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Politique Israël« Eretz Israël appartient au peuple d'Israël »Le lobby pour Eretz Israël à la Knesset demande au Premier ministre de rappeler à l'ordre le Président Obama.
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Les arabes israéliens en Jordanie et déchus de leurs nationanité.
Interdiction du Parti Islamique israélien.
Renforcement du mur.
Immigration de travail divisée par quatre pour les travailleurs palestiniens.
Gaza indépendant mais une roquette sur Sdérot, c'est 100 du côté d'Israël.
Faut leur montrer les dents.
Ces deux textes démontrent l'incroyable naïveté des occidentaux, de l'Administration Obama et du Quartet, quand à la détermination palestinienne et ses objectifs, de tout faire pour les prendre au mot, les piéger sur leurs propres déclarations, et en fin de compte les acculer. Avec une administration américaine faible et une Europe de plus en plus axée sur les désidératas des arabes - Israël se retrouve très limité dans ses marges de manoeuvre.
Autrement dit, abstraction totale de la réalité du terrain, manque de vision réel, et inconséquence formelle de percevoir que cette voie mènera à un plus large conflit.
Aschkel
Abbas VS Obama - Un "état Palestinien" d'abord, la paix peut-être ensuite...par J.SCHACHTER et par Steven.J.ROSEN
Par J.SCHACHTER
Résumé adapté par Aschkel - © 2011 www.aschkel.info
http://www.jpost.com/Opinion/Op-EdContributors/Article.aspx?id=221747
Pendant des décennies, les approches israéliennes et américaine pour résoudre le conflit israélo-arabe ont reposé sur l'hypothèse clé que l'autodétermination des "palestiniens" et un accord de paix sont les deux faces d'une même médaille. Il est de plus en plus évident que ces deux concepts sont distincts.
La Communauté Internationale apparemment préoccupée par les droits des Palestiniens, apparemment aussi fatiguée du conflit et de manière compréhensible car sensible a ses effets réels et perçus sur les intérêts nationaux et la politique intérieure de nombreux Etats (en particulier en Europe, et très particulièrement en France), a concentré son attention presque exclusivement sur la promotion de l'autodétermination palestinienne. (En négligeant la culture de la haine promue dans l'éducation et au sein des masses palestiniennes et arabes et à la volonté ultime de détruire l'Etat juif).
Ce n'est pas une mince affaire que la création d'un Etat palestinien en l'absence de tout accord de paix ce qui incitera perpétuellement les palestiniens et la politique officielle palestinienne de "libérer " le reste de la "Palestine", une garantie donc que le conflit se prolongera aussi longtemps que l'Etat juif existe.
Actuellement les Etats-Unis ne disposent pas d'une influence politique assez solide dans la région et à l'Assemblée générale des Nations-Unies pour appliquer ou même imposer sa vision si elle en avait la volonté.
L'administration actuelle ne peut arrêter les efforts de l'AP visant à délégitimer Israël, elle ne peut éviter l'isolement d'Israël à l'Organisation des Nations-Unies, et peut s'opposer à une résolution de l'Assemblée générale (Malgré le fait que l'ONU risque de saper tous les fondements sur lesquels elle repose). Le désir de la Communauté internationale pour faire avancer l'autodétermination ses Palestiniens est plus forte que la capacité américaine de tenir ces derniers à un accord de paix.
ABBAS versus OBAMA
Par Steven.J.ROSEN
Adapté par Maayan Burroughs - © 2011 www.aschkel.info
http://www.meforum.org/2901/abbas-vs-obama
Ayant écarté l'initiative de paix de Barack Obama en refusant de revenir à la table des négociations sans concessions israéliennes, l’Autorité Palestinienne cherche à obtenir une déclaration internationale d’un Etat à la prochaine session de l'Assemblée générale des Nations Unies en Septembre 2011.
Cette « date certaine » stratégique, où son "droit" à un Etat sera réalisé par les puissances mondiales, a longtemps été préférée par l’Autorité Palestinienne à toutes négociations bilatérales pénibles avec Israël, qui exigeraient des concessions douloureuses.
Les Palestiniens jouissent d'un large soutien dans de nombreuses capitales européennes, et ils savent que l'administration Obama est proche de leurs positions sur de nombreuses questions fondamentales.
Donc, en forçant la demande d’un Etat dans un forum multilatéral cela peut inciter les gouvernements à satisfaire les aspirations des Palestiniens à une date fixe.
Soutien Européen
Certains dirigeants européens importants se sont montrés de plus en plus réceptifs pour fixer une date en vue de la création d'un Etat palestinien.
Leur frustration a grandi depuis la rupture des négociations d'Oslo lorsque Yasser Arafat a lancé sa guerre de terreur en Septembre 2000, puis rejeté la proposition finale de Bill Clinton en Janvier 2001.
