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Politique IsraëlGel des constructions : l'Autorité Palestinienne affirme ne pas avoir reçu d'information des Etats-UnisLe porte-parole de l'Autorité Palestinienne a fait savoir ce mardi que cette dernière n'avait reçu aucune information officielle de la part de Washington à propos d'un éventuel gel israélien de la construction en Judée-Samarie durant 90 jours. Aucun commentaire ne sera fait à ce sujet par Mahmoud Abbas tant qu'il n'aura pas été clairement informé de la situation par l'administration Obama. 8 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 22 minutes























Ou peut-être ( mais ceci n'exclut pas cela ) qu'il s'agit de la partie émergée, en quelque sorte, d'une négociation - bras de fer, dont l'enjeu réel serait - pour Israël - d'obtenir que la politique américaine prenne enfin véritablement ses distances par rapport à Téhéran ( et à Damas ). Auquel cas il conviendrait de remarquer l'insistance mise par Robert Gates à répéter que c'est " non et non " ... Et que la position des Etats-Unis n'est pas de payer d'une attitude plus énergique vis-à-vis de l'Iran les concessions qu'il entend bien imposer, de toute façon, à Israël ...
Ce qui pourrait vouloir dire qu'en dépit des résultats plutôt désastreux des " midterm elections " , l'équipe Obama-Clinton se sent en position de force. Et pourquoi ce sentiment, sinon parce que l'équipe Clinton-Obama [ j'insiste sur le rôle de Mme Clinton, parce que j'ai l'impression, depuis quelques semaines et particulièrement depuis les vives attaques de Bill Clinton contre les Israéliens russophones ( comprendre : Avigdor Lieberman ) que c'erst le couple Clinton qui a pris, à la place d'un Obama quelque peu dépassé, la direction réelle
En ce sens, l'actuel plan de gel des constructions aurait moins pour objectifs les constructions elles-mêmes et la reprise des " négociations " , ni même la lutte contre Lieberman, que de faire en quelque sorte éclater l'élément central de la coalition gouvernementale, le Likud.
Si mon raisonnement ( encore au stade de l'intuition ) est correct, après avoir ciblé, il ya quinze jours ou trois semaines, Avigdor Lieberman et son parti, puis Elie Yishaï et les religieux, l'équipe Clinton s'attaquerait maintenant au coeur du coeur : le Likud, avec l'objectif de le faire éclater en tapant là où ça fait mal ; et parce que les Clintopn ont bien perçu ce que je " dénonce " pour ma part depuis quelques temps : l'existence, au sein du Likoud, d'un courant " chamberlainien " ( Michaël Eytan, Dan Méridor ... ), favorable à tous les " apeasements " et à tous les Munich ...
Le but du plan actuel est, non pas d'obtenir la reprise des " négociations " , mais de faire éclater le noyau central de la coalition gouvernementale israélienne : le Likoud.
Quoi que il ( Bibi ) peut promettre , les palos sont pas content , les américains a hurler avec eux et réclamer encore et encore . Tout semble normal , mais dans leur façon de trainer ils ont déjà prolongée le gel indirectement .
Un au moins affiche un sourire bête – Barak , surement content .
dix mois sont passées sans changement et 3 mois en plus change quoi ? Après réclamer encore 20 mois ???
Mais les deux " niet " de Robert Gates ces jours-ci sifflent en quelque sorte la fin de la partie : Washington ne durcira pas sa politique à l'égard de l'Iran et continuera d'explorer, via Damas et Bagdad, les modalités possibles d'un " gentlemen's agreement " avec Téhéran.
Du coup, ceux qui, en Israël, avaient consenti à Netanyahu une assez large marge de manoeuvre et de négociation en fermant les yeux sur des concessions en Judée-Samarie notamment, se retrouvent devant la perspective de devoir accepter ( ou non ) ces concessions sans la contrepartie espérée ( et qui n'était paszn bien sûr, " technique " - 15 ou 20 avions de plus - , mais politique : un rapprochement de Washington et de Jérusalem contre le danger iranien.
On est donc très près du moment où le Likoud va devoir faire des choix cruciaux, au terme desquels ou bien il perdurera comme parti de la liberté et de l'indépendance d'Eretz Israël, ou bien, après le premier éclatement qui a donné naissance à Kadimah, il en subira un second, cette fois décisif et qui marquera la fin de son existence comme parti sioniste.