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Politique IsraëlB. Netanyahou cède aux pressions internationales ?"Peut-être n'aimez-vous pas ce mot mais il s'agit bien d'une occupation. Le contrôle d'Israël sur les Palestiniens ne peut continuer sans fin. Voulez-vous demeurer pour toujours à Jenine, Nablus, Ramallah et Bethléem. Cela n'est pas bien", avait déclaré Ariel Sharon lors d'une réunion parlementaire des députés du Likoud en 2003. Huit ans plus tard, c'est au tour de Benyamin Netanyahou, lui aussi issu du Likoud, de remettre en question la politique de construction menée par Israël et de condamner ce qu'il a lui même défendu jadis. 6 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 5 heures - Times of Israel
Il y a 5 heures - Kountrass
29 Avril 2025 - Le Figaro
29 Avril 2025 - Le Figaro
4 Avril 2025 - Slate .fr
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Guillemette
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28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
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Dernière mise à jour, il y a 25 minutes
Pourquoi serait-ce à Israël de donner ? Pourquoi la communauté internationale ne demande-t-elle pas à ces arabes de cesser tout simplement de vouloir prendre au territoire déjà très diminué d'Israël ? de choisir de vivre là où ils sont ou ailleurs (bien qu'on les ait emmenés là POUR empêcher Israël d'exister, pour l'immense majorité d'entre eux), mais qu'ils cessent de réclamer un pays qui n'a jamais existé !!!! bon sang .C'est quoi le but de la communauté internationale ? Empêcher Israël d'exister , quitte à inventer une nouvelle Palestine comme les romains ???
Il se peut donc que " Bibi " essaie
de rattraper le coup, en quelque sorte. Et commence à en venir, sous la pression des événements, à l'idée d'accepter ce à quoi hier il n'envisageait pas de prêter la main, en partant de l'idée qu'il vaut mieux, pour limiter les dégâts, être dans le coup qu'en dehors ... Et donc qu'il envisage de " céder aux pressions internationales " ... - e qui ne va pas tout à fait passer comme lettre à la poste ...
Le problème va aussi être une question de timing. Baraq 'Hussein Obama, les Clintons et Zbigniew Brzezinski ne disposent que d'un temps relativement court ( une grosse année ), avant que s'ouvre la campagne de l'élection présidentielle, pour généraliser la vaste subversion du monde arabo-musulman tout en s'assurant d'en prendre et d'en garder le contrôle - ce qui ne va pas de soi et pose de multiples problèmes.
On peut voir qu'en Israël une capitulation de Bényamin Netanyahu ne passerait pas comme lettre à la poste en examinant l'évolution des sondages : la popularité de " Bibi " ( et du Likoud ) s'érode, quoiqu'elle demeure forte encore : non seulement le travaillisme est en voie de disparition, mais il y l'amorce ( seulement l'amorce, encore timide ) d'une bipolarisation entre " Kadimah " et " Israël Béiténu " , le " Likud " risquant d'être pris entre l'arbre et l'écorce ( il y a plusieurs mois, j'exprimais ici l'idée que le " Likud " ne survivrait pas, comme force politique, à une deuxième scission, après celle de 2005 autour d'Ariel Sharon : j'envisageais alors une rupture, jusqu'ici évitée mais qui demeure possible, entre l'aile restée sioniste et ce que j'appelle la tendance " chamberlainienne " ).
Des reclassements inattendus peuvent en outre se produire: ne voit-on pas Yossi Béilin,, inspirateur de Rahm Emanuel, exprimer l'inquiétude que lui inspirent les actuels mouvements dans les pays arabes ?