En 2002, les Européens ont eu l'idée d'une «feuille de route » pour la résolution israélo-arabe comme un moyen de créer des délais pour l'établissement d'un Etat palestinien, [1] et la pression de l'Union européenne a conduit à la création du Quartet (les États-Unis, l’ONU, l’Union Européenne et la Russie), ainsi qu' à la première déclaration du Quartet du 17 Septembre 2002, annonçant "une feuille de route concrète et d’une mise en application à trois phases qui pourrait parvenir à un règlement définitif dans les trois ans." [2]
L'administration Bush n'était pas disposé à aller jusqu'au bout avec des délais fixes et une date certaine, car cela reconnaissait permettrait et libérerait les Palestiniens de la responsabilité d'un compromis avec Israël.
Bush a insisté pour que les délais de la feuille de route soient conditionnels: la transition d'une phase à l'autre serait « basée sur des actions, des réalisations» - c'est-à-dire basée sur les responsabilités des parties seules.
La feuille de route a annoncé "des phases, des délais, des dates butoirs et des critères." [3]Mais les partenaires du Quartet ont été forcés de convenir que «les progrès entre les trois phases seraient strictement basés sur la complaisance des parties avec des critères de réalisations spécifiques à surveiller ... basés sur le jugement unanime du Quartet à savoir si les conditions sont remplies pour procéder à l'avancement du dossier. "[4]
Pour ces raisons, la feuille de route n'a pas atteint son objectif «d'un règlement définitif dans les trois ans», et la frustration européenne a continué de s'accentuer.
En Juillet 2009, le haut représentant alors de la politique étrangère de l'Europe, Javier Solanaa a appelé le Conseil de Sécurité de l'ONU de reconnaître un Etat palestinien dans un certain délai, même si les Israéliens et les Palestiniens n'étaient parvenu à s'entendre entre eux : "Après un délai fixe, une résolution des Nations Unies devrait annoncer l'adoption de la solution à deux Etats ... établir un calendrier pour sa mise en œuvre ... [et] accepter un Etat palestinien en tant que membre à part entière de l'ONU. ... Si les parties ne sont pas en mesure de s’y tenir [au calendrier], alors une solutions outenue par la communauté internationale devrait être mise sur la table."[5]
Bernard Kouchner, ministre français des Affaires Etrangères, avançait dans le même sens en Février 2010: «.. On peut imaginer un Etat palestinien ... reconnu par la communauté internationale, avant même la négociation de ses frontières, je serais tenté par cette solution" [6]
Kouchner et son homologue espagnol Miguel Angel Moratinos ont écrit le 23 Février 2010, que l'Union Européenne "ne doit pas se cantonner... aux contours du règlement final", mais "devrait reconnaître collectivement l'Etat palestinien ... Il n'y a plus de temps à perdre.
L'Europe doit ouvrir la voie. "[7].
Puis, en Juillet 2010, M. Kouchner a déclaré, "La France soutient la création d'un Etat viable, indépendant, un État palestinien démocratique ... pour le premier trimestre de 2012." [8]
Mais rien de tout cela est arrivé. Solana, Moratinos, et Kouchner ne sont plus à leurs postes, et l'Europe n'a pas accompli ce que les Palestiniens recherchaient.
Les Acquis des Palestiniens
L’Autorité Palestinienne a par sa propre initiative imposé un délai pour un État, sans négociation. Dans un important discours à l'Université al-Qods le 22 Juin 2009, Salam Fayyad de l'Autorité Palestinienne a annoncé un programme de 24 mois pour créer les institutions de l'Etat, de telle sorte que «l'Etat palestinien deviendrait d'ici la fin de l'année prochaine ou dans les deux ans au plus tard, une réalité. "Il a prédit que la création "des institutions ... dans les deux ans, nous permettra de ramener la position de la communauté internationale au soutien de notre droit pour un État indépendant et pleinement souverain sur la frontière de 1967 et avec Jérusalem-Est comme capitale. "[9] Le 26 août 2009, M. Fayyad a publié les détails de son programme pour créer des institutions d’Etat dans les deux ans [10].
Son initiative a été rapidement adoptée par le Quartet pour le Proche-Orient, qui a déclaré le 19 Mars 2010, que «les négociations devraient aboutir à un règlement négocié entre les parties dans les 24 mois." [11]
«Ce n'est pas un hasard si les Européens sont arrivés avec une déclaration historique », se vantait Fayyad. « Tout d'un coup,tout le monde parle d'un délai de deux ans.
