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Politique IsraëlMoubarak démissionne de son poste de chef du parti PNDLe président égyptien Hosni Moubarak a démissionné de son rôle de chef du Parti National Démocratique après 12 jours de manifestations dans tout le pays, selon une déclaration de la télévision d’état égyptienne faite samedi soir.
Quelques minutes plus tôt, la télévision d’état avait annoncé la démission des hauts dirigeants du parti au pouvoir en Egypte, y compris le fils du président, Gamal Moubarak, et le secrétaire général du parti, Safwat el-Sharif, qui ont démissionné dans un nouveau geste envers les manifestants anti-gouvernementaux, dans le but de leur montrer que le régime est sérieux au sujet des reformes.
Samedi après-midi, le chef du commandement centre de l’armée égyptienne a parlé aux manifestants massés sur la place Tahrir au Caire, et leur a demandé de quitter la place, selon la chaîne Al Jazeera.
Selon la chaîne, les manifestants anti-gouvernementaux ont répondu au général Abdel Khalil Meneem par des chants, disant : « nous ne partons pas, il (Moubarak) s’en va ».
Les manifestants ont tourné le dos à d’autres concessions faites par le régime au cours des 12 jours de manifestations de rue sans précèdent en Egypte, affirmant qu’ils ne se contenteront de rien d’autre que de la démission immédiate du président Hosni Moubarak, au pouvoir en Egypte depuis près de 30 ans.
La télévision d’état a annoncé que six membres du comité directeur du parti au pouvoir ont démissionné et ont été remplacé. Les membres de ce comité, dont Sharif faisait partie, étaient parmi les gens les plus puissants en Egypte, mais aussi, pour beaucoup d’égyptiens, les plus impopulaires.
Sharif a été remplacé par Hossam Badrawi, un membre du parti qui avait été relégué aux rangs inférieurs au cours des dernières années en raison de ses critiques acerbes de certaines politiques.
Les nouvelles nominations au sein du parti sont surtout des jeunes figures, un des remplaçants, Mohammed Kamal, a déclaré a l’Associated Press : « c’est un bon changement. Il reflète l’esprit de changement qui balaie le pays. »
Gamal Moubarak, qui était membre du comité directeur, a été largement considéré comme étant le successeur désigné de son père à la présidence. Mais le vice-président Omar Suleiman a promis plus tôt cette semaine que Gamal ne serait pas candidat à la présidence aux prochaines élections prévues en septembre.
Le jeune Moubarak a également été le chef du puissant comité politique du parti, où, lors de la dernière décennie, il a mené une campagne de libéralisation économique. La télévision d’état a déclaré que Gamal a aussi été renvoyé de ce poste et remplacé par Badrawi.
L’annonce a été accueillie avec mépris par certains des dizaines de milliers de manifestants qui sont rassemblés place Tahrir au Caire. Wael Khalil, un manifestant de 45 ans, a déclaré que ce nouveau geste « ne fera que renforcer les manifestants et accroître leur confiance, parce que cela montre qu’ils sont gagnants, et que le régime recule, centimètre par centimètre. » Articles connexes
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Aux intellectuels du pays, Riad Seïf, Riad Turk, Hassan Abdel Azim, Fidaa Hourani, Abdelhamid Darwiche, Nawaf Al-Bachir, Aref Dalila, Michel Kilo, Akram Al-Bunni (...), l’auteur demande « pourquoi ils se taisent ? Le pays ne vous appartient plus ? Il les invite à s’exprimer, à ne pas abandonner leur combat historique. Le peuple vous attend. Formez un comité de gestion de crise ».
A Bachar Al-Assad, l’auteur rappelle que « rien n’arrêtera le soulèvement d’un peuple en colère, compressé et comprimé. Ne compte pas sur ton clan ni sur sa puissance. Adresse-toi à ton peuple, dès aujourd’hui, car demain ce sera peut-être trop tard, et annonce à ton peuple ce qui suit :
A l’adresse de Bachar Al-Assad, l’auteur ajoute : « Nous ne sommes pas hostiles à ta personne, mais à ton mode de gouvernance, à ton pouvoir tyrannique personnel, à la corruption généralisée et à la concentration des richesses entre les mains de ta famille et de ton clan ».
Najjar invite les partisans du Baas à renverser les symboles de la corruption et leur demande de ne pas oublier qu’ils font partie du peuple syrien, avec lequel ils doivent se solidariser.
