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Politique IsraëlB. Netanyahou : "l'espace public doit être ouvert à tous"En préambule au Conseil des ministres, le Premier ministre Binyamin Netanyahou a indiqué que l'espace public doit être ouvert à tous les citoyens israéliens. Il a précisé :"il est interdit à des groupes marginaux de briser notre dénominateur commun" et ajouté "la société israélienne est une mosaïque composée de juifs et d'arabes, de non-religieux, de traditionnalistes et d'ultra-orthodoxes". Articles connexes
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Je vous trouve bien laxiste. Il faut des bus séparés ! Des noirs pour les hommes, des rouges pour les femmes avec des vitres opaques. Ou pas de vitres du tout, c’est encore mieux. Tout cela devrait aller de soi. Si ce n’est pas le cas (votre question le montre, hélas) c’est parce que l’éducation est mal faite. Il faut commencer dès la naissance. Maintenant que l’on connaît le sexe des bébés, il convient de réserver une salle d’accouchement pour jeunes mâles et une autre pour les filles. Et si possible, dans des hôpitaux différents, car on n’est jamais trop regardant (… alors qu’on ne doit pas). Dans les mariages aussi la situation est intolérable. Je suggère une cloison de séparation sous le dais nuptial au cas où l’on ne disposerait pas de deux dais à installer en des lieux différents.
Les rabbins orthodoxes s’y refusent car ils interdisent toute modification d’une coutume ancestrale et entendent suivre les décisions du Sanhédrin (tribunal suprême de Jérusalem à l’époque du Temple). Or la séparation entre les sexes relève d’une coutume bien postérieure à la destruction du Second Temple et de nombreuses coutumes ancestrales furent pourtant annulées au cours des générations.
En outre, il est possible de modifier la Halakha et la coutume (minhag) en fonction des changements de circonstances (concept de la idana) et de l’habitude acquise (concept de réguilout). de nos jours, il est possible de remettre en question la coutume de la séparation entre les sexes puisqu’elle est désormais contraire à la situation contemporaine au regard de l’égalité qui prévaut entre hommes et femmes et que l’habitude est maintenant acquise par les hommes de fréquenter les femmes en diverses circonstances sans avoir à craindre la moindre impudeur et réciproquement. En outre, la synagogue fut aussi un lieu de rencontre entre hommes et femmes puisqu’au jour de Kippour les lois sur la sexualité leur étaient rappelées.
En conclusion, les changements de de circonstances et d’époque ainsi que "l’habitude" permettent donc d’affirmer qu’il est permis de supprimer la mekhitsa à la synagogue, coutume aucunement mentionnée dans une source talmudique.
Cet article est largement inspiré par le recueil du Centre de recherches sur la femme dans la loi juive de l’Institut Schechter des Etudes Juives de Jérusalem.
ces versets du coran, votre prophete écris e Coran s’étend longuement sur les Enfants d’Israël (Banî Isrâ’îl) et reconnaît que les Juifs (Al-Yahûd) sont, d’après leur généalogie, les descendants du Prophète Abraham à travers son fils Isaac et son petit-fils Jacob.
« À bon escient, Nous ( c'est Allah qui parle) les choisîmes parmi tous les peuples de l’univers » (sourate 44 intitulée la Fumée, Ad-Dukhân, verset 32).
Dieu suscita parmi eux de nombreux prophètes et leur accorda ce qu’il n’accorda pas à de nombreux autres peuples :
« (Souvenez-vous) lorsque Moïse dit à son peuple : ‹Ô, mon peuple ! Rappelez-vous le bienfait de Dieu sur vous, lorsqu’Il a désigné parmi vous des prophètes. Et Il a fait de vous des rois. Et Il vous a donné ce qu’Il n’avait donné à nul autre dans les mondes. » (sourate 5 intitulée la Table servie, Al-Mâ’idah, verset 20).
Il les éleva au-dessus d’autres nations de la Terre, et leur accorda un grand nombre de faveurs :
« Ô Enfants d’Israël, rappelez-vous Mon bienfait dont Je vous ai comblés, (rappelez-vous) que Je vous ai préférés à tous les peuples (de l’époque). » (sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 47).
Le Coran est clair en ce qui concerne la promesse de donner la terre sainte aux fils d’Israël.
Il suffit de lire les versets 20 et 21 de la sourate n° 5 (la Table) pour se rendre compte de cette vérité.
La promesse est donnée par Allah.
Sourate 5versets 20 et 21 : « Souvenez-vous quand Moïse dit à son peuple : « Ô mon peuple ! Rappelez-vous le bienfait d’Allah envers vous, lorsqu’Il a désigné parmi vous des prophètes. Et Il a fait de vous des rois et Il vous a donné ce qu’Il n’avait donné à nul autre au monde ».
« Ô mon peuple, entrez dans la Terre sainte qu’Allah vous a prescrite.cette terre appartiens au peuple juif, c est ce qui vous ghagrines??
Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !
23 Kislev 5772
De nombreuses lumières ont depuis toujours illuminé le chemin du peuple juif. Que ce soit les lampes que nous allumons dans la synagogue afin d'honorer ainsi l'endroit, ou celles que nous allumons à l'entrée du Chabbat. Ces dernières viennent pour faire régner la paix au sein du foyer. Les lumières de la Menorah (candélabre) allumées dans le Beth Hamikdach étaient là elles aussi pour briller et faire savoir au monde que la Chéh'ina (présence divine) résidait dans le peuple juif.
Les bougies de 'Hanouccah se distinguent de toutes ces lumières par leur particularité. Elles viennent exclusivement pour briller et pour aucune autre raison. Le devoir que nous avons de les allumer à une heure où les passants pourraient les apercevoir est une dimension supplémentaire. Il vient se greffer à notre première obligation, allumer les bougies de 'Hanouccah.
Pourquoi une telle différence entre toutes ces « flammes » ? L'histoire de 'Hanouccah nous donne la réponse.
A travers le don de leur personne les 'Hachmonayim révélèrent le lien qui les liaient à D.ieu. Un attachement démuni de toute condition où l'essence de l'âme juive s'exprime. Cette âme qui ne fait plus qu'un avec son créateur car elle est une partie de Lui.
Se fondre avec le Tout-puissant, c'est aussi dans cet esprit qu'eut lieu le miracle de 'Hanouccah. Le grand prêtre trouva une fiole d'huile pure qui ne pouvait durer qu'un jour. Elle brûla pendant huit jours ! Ce miracle qui dépassait toute logique était la réponse de l'Eternel à l'attitude des 'Hachmonayim qui ignorèrent les règles cartésiennes de ce monde.
A travers les siècles nos frères ont toujours trouvé la force d'allumer les bougies de 'Hanouccah. Elles témoignèrent leur attachement à D. au dessus des limites imposées par l'exil. Aujourd'hui encore elles attestent de notre adhésion sans concession aux valeurs de la thora.
Durant chacun des huit jours de fête, 'Hanouccah nous enseigne comment nous pouvons nous frayer un chemin dans la thora et les mitsvots. A une époque où de nombreux obstacles essaient de se dresser devant nous.
Nous comprenons dès lors en quoi se distinguent les bougies de 'Hanouccah de celles de Chabbat ou des luminaires éclairant nos synagogues.
Que D. fasse que la lumière de 'Hanouccah nous permette de recevoir dès aujourd’hui notre juste Machia'h.
Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch - Likoutei Sih'ots Vol III -'Hanouccah.
Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu
nous sommes egaux, donc je dirait a mes freres orthodoxe d'arrete la discrimination
humaines.