Le 19 Mars de cette année, le Quartet a dit deux ans. Eh bien, vos deux années sont plus longues que les nôtres, nous avons commencé un peu plus tôt. » [12]
Le 20 août 2010, le Quartet fait une autre déclaration raccourcissant son calendrier pour correspondre à celui de M. Fayyad, déclarant que «... un règlement peut être complété d'ici un an » au lieu des deux ans qu’ il avait annoncé cinq mois plus tôt [13].
La Secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, a annoncé le même calendrier, en disant: [14] "Des négociations directes pour résoudre toutes les questions du statut définitif ... peuvent être achevé dans un an." L’envoyé spécial George Mitchell a donné les raisons de Clinton :
Le Premier ministre Netanyahu a dit ... qu'il croyait que cela pouvait être fait d'ici un an. Le président Abbas m’a exprimé des sentiments semblables. Donc, nous pensons que cela peut être fait d'ici un an ... Les États-Unis et le Quartet ont dit que nous croyons qu'il devrait y avoir des négociations directes sans conditions préalables ... Si ces négociations sont menées sérieusement ... ils peuvent produire un tel accord dans les 12 mois [15].
En effet, Netanyahu a acquiescé d’un signe de tête pour la date prévue de 2011, peut-être une indication de sa propre sincérité à propos des pourparlers de paix.
Dans ses vœux de Rosh Hashana, le 8 Septembre 2010, le Premier ministre a déclaré: «Je crois que nous devrions faire tous les efforts pour parvenir à un compromis historique pour la paix au cours de l'année à venir. »[16] Ensuite, lors d'une conférence de presse à Sdérot, le 21 Septembre 2010, Netanyahu a ajouté: «Mon but n'est pas de mener un processus, mais de l’accomplir ... pour parvenir à une paix historique. ... [par] des négociations accélérées dans l'année afin de parvenir à un accord de base." [17 ]
Mais la victoire la plus importante pour la campagne date-certaine palestinienne fut la dramatique déclaration d’Obama dans son allocution à la séance d'ouverture de l'Assemblée Générale des Nations Unies le 22 Septembre 2010.
Obama a dit: «Quand nous reviendrons ici l'année prochaine, nous pouvons avoir un accord qui mènera à un nouveau membre de l'Organisation des Nations Unies - un état indépendant de Palestine." [18] Ce fut la seule ligne du discours d’Obama de 2010 qui a reçu une ovation enthousiaste.
Les Palestiniens sont restés de marbre. Le président de l’Autorité Palestinienne, Mahmoud Abbas, a répondu: «J'espère que ce n'est pas seulement un slogan, et que viendra le temps, dit-il, « Nous sommes désolés, nous ne pouvions pas le [faire]. Laissons ça pour l'année prochaine. » Il a continué, « c’est une promesse et une dette autour de votre cou, et cela doit être réalisé pour que la Palestine devienne un État membre à part entière de l'Organisation des Nations Unies. » [19]
La campagne finale
Les Palestiniens ont maintenant un plan pour recevoir un paiement pour toutes ces promesses et pour réclamer cette «dette».
En Janvier 2011, l'Autorité Palestinienne (AP) a annoncé qu'elle avait préparé un projet de résolution pour être introduit au sein du Conseil de Sécurité de l'ONU en Septembre 2011, lorsque la promesse d'un an d' Obama arrivera à échéance. [20]
Cela inclut la reconnaissance formelle d'un Etat palestinien par l'organe le plus autoritaire du corps mondial et de l'admission de la Palestine en tant qu'état membre de l'Organisation des Nations Unies.
Et il consacre deux autres principes fondamentaux: (1)que la ligne d'armistice pré-1967 devrait être la base pour de futures négociations sur les frontières, et (2) que Jérusalem-Est soit la capitale de cet état palestinien.
Dans son annonce du projet de résolution, Riad Malki de l'Autorité Palestinienne a dit: «Une telle reconnaissance créerait une pression politique et juridique sur Israël pour retirer ses forces de la terre d'un autre état qui est reconnu dans les frontières de ‘67 par l'organisation internationale. » [21]
Il aurait également pour effet de rendre Jérusalem-Est, où plus de la moitié des Juifs vivent dans la capitale d'Israël, territoire occupé, invalidant les titres de leurs maisons. Cela donnerait au nouvel Etat de la Palestine un statut juridique légal afin d’inculper des dirigeants israéliens devant la Cour pénale internationale et de plaider pour une grande variété de revendications devant la Cour internationale de Justice.
Quand Obama, Hillary Clinton, et Mitchell ont fait leurs déclarations approuvant les dates prévues, dans tous les cas ils ont fixé des dates dans le but que les négociations bilatérales directes entre Israël et l'AP soient achevées. Ce n’était pas dans l'intention de l'administration d'engager l'obligation de soutenir la création d’un Etat à ces dates si les négociations n'avaient pas eu lieu, certainement pas si les Palestiniens eux-mêmes ont refusaient de négocier.
