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Politique IsraëlBarak : les implantations font partie d’IsraëlEn réunion avec quatre chefs de conseils régionaux de Judée Samarie, le ministre de la défense Ehoud Barak a souligné que « les blocs d’implantations sont une partie inséparable d’Israël dans toutes les futures négociations avec les palestiniens. La vallée du Jourdain et la mer Morte sont des régions qui sont chères à mon cœur. »
Barak a promis que la commission d’appel formée mercredi donnera des réponses aux résidents dans les 14 jours, et déclare que 40 nouveaux inspecteurs ont été recrutés pour appliquer le gel des constructions.
« Des petits changements comme l’installation de climatisation, la construction de pergolas, et l’infrastructure technique peuvent êtres réalisés avec l’accord des conseils régionaux. La communication et la coordination avec les Etats-Unis est vitale pour Israël, sur les plans politiques et sécuritaires. »
« Je sais qu’il s’agit d’une décision difficile, mais cela est nécessaire pour l’état d’Israël aujourd’hui. Notre responsabilité en tant que dirigeants de l’état et dirigeants du public est d’agir avec responsabilité et de respecter les décisions du gouvernement et les lois de l’état. Le leadership en Judée Samarie est responsable, et je suis certain qu’il agira dans le cadre de la loi. »
Après avoir quitté la réunion, le chef du conseil d’Alfei Menashe, Hasdai Eliezer, a déclaré : « nous partons avec une déclaration très importante, comme quoi les blocs d’implantations ne sont pas négociables. Lorsque vous venez sans attentes, vous ne pouvez pas repartir déçus. »
Eliezer rajoute qu’il a le sentiment d’avoir quitté le meeting avec des réalisations importantes pour le public qu’il représente. « Les ordres ne font pas la différence entre la construction d’une pergola ou d’une terrasse, décisions qui nous avaient aussi été retirées, et il nous redonne cette autorité pour continuer une vie normale. Nous n’étions à priori plus autorisés à traiter l’infrastructure, de construire des trottoirs, des routes, des installations d’eau. Ils nous redonnent largement cette autorité. »
Toujours selon Eliezer, le ministre de la défense a eu des mots rassurants à l’égard de la vallée du Jourdain et de la mer Morte : « il nous a dit que ces deux régions étaient très proche du cœur du parti travailliste, que c’était le Mapai qui avait établit des implantations dans la vallée. »
Eliezer a aussi critiqué le Likoud : « ils suivent le parti Kadima et le parti travailliste dans leurs idées sur les implantations, il n’y a aucune différence idéologique aujourd’hui entre le Likoud, les travailliste ou Kadima. Aucune différence. »
« Lorsque vous entendez que ces ordres incluent Alfei Menashe, Oranit, Guivat Zeev et Maale Adumim, qui sont pourtant des actifs inaliénables, il semble que notre place n’est pas sécurisée dans la conscience publique. Lorsque vous entendez le président du parti travailliste dire que ces villes ne sont en aucun cas négociables, c’est un message important et essentiel aux résidents de ces communautés, » a-t-il déclaré. Articles connexes
247 commentaires
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Ils donneraient le Pays entier pour ce Monde devenu fou et près
à ce débarasser une fois de plus du Peuple JUIF .
C'est innacceptable ,c'est trahire son propre PEUPLE .
Vous devriez redescendre sur terre, et observer comment le "grand brun" se comporte différemment suivant ses interlocuteurs. (D'ailleurs, on ne juge une personne que d'après ses actes et ses gestes, pas seulement d'après ses discours, surtout ceux, fallacieux, d'obamarabe).
Aves le monde arabo/muzz: obama baise les pans de gandoura des représentants d'arabie saoudite,en signe de soumission, prononce des discours au caire extrêmement virulents et propres à attiser encore + la haine contre Israêl, téléphone à abbas (ex abou-mazen, terroriste notoire) le 1er jour de son élection, etc...
- avec Israêl: ce même grand brun, d"'origine kenyane" reçoit Bibi avec une "décontraction" frisant l'insolence: ses 2 pieds sur son bureau, sous le nez de Bibi, et le regardant avec condescendance - cette image honteuse a été diffusée partout dans le monde, pour m!ieux discréditer Israel et son représentant- ; ses exigences éhontées et unilatérales à l'égard d'Israêl, et "pommade" pour les palos et leurs représentants et com-plices, etc.. etc...
Alors, le 2 poids, 2 mesures dont Israêl fait les frais depuis trop longtemps, "ras-le-bol"....et ceux qui croient encore au "père noêl", même si c'est la saison, à d'autres..
AM ISRAEL HAY
le PEUPLE JUIF doit baisser "son pantalon" devant l'ennemi ( qui est coriace, car cela fait fait tout de même près de 3000 ans qu'il nous harcèle et souhaite notre disparition)
"COMPOSER AVEC", me rappelle une bien triste période en France, Vichy....
Sans vouloir vous offenser, ou vous avez la mémoire courte ou vous porter des oeillères......ce qui ne laisse présager rien de bon pour AM ISRAEL. Shalom à vous.
Présidée par John Kerry, rival démocrate de George W. Bush aux
présidentielles de novembre 2004, la commission des Affaires
étrangères, l'une des plus puissantes du Sénat vient de publier un rapport d'enquête au titre sans appel : « Tora Bora revisité, comment nous avons échoué à capturer Ben Laden et pourquoi cela compte aujourd'hui. »
La commission s'y livre à une étude minutieuse des raisons pour lesquelles le chef d'Al-Qaida, encerclé dans le massif afghan de Tora Bora, trois mois après le 11-Septembre, a pu échapper aux forces américaines et se replier vers le Pakistan voisin, dans ces zones tribales où il est sans doute toujours réfugié.