Aux membres des forces de l’ordre, l’auteur rappelle que « les jeunes avides de liberté sont vos frères dans la patrie, ne les réprimez pas pour satisfaire un tyran, protégez-les, car ce sont le capital du pays et les outils du futur ».
Najjar conclut que « les Syriens ne sont pas moins courageux que les Tunisiens et les Egyptiens. Ils les invitent à s’organiser et à se structurer, à communiquer et à mettre en place plusieurs plans d’action alternatifs. Ainsi nous avions renversé les gouvernements qui ont trahi la cause palestinienne, nous avions vaincu l’axe de Bagdad,
Cependant, Assad semble écarter toute intifada populaire en Syrie. Car, souligne-t-il, « le discours du régime, hostile à Israël et aux Etats-Unis, est en phase avec le peuple, contrairement aux régimes tunisien et égyptien qui s’étaient alliés à Washington contre les aspirations de leur population ».
Pour plusieurs opposants syriens, Assad tente d’anesthésier les Syriens, à quelques jours de la journée de la colère, le 5 février. Ils l’accusent de « s’adresser aux Américains, à travers un journal américain, pour justifier son hostilité à leur égard. A travers eux, il signifie à Israël l’utilité de son discours hostile.
quand les trabelsi ont commencé a rançonner les tunisiens,cela date de bien longtemps,lepeuple aurait du se revolté,
tout peupla a la possibilité de renversé un pouvoir,mais il faut la volonté,et cela arrive,en iran le peuple se soulevera encore et encore,
me concernant je suis contre l'entrée des barbus dans la sphere du pouvoir,ce serai une dictature pour une autre dictature,et alors si le peuple pleurait avant la il versera des larmes de sang;
une autre guerre aura lieu tres bientot,si le traité de paix avec israel n'est pas respecté,tout le traité et rien que le traité,sinon a quoi sert de faire la paix avec m.abbas si une fois abbas parti tout est remis en question,c'est la seule et unique raison qui fait que la paix avec les palestiniens est impossible,
la suite on verra bientot....
POUR :
הגנה ושפלות רוח לכל
c'est ironique ????
Envoyé par Israel, Eden_001 - le Lundi 31 Janvier 2011 à 11:01
_on dirait ke y'en a ki ont perdu leur hébreu mais pire : l' humour plus ke l'ironie ...pour ne retenir k'elle !
Sans tomber dans la parano vu k'on y est déjà ,autant devenir agréable...
Alors voilà la traduction en greco-latin ,gallo-romain si on préfère ,sinon TOUS ENSEMBLE :
" Protection et Humilité pour Tous"
Kant à mon écrit,il est comme décalé car par rapport à d'autres discours.
Je le touve donc planté comme un show ,à la mode de chez kiki ,finalement ?
Kiki le clown ...POUR VOUS SERVIR ? ;°D
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:pCbJhZ8FVqsJ:www.leava.fr/blog/index.php/2007/07/19/189-l-heure-zero-creation-et-histoire-de-l-etat-d-israel+l'heure+zero&cd=3&hl=fr&ct=clnk&gl=il&source=www.google.co.il
mais une choses est sure si Assad chute, l'Iran pourrait suivre......la situation est explosive !!!!
Pour peu qu'on pousse l'hypothèse et qu'on imagine une Jordanie également passée sous le contrôle de la confrérie, on se retrouverait dans une configuration géo-stratégique qui rappellerait celle de 1948 : tous les Etats voisins d'Israël prêts à l'envahir ; et de fortes minorités hostiles à l'intérieur prêtes à prêter la main aux agresseurs ...
Je simplifie un peu, voire pas mal ( Israël n'est plus cette juxtaposition de confetti territoriaux qu'il était en 1947 - 48 ; son armement n'a plus rien à voir avec celui de 1948 - et encore ne connaissons-nous que ce qui, de l'armement actuel, est en quelque sorte connu sur la place publique... ). Mais Israël risque d'avoir à livrer une sorte de deuxième guerre d'Indépendance, qui serait, autant voire davantage que la première, une guerre de survie - l'issue d'une défaite ( D. préserve ! ) ne faisant pas de doute : l'égorgement généralisé de toute la population juive.
Mais on sait - et les Arabes l'apprendront, le cas échéant, et paieront très cher la leçon - qu'un peuple qui combat le dos au mur, pour sa survie, dispose aussi, de ce fait même, d'une énergie et d'une détermination hors du commun.