Mais depuis le début de cette administration, les Palestiniens ont en fait refusé de s'engager dans des pourparlers directs à moins que le gouvernement israélien cède sur une condition préalable: qu'il n'y ait pas de construction de maisons pour les Juifs à Jérusalem-Est, ni n'importe où en Cisjordanie. Il s'agit comme H.Clinton l'a reconnue d'une condition préalable. Les constructions israéliennes en "Cisjordanie", a t’elle dit le 31 Octobre 2009, «ont toujours été un problème dans les négociations.... Il n'y a jamais eu de condition préalable." [22]
En fait, Abbas, lui-même, a négocié avec les sept derniers premiers ministres israéliens, sans de telles conditions préalables. Pendant dix-sept ans - en passant de la conférence de Madrid d’Octobre 1991 aux discussions de M. Abbas avec le premier ministre israélien Ehud Olmert, qui ont pris fin en 2008 - un sujet de révélations récentes par Al-Jazzera –des négociations ont progressé tandis que la construction de maisons pour les Juifs à Jérusalem-Est et la "Cisjordanie" continuaient.
Madrid, Oslo I,Oslo II, le protocole d'Hébron, le mémorandum de Wye River, Camp David, Taba, le désengagement de Gaza, et l’offre d'Olmert à Abbas - tous ces événements au cours de deux décennies ont été rendus possible par même si il y avait des désaccords sur la construction israélienne des maisons juives dans les quartiers juifs en dehors de la ligne pré-1967 à Jérusalem-Est.
Mais maintenant l'Autorité palestinienne refuse de négocier. Il s'agit d'une violation directe de l'engagement des Palestiniens pris au début du processus d'Oslo, qui comprenait une promesse d'Arafat au Premier Ministre Yitzhak Rabin le 9 Septembre 1993, que l'OLP "s'engage dans le processus de paix au Moyen-Orient, à une résolution pacifique du conflit entre les deux parties, et déclare que toutes les questions en suspens liées au statut permanent seront résolues par la négociation. "[23] C’est également une violation directe de l'engagement que M. Abbas lui-même a fait il y a à peine trois ans à la conférence d'Annapolis, en présence de ministres des Affaires étrangères de cinquante-sept pays: «.Nous sommes d'accord pour lancer immédiatement des négociations bilatérales de bonne foi... des négociations intenses, soutenues, et continues.» [24] Pourtant, l'administration Obama a été tout à fait silencieuse sur le refus de négocier de la Palestine, n’émettant pas un seul mot critique audible [25].
Obama n'a certainement pas été réticent pour critiquer ce qu'il considère comme les échecs du côté israélien. Dans au moins treize occasions séparées, à quelques semaines seulement après que Netanyahu ait pris ses fonctions, Obama et ses hauts fonctionnaires ont fortement exprimé des objections à la politique de construction du gouvernement israélien, souvent en présence du Premier ministre israélien lui-même. Par exemple, le 9 Mars 2010, le vice-président Biden a condamné "la décision prise par le gouvernement d'Israël de faire avancer la planification de nouveaux logements à Jérusalem-Est." [26]Mme Clinton a dit: «Le président a été très clair lorsque le Premier ministre Netanyahu était ici. Il veut voir la fin des colonies ...C'est ce que nous avons communiqué très clairement ... Et nous avons l'intention d'insister sur ce point. » [27]
Mahmoud Abbas a attribué le durcissement de sa propre position envers les colonies israéliennes en se basant sur l’exemple tenu par Obama. "Le président Obama a déclaré au Caire qu’Israël doit cesser toutes les activités de construction dans les colonies. Pourrions-nous espérer moins que ça?" [28]
L'administration ne voulait pas produire ce résultat.
L’émissaire d'Obama, George Mitchell, a fait valoir, "Nous ne croyons pas dans les conditions préalables. Et nous demandons instamment aux autres de ne pas imposer des conditions préalables."Malgré cela, je le répète, ni Mitchell, ni aucun autre membre de l'équipe d'Obama a dit quelque chose à propos du refus d'Abbas de négocier à moins que ses conditions préalables soient remplies.
En Février 2011, Abbas a réussi à mettre Obama sur la défensive lors d'une session duConseil de Sécurité de l'ONU en rejetant la formule de compromis de son gouvernement et en le forçant à ne pas poser un veto sur une résolution palestinienne condamnant les colonies israéliennes comme un obstacle à la paix [29].
