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Politique IsraëlLieberman prévoit des élections anticipéesAvec le retrait de Kadima de la coalition, tous les yeux sont rivés sur Avigdor Lieberman et son parti Israël Beitenou, qui est maintenant à nouveau le principal partenaire du premier ministre dans la coalition. Toutefois, Lieberman n'est pas pressé de menacer de démissionner, en dépit du fait que son propre projet de loi universelle n'est pas prévu de passer le vote de mercredi à la Knesset. "Nous ne donnerons pas ce plaisir à n'importe qui," a-t-il déclaré, suggérant qu'il y a une possibilité pour des élections début 2013. Selon le projet de loi d'Israël Beitenou, tous les israéliens au-dessus de l'âge de 18 ans, y compris les arabes et les 'haredim, seront contraint de s'enrôler dans l'armée israélienne. "Nous ne nous méprenons pas," a-t-il dit. "Il y aura 15 députés d'Israël Beitenou qui voteront pour le projet de loi, peut être un peu plus. Nous n'abandonnerons pas. Si il n'y a pas de projet de loi, au 1er août tout le monde est recruté." Lieberman se crédite lui-même d'avoir soulevé la question du service militaire. Il ne s'inquiète pas de se retrouver sans alternative à la loi Tal au 1er août. "Le mur doit être brisé, et quand cela arrive, comme le