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Politique IsraëlBen-Eliezer: Le Premier ministre Netanyahou doit s'engagerS'exprimant sur une Radio Israëlienne ,dimanche matin, Binyamin Ben-Eliezer, le ministre de l'Industrie et du commerce, a déclaré que le Premier ministre Binyamin Netanyahou devait prendre une décision historique qui permettra de déterminer les frontières d'Israël et de l'Autorité Palestinienne
Ben-Eliezer a ajouté que si l'un des partenaires de la coalition de Netanyahou quittait le gouvernement, des membres du parti Kadima pourraient le remplacer 6 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 21 minutes
On est exactement à la croisée des chemins et une décision va devoir très bientôt être prise. S'il y avait capitulation, les effets - dont beaucoup ne sont pas encore imaginables - seraient plus catastrophiques encore que ceux d'Oslo. Et Netanyahu resterait dans l'histoire comme celui qui aurait présidé ( D. préserve ! ) au hara-kiri d'Israël.
C'est le moment OU JAMAIS pour les patriotes, pour les sionistes, de se mobiliser. L'alliance " Palestiniens" -Obama / Clintons est tout près de remporter la victoire décisive.
La concession que Benyamin Netanyahu avait obtenue ( mais verbalement ... Et ... " verba volant " ... ) de Mme Clinton était qu'en échange de l'abandon à peu près total de la Judée et de la Samarie - y compris l'évacuation d'Efrat et celle d'Ariel - , Jérusalem demeurerait à Israël. Or, c'est sur cet ultime point de résistancev que porte l'offensive actuelle des Palestiniens.
Le Likoud acceptera-t-il de lier son nom à ces forfaitures ? Acceptera-t-il d'être le parti qui aura conduit Israël à se coucher ?
Et la question est surtout de savoir si " Hannibal " va vraiment trouver des appuis à l'intérieur ... Si, au dernier moment , les tentations de la peur, de la lassitude, du découragement ne seront pas repoussées par un sursaut de survie. Car il faut se battre, et d'abord contre ces démons-là.
Il faut voir aussi que, si Mme Clinton ( et, derrière elle, son époux ) a pris des mains faiblissantes de Baraq 'Hussein Obama la conduite de la politique étrangère, et particulièrement les questions du Proche et du Moyen-Orient, c'est qu'elle entend se placer pour une candidature démocrate en 2012 ( ce qui, sous-entend qu'elle et probablement pas mal d'autres, jugent qu'après la défaite aux " midterm elections " , Obama n'est plus vraiment - et sera peut-être encore moins demain - le candidat le mieux placé pour une victoire démocrate en 2012 ).
Habilement secondée et secondée par Bill Clinton, elle se positionne sur le créneau " radical " le plus susceptible de lui valoir les faveurs d'un parti démocrate de plus en plus " radical " ( gauchiste ) sans que ce positionnement mange trop de pain par rapport à une opinion publique d'abord préoccupée par des problèmes de politique intérieure, problèmes économiques et sociaux avant tout.
D'autre part, Mme Clinton a intérêt à ne pas s'aliéner les énormes sources de financement qui avaient valu à Obama le trésor de guerre électoral
Mais aussi, Mme Hillary Clinton n' a pas beaucoup de temps pour régler ( à sa manière - c'est-à-dire, en gros et en fait, celle des " Palestiniens " ) le problème du Proche-Orient. Car, dans moins d'un an, la campagne pour la présidentielle de 2012 sera ouverte. Bien sûr, quel prestige pour elle si y entrait tout auréolée de son " succès " au Proche-Orient ! Mais aussi, quel boulet ce serait que de traîner un échec sur ce plan !
Mme Clinton a donc besoin d'un succès rapidement obtenu. C'est aussi pour cela que le " timing " planplan d'un George Mitchell, avec ses allers et retours parfaitement inefficaces, ne lui convient plus et qu'elle exerce un " pressing " de tous les canons ( les huit heures d'entretien avec le pauvre Bibi ! ) sur Israël. et qu'elle s'efforce de faire jouer tous les relais qu'elle peut trouver en Israël.
Mais on pourrait et l'on devrait sans doute être en mesure de jouer la montre contre cette stratégie. Et trouver également des relais aux Etats-Unis : le Gulliver américain pourrait peut-être se retrouver paralysé aux mains des Lilliputiens d'Israël ...
Car QUE peut faire, en réalité, Mme Clinton au cas où Israël refuserait de céder ? - Donner l'ordre au représentant américain à l'ONU de ne pas s'opposer par un veto à une résolution qui reconnaîtrait un ( deuxième ) Etat " palestinien " ? - C'est à voir ...
En outre, à supposer même qu'une résolution de ce type passe au Conseil de Sécurité, quel pourrait bien être son impact réel sur le terrain ? Après tout, des résolutions hostiles à Israël, depuis 1967, il y en a eu ... Et l'on voit aussi que tout ce que peut dire l'ONU à propos du Liban par exemple ( toutes les milices, y compris le Hezbollah, devaient être désarmées : on voit bien ce qu'il en est ... Un organisme qui se déconsidère jour après jour parce qu'il se comporte, lui et ses annexes ( Conseil pour les Droits de l'Homme, UNESCO, etc. ) comme l'auxiliairev zélé de l'OCI ne saurait bénéficier de la moindre légitimité politique.
On peut peut-être conclure que les pressions et les menaces de Mme Clinton sont surestimées et qu'il ne convient pas qu'Israël se décompose de trouille devant ce ... tigre de papier ! Les Etats-Unis sont incapables d'imposer quoi que ce soit à la Corée du Nord, par exemple. Croit-on qu'ils le seraient davantage s'il s'agit d'Israël ?