En Septembre 2011, il ira au Conseil de Sécurité, défiant le président de poser son veto, et le mettra sur la sellette. Un droit de veto ne serait pas bien reçue dans le monde musulman, un argument clé d'Abbas pour sensibiliser Obama, c'est d'ailleurs pourquoi Abbas est à la recherche de possibilités de coopération multilatérale qui contrecarreraient la nécessité de mesures unilatérales comme le droit de veto... [30]
Et si malgré tout, Obama pose un veto à une résolution pour la création d'un Etat qui a un large soutien international, il sera sous pression pour le compenser par de nouveaux gestes envers les Palestiniens. Le dilemme d'Obama est que, de toute façon, le refus de négocier sera récompensé
Et la négociation sur les questions entre les Palestiniens et les Israéliens ne sera toujours pas en vue…
Steven J. Rosen a servi pendant vingt-trois ans en tant que haut fonctionnaire de l'American Israel Public Affairs Committee. Il est aujourd'hui directeur du Washington Project of the Middle East Forum.
[1] "Chronological Review of Events Relating to the Question of Palestine," Monthly Media Monitoring Review, U.N. Information System on the Question of Palestine, Nov. 2002.
[2] "Communiqué Issued by the Quartet," United Nations, New York, Sept. 17, 2002.
[3] "A Performance-Based Roadmap to a Permanent Two-State Solution to the Israeli-Palestinian Conflict," United Nations, New York, Apr. 30, 2003.
[4] "Quartet Statement on the Middle East," European Union @ the United Nations, New York, Sept. 17, 2002.
[5] Reuters, July 12, 2009.
[6] France 24 TV, Feb. 22, 2010.
[7] Bernard Kouchner and Miguel Angel Moratinos, "A Palestinian State: When?" Le Monde (Paris), Feb. 23, 2010.
[8] Bernard Kouchner, "Viable Palestinian State by 2012," Ma'an News Agency (Bethlehem), July 27, 2010.
[9] Salam Fayyad, address at al-Quds University, Abu Dis, Prime Minister's Office, Palestinian National Authority, June 22, 2009.
[10] "Ending the Occupation, Establishing the State: Program of the Thirteenth Government," Palestinian National Authority, U.N. Information System on the Question of Palestine, Aug. 2009.
[11] "Statement by Middle East Quartet," Moscow, Mar. 19, 2010.
[12] "Fayyad: 'Build, build despite the occupation,'" Palestine Note website, Washington, D.C., July 30, 2010.
[13] Quartet statement, United Nations, New York, Aug. 20, 2010.
[14] Political Transcript Wire, Aug. 20, 2010.
[15] Ibid.
[16] "Rosh Hashanah Greeting from PM Netanyahu," Israel Ministry of Foreign Affairs, Jerusalem, Sept. 8, 2010.
[17] Benjamin Netanyahu, press conference in Sderot, Israel Ministry of Foreign Affairs, Jerusalem, Sept. 21, 2010.
[18] Barack Obama, remarks to the United Nations General Assembly, New York, White House Press Office, Sept. 22, 2010.
[19] World Bulletin (Istanbul), Nov. 11, 2010.
[20] Ha'aretz (Tel Aviv), Jan. 10, 2011.
[21] Ibid.
[22] Benjamin Netanyahu and Hillary Clinton, remarks in Jerusalem, U.S. State Department, Oct. 31, 2009.
[23] Exchange of letters between Yitzhak Rabin and Yasser Arafat, Sept. 9, 1993, MidEast Web archive.
[24] Annapolis agreement, The Guardian (London), Nov. 27, 2007.
[25] Steven J. Rosen, "Why Isn't Obama Pressuring the Palestinians?" Foreign Policy, Jan. 4, 2011.
[26] Joseph R. Biden, Jr., statement in Jerusalem, White House Press Office, Mar. 9, 2010.
[27] Ahmed Ali Aboul Gheit, Egyptian foreign minister, and Hillary Clinton, remarks in Washington, D.C., U.S. Department of State, May 27, 2009.
[28] "Mahmoud Abbas: I Reached Understandings with Olmert on Borders," Middle East Media Research Institute, Washington, D.C., Nov. 16, 2010; The Jerusalem Post, Jan. 22, 2011.
[29] BBC News, Feb. 18, 2011.
[30] Steven J. Rosen, "Will Obama Use His U.N. Veto?" Commentary, Sept. 2010.
À ce jour, la majeure partie des pays du monde, à l’exception de la plupart de ceux du monde arabo-musulman, ont reconnu Israël en tant qu’État. Cette reconnaissance se produisit dans les jours suivant la déclaration d’indépendance du pays, le 14 mai 1948, et lorsqu’Israël fut admise à l’ONU.
Le 15 mai 1948, au lendemain de la Déclaration d'indépendance de l'État d'Israël, plusieurs États du monde, dont les États-Unis et l'Union soviétique, reconnaissent de facto Israël dans les frontières prévues par le Plan de partage de l'ONU.
