a déclaré que la reprise des pourparlers nécessitait l’interruption absolue de « la colonisation » à Jérusalem et en Judée Samarie. « Nous n’accepterons pas que Jérusalem ne fasse pas partie du gel », a ajouté le Palestinien.
Envoyé par Buffalo Soldier - le Jeudi 26 Novembre 2009 à 09:22
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Envoyé par Gerard élie - le Jeudi 26 Novembre 2009 à 09:54
Biibi et son gouvernement ont l'iran en ligne de mire
Ce pays est tres tres pres du seuil nucleaire (quantite d'U enrichi necessaire pour une bombe)
Ill veut la voie libre de la part du locataire incapable et heureusement temporaire de la maison blanche .
Ce gel me fait ch.... autant que vous, je trouve le concept repugnant,digne des nazis et des tsars !
D'un autre cote, 3000 logements seront construits rien n'empeche,en interim, de loger des gens dans des 'écoles" puisque ce gel exclut les infrastructures publiques comme les creches ,écoles et jardins d'enfant.
Je suis certain que nos amis et familles de Judee Samarie feront appel a leur imagination
Tire la langue
Envoyé par Daniel_034 - le Jeudi 26 Novembre 2009 à 10:10
Et dire encore,que ce nous juifs,qui-ils n'est cherchions pas de solution's pour un paix durable!!!!??!!!
cet encore les palos,qui-ils rejettent notre offre!!!
pourtant on est le bon fois,comme toujour!!!ce sont eux qui-ils cherchent tout fois un faille!!!!
ce sont eux mèmes qui-ils n'est voulais de la paix!!! pour eux,ets beaucoup plus rentable un conflit perpetuell!!!!
voire les aides internationaux accumule par tout!!! Star En colère ! En colère ! En colère ! En colère ! En colère ! En colère ! Star
Envoyé par Alexander - le Jeudi 26 Novembre 2009 à 10:27
Les Israéliens en sont encore à vouloir prouver à leurs ennemis qu'ils cherchent à faire la "paix" ? Triste
Envoyé par MARCOROZ - le Jeudi 26 Novembre 2009 à 10:38
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 6 minutes