L'exercice n'est donc pas qu'historique, il vaut procès de la conduite des opérations militaires par l'administration Bush et le verdict est effectivement sévère :
« Notre incapacité à terminer le travail (“finish the job”) à la fin de 2001 a contribué à un conflit qui menace aujourd'hui, non seulement nos troupes et celles de nos alliés, mais la stabilité d'une région volatile et vitale. »
Reprenons d'abord la chronologie, qui correspond à la cinquième de mes « neuf vies d'Al-Qaida » :
Ben Laden planifie les attentats du 11-Septembre à New York et Washington pour provoquer une intervention américaine sur le territoire de l'Afghanistan taliban, dans l'espoir que les Etats-Unis s'y enliseront aussi fatalement que la défunte Union soviétique.
Au lendemain des attentats, le chef d'Al-Qaida enregistre sa plus fameuse intervention télévisée, depuis une grotte afghane, et la cassette est remise à la chaîne Al-Jazira, au Qatar, pour être diffusée dès le début de l'offensive américaine en Afghanistan. C'est chose faite le 7 octobre 2001 et Ben Laden mise, à tort, sur une résistance durable de ses alliés talibans.
Le 8 novembre, il se trouve encore à Kaboul, mais l'effondrement des lignes talibanes l'amène à fuir vers l'Est et la frontière pakistanaise, accompagné de quelques centaines d'inconditionnels, majoritairement arabes. Il se réfugie dans les montagnes de Tora Bora, qui furent son sanctuaire lors de la guérilla antisoviétique, puis à son retour en Afghanistan en 1996.
Le rapport Kerry reproduit en annexe un document déclassifié des Forces spéciales, qui confirme la présence de Ben Laden à Tora Bora, entre le 9 et le 14 décembre 2001. Soumis à des bombardements d'une puissance dévastatrice (une bombe de plusieurs tonnes est même larguée, secouant le massif sur des kilomètres), les combattants d'Al-Qaida subissent de lourdes pertes et leur chef rédige même son testament.
Mais seule une centaine de commandos américains est déployée au sol et le sort d'Al-Qaida est remis entre les mains des milices afghanes alliées des Etats-Unis (curieusement, le rapport Kerry mentionne deux de ses chefs miliciens, à la loyauté déjà discutable, sans signaler que le troisième était… le fils du gouverneur qui avait accueilli Ben Laden dans la région en 1996 ! ).
Fiasco : le siège de Tora Bora demeure inabouti et Ben Laden s'échappe
Les demandes de renforts, exprimées avec insistance par la CIA et les commandos Delta, sont rejetées par la hiérarchie militaire, alors que le millier de soldats, nécessaires pour boucler la frontière et ratisser le secteur, étaient disponibles à proximité de la zone (mille à deux mille autres soldats pouvaient sans obstacle majeur rejoindre le théâtre). Le siège de Tora Bora demeure inabouti et Ben Laden parvient à s'échapper, sans doute le 16 décembre.
Le Sénat américain met très directement en cause dans ce fiasco le double aveuglement stratégique et idéologique de l'administration Bush. Donald Rumsfeld, le secrétaire à la Défense, promeut alors avec constance un concept opérationnel à fort impact technologique et faible engagement terrestre, et il refuse d'aggraver le bilan somme toute limité d'une trentaine de soldats américains tués en deux mois de campagne en Afghanistan.
Surtout, l'administration américaine est engagée depuis le 11-Septembre dans une « guerre globale contre la terreur », où Al-Qaida est noyée dans un objectif d'ambition bien plus vaste, avec l'Irak de Saddam Hussein en ligne de mire.
Des accusations graves avant l'annonce par Obama de ses décisions sur l'Afghanistan
Le rapport Kerry considère que l'échec de décembre 2001 a plongé l'Afghanistan dans les huit années écoulées de conflit, où 950 militaires américains et près de 600 soldats alliés ont trouvé la mort. Le coût pour le contribuable US est évalué à 243 milliards de dollars, auxquels s'ajoutent environ 70 milliards pour l'année fiscale en cours. Pire, deux attentats inspirés par Al-Qaida ont, selon le FBI, été déjoués ces derniers mois sur le territoire des Etats-Unis.
La commission Kerry, composée de sénateurs démocrates et républicains, publie ces accusations particulièrement graves, à la veille de l'annonce par le président Obama de ses décisions sur le conflit afghan. Le chef de l'Etat martèle, en contraste évident avec son prédécesseur, sa détermination à « finir le travail » et à neutraliser définitivement Al-Qaida.
La revanche de Tora Bora se joue aujourd'hui dans les zones tribales pakistanaises et, du sort de cette nouvelle bataille, dépend la capacité de l'administration démocrate à tourner la sombre page du 11-Septembre
Je n'est rien à rajouter pour ma part à votre commentaire .
Simplement tous les JUIFS du Monde doivent ètre unanimes
et solidairent.
Elie de Lyon
Votre commentaire est complètement nul .
ouvrez les yeux notre Peuple est en danger.
Elie de lyon
A propos d'Obama avec les pieds sur le bureau, j'avais compris qu'il discutait avec Natanyaou au téléphone. Vous dites qu'il était en face de lui ?????? mais c'est énoooooooooooorme ca. Vous dites qu'il y a des photos ?? où peut on les trouver ?
Merci