En bleu : territoires israéliens selon le plan de partage ; en rouge : territoires attribués à l'État arabe conquis par Israël ; en gris : territoires attribués au corpus separatum de Jérusalem et conquis par Israël.
(voire la carte du plan et qui sont les frontières actuelles)
Suite à la guerre israélo-arabe de 1948-1949, ces frontières évoluent. Israël conquiert l'ensemble de la Galilée jusqu'à la frontière libanaise, les villes de Jaffa, Lydda et Ramle (rebâptisée Lod), un corridor entre Tel-Aviv et Jérusalem ainsi que Jérusalem-Ouest, des bandes de territoires plus ou moins large autour de la Cisjordanie, la plaine littorale jusqu'à la Bande de Gaza, et la partie du Neguev attribuée à l'État arabe.
L'ONU et la plupart des pays occidentaux reconnaissent Israël dans les territoires fixés par les lignes d'armistice de 1949. Ces frontières ne sont pas reconnues par tous les pays arabes et musulmans. On y fait généralement référence comme « les frontières internationalement reconnues d'Israël », la « ligne verte » ou encore « les frontières de 1967 » (sous-entendu, d'avant la guerre de 1967)
Guerre des Six Jours (juin 1967)
Conquête de la Guerre des six jours.
En juin 1967, suite à la guerre des Six Jours, Israël prend le contrôle du Sinaï, de la bande de Gaza, de la Cisjordanie, de Jérusalem-Est et du Golan (y compris les fermes de Chebaa).
Accords de paix israélo-égyptien (1977-79)
Après de longues et difficiles négociations, le 26 mars 1979, Anouar el-Sadate et Menahem Begin signent le traité de paix qui fait de l'ancienne frontière entre l'Égypte et la Palestine la nouvelle frontière internationale entre leur pays
Le traité ne stipule pas de frontières entre Israël et un hypothétique État palestinien. Il précise que la frontière est établie « sans préjudice (...) du statut de la bande de Gaza » et également que chaque partie se doit de respecter « la souveraineté, l'intégrité territoriale et le droit de l'autre de vivre en paix » dans « des frontières reconnues et sures », ce qui implique que les autres frontières ne sont pas fixées et peuvent évoluer.
En deux phases étalées sur 3 ans, Israël évacue le Sinaï qui devient largement démilitarisé et les deux pays établissent des relations diplomatiques.
Annexions israéliennes (1981).
Le Golan, et ce y compris les fermes de Chebaa, a été annexé par Israël en 1981.
Jérusalem-Est a été annexée en 1967 et Israël a fait de « Jérusalem réunifiée », sa capitale « éternelle et indivisible ». Cette annexion n’est pas reconnue par l'ONU et ses pays membres.
LES FRONTIÈRES
Frontière israélo-syrienne.
Frontière entre Israël et la Syrie.
Frontière israélo-libanaise.
Frontière entre Israël et le Liban.
Frontière israélo-égyptienne.
* La frontière entre Israël et l'Égypte,
s'étend du golfe d'Aqaba à la bande de Gaza. À l'exception des régions littorales, ce sont des zones désertiques montagneuses situées entre le désert du Néguev et le désert du Sinaï.
* Frontière entre Israël et la Jordanie.
La frontière entre la Jordanie et Israël est scindée en deux par la Cisjordanie. Au nord, elle débute quelques kilomètres au sud du lac de Tibériade, au niveau de l'embouchure du Yarmouk et suit le Jourdain. Au sud, la partie septentrionale de la mer Morte est partagée entre les deux États puis la frontière suit une ligne droite jusqu'au golfe d'Aqaba.
* La frontière israélo-libanaise
elle s'étend sur un terrain vallonné et arboré entre la mer Méditerranée et le tripoint où elle rejoint la frontière entre ces deux pays et la Syrie situé non loin de la rivière Ouazzani, un affluent du fleuve Hatzbani qui se jette lui même dans le Jourdain.Elle est régit par l'accord d'armistice de 1948, entre Israël et le Liban.
Entre 1982 et 1985, suite à l'opération Paix en Galilée, Israël a occupé des territoires au sud du Liban.
Ces territoires restent sous contrôle indirect d'Israël jusqu'en 2000 suite à l'occupation d'une « zone de sécurité » entre le Litani et la frontière nord d'Israël par l'Armée du Liban Sud, une milice chrétienne libanaise alliée d'Israël.
Suite au conflit israélo-libanais de 2006, les militaires israéliens ont opéré des attaques terrestres dans certaines zones du Liban puis se sont retirés à l'arrivée des forces libanaises et de la FINUL pour les y remplacer conformément à la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies.
* Frontière israélo-palestinienne
À la fin du XIXe siècle, le mouvement sioniste milite pour la création d'un État juif en Palestine mais avec l'opposition des populations arabes locales.
Le 24 juillet 1922, la Société des Nations ratifie le Palestine mandataire, amendé par le Livre blanc de 1922. Le mandat prévoit l'établissement d'un « foyer national juif » à l'intérieur de la Palestine à l'ouest du Jourdain[1],[2].
Les nationalismes arabe et juif s'affrontent violemment en Palestine sans que les Britanniques ne parviennent à y établir la paix. plusieurs solutions sont proposées sans obtenir l'accord des parties. Suite à la Révolte arabe de 1939, un nouveau Livre blanc remet en cause l'établissement d'un « foyer national juif » en Palestine et y prévoit au contraire l'indépendance d'un État unitaire endéans les 10 ans ou faute d'accord, l'appel à l'arbitrage de la Société des Nations.
Le 29 novembre 1947, l'Assemblée générale des Nations unies vote le plan de partage de la Palestine définissant les frontières de futurs États juif et arabe de Palestine.
Ce plan est rejeté par les Arabes palestiniens et la Ligue arabe mais accepté par l'Agence juive. Dès le lendemain du vote, la guerre civile éclate en Palestine.
< Processus de paix israélo-palestinien (1988 - 2001)
Entre 1988 et 2001, Israéliens et Palestiniens ont entamé des négociations en vue de normaliser leur relation. Ces négociations ont abouti à des accords partiels sur les frontières entre les deux États.
< Suite aux Accords d'Oslo en 1993, l'Autorité palestinienne a reconnu l'État Israël dans ses frontières de 1967. Cet accord a été ratifié par les Parlement palestinien en 1995.
< Les Accords de Wye Plantation
sont des accords politiques signés le 23 octobre 1998 entre Israël et l'Autorité palestinienne et négociés à la suite de l'Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la Bande de Gaza (ou Oslo II) du 28 septembre 1995. Ces nouveaux accords préparent de nouvelles évacuations israéliennes sur 13 % de la Cisjordanie.
Ces documents ont été signés par Yasser Arafat, président de l'Autorité palestinienne, et Benjamin Netanyahou, Premier ministre de l'État d'Israël, en présence du Président américain Bill Clinton à la Maison blanche à Washington.
Le texte a été ratifié par la Knesset (parlement israélien) par 75 voix favorables contre 19 opposées à l'accord.
À la suite du déclenchement de la Seconde Intifada en septembre 2000, le plan d'évacuation fut gelé et n'a jamais été appliqué.
< L'accord intérimaire sur la Cisjordanie et la Bande de Gaza de septembre 1995 >
Ces accords ont fixé différentes zones en Cisjordanie.
Dans les « zones A », représentant 2 % de la Cisjordanie et englobant les villes principales de Cisjordanie, Israël reconnaissait le contrôle civil et militaire palestinien.
Dans les « zones B », représentant 26 % de la Cisjordanie, le contrôle civil était attribué à l'Autorité palestinienne et le contrôle militaire était mixte.
L'Accord intérimaire sur la Cisjordanie et la Bande de Gaza également connu sous le nom de Accord intérimaire israélo-palestinien ou parfois Oslo II a été signé, entre Yitzhak Rabin, Premier ministre d'Israël et Yasser Arafat, Président de l'OLP. La signature a eu lieu une première fois à Taba le 24 septembre 1995 puis de nouveau à Washington le 28 septembre 1995, en présence des représentants russes, américains, européens, égyptiens, jordaniens et norvégiens.
L'accord précise d'abord les compétences et les modalités d’élections d'un Conseil législatif palestinien, dont les quatre-vingt membres sont effectivement élus en janvier 1996, tout comme le Président de l'Autorité palestinienne, Yasser Arafat, qui renforce ainsi sa légitimité.
Par ailleurs, la dynamique amorcée avec le transfert de la bande de Gaza et de Jéricho est complétée d’un retrait militaire israélien des villes et villages palestiniens ainsi que des terres domaniales rattachées. Avec ces retraits, la Cisjordanie est morcelée en zones de plusieurs types :
I - Les zones A (2 %), sous contrôle civil et militaire palestinien, comprennent les grandes villes palestiniennes déjà mentionnées dans les Accords d'Oslo: Jénine, Tulkarem, Naplouse, Qalqilya, Ramallah, Bethléem et Jéricho.
II - Les zones B (26 %), sous régime mixte avec un contrôle civil palestinien et un contrôle militaire conjoint, comprennent les villages palestiniens et diverses portions du territoire cisjordanien.
III - Les zones C (72 %) entièrement sous contrôle israélien (colonies, installations militaires, vallée du Jourdain, terres domaniales) et qui, à l’exception des colonies — dont le sort dépendra des négociations finales, doit donner lieu à des retraits successifs dans les dix huit mois à compter de la prise de fonction du Conseil, soit d’ici octobre 1997.
Obama ne regarde meme pas Mr Netanyahou en face , quand il arrive de le faire son visage se detein
La Syrie, l’Iran d’après la Révolution Islamique et des groupes politiques comme le Hamas ou le Hezbollah ne reconnaissent ni l’existence ni la légitimité d’Israël et le désignent en tant qu’« entité sioniste » et refusent officiellement tout contact avec lui.
cela ressemble à Durban deux des populations arabos musulmanes présentes dans tous les pays du monde ... avec toutes les manifestations antiisraëliennes et antisémites qui se son,t produits , sans que les gouvernements de ces pays ne fassent le moindre geste pour stopper ces gesticulations des manifestants ...
il y eut des vioilences avec des incendies provoqués par les manifestants ...
avec l ' attaque d ' une synagogue à paris , Haya Mouchka , dans le 19 èm arrondissement , il faut craindre le pire aujourd 'hui , car rien n ' a été rapporté ...et pourtant nous sommes représentés par une communauté juive et le CSA se doit de publier tous les évènements qui nous concernent .
que va-t-il se passer à paris , ce mois de juin 2011 , lors de la conférence de paris des donnateurs en europe et ce mois de septembre 2011 , que va-t-il se passer , s ' il y a un véto américain pour la création d 'un état palestinien avec les frontières d 'avant 1967 ?
2011 sera une année chaude !
il y a 22 pays arabes, la plupart veule la paix avec Israel donnont leur les terres de 1967 c est un droit ,
de toute facon il aurras un etat Palestinien et croyer moi c est pour bientot avec les revolution arabes.
Envoyé par Ehssene - le Samedi 21 Mai 2011 à 19:43
Depuis quand donner quoique ce soit aux ennemis d'Israël , en fait-il des alliés ou même seulement des gens qui
laissent Israël vivre en sécurité ???? Tout ce qu'Israël a abandonné aus arabes et aux musulmans, n'a fait que les encourager à poursuivre le combat pour la conquête d'Israël, en leur faveur.
Tu es victime du syndrôme de Stockholm ! Tu veux te convaincre que la paix est possible, quand partout dans le monde où il y a des musulmans; il y a la violence, la provocation, etc.
Ouvre les yeux !
Esshene, quand il aura une guerre entre arabes et israéliens, ne t'en fait pas, ce sera les arabes qui l'auront provoquée et ce sera eux qui iront pleurer comme des suceuses !
Le refus arabe de l'implication institutionnelle et du mandat des Anglais
Amin al-Husseini, grand mufti de Jérusalem et président du Haut Comité arabe.
Les Britanniques proposeront aux représentants de la communauté arabe de créer également une « Agence » pour représenter leur communauté. Mais ces dirigeants refuseront, considérant qu'il y aurait eu là une reconnaissance du mandat pro-sioniste de la SDN et de sa validité.
Ce refus a sans doute limité les possibilités d'action des nationalistes arabes en Palestine (le nationalisme palestinien spécifique est encore en formation). Mais il aura aussi pour conséquence d'inquiéter la direction britannique.
Sans contester directement la présence britannique, les dirigeants arabes de Palestine contestent vigoureusement les termes du mandat, qui prévoient le renforcement indéfini de la présence sioniste en Palestine. Cette attitude est soutenue par les nationalistes arabes du Moyen-Orient. Dès les premières émeutes de 1920, les Britanniques se rendent compte que leur politique pro-sioniste risque de porter atteinte à leurs intérêts moyen-orientaux. En 1922, un premier « livre blanc » britannique (sous la direction de Winston Churchill, alors secrétaire aux colonies) propose de limiter l'immigration juive. Il y en aura d'autres au fur et à mesure du durcissement des oppositions. Cependant, jusqu'en 1939, le Royaume-Uni continuera à autoriser une large immigration juive.
L'opposition grandissante des Arabes amène cependant les Britanniques à revoir le territoire du « Foyer National Juif ». Celui-ci devait au début comprendre les territoires de ce que l'on appelle aujourd'hui: Israël (sans le Golan), la bande de Gaza, la Cisjordanie et la Jordanie.
Mais en 1922, il est décidé de détacher le territoire qui formera l'actuelle Jordanie (à l'époque « Émirat de Transjordanie ». C'est à la fois une décision destinée à rassurer les nationalistes arabes, et un geste en faveur de la famille des Hachémites (dont un des fils, Abdallah, reçoit l'émirat). Bien que réticente, l'Organisation sioniste mondiale accepte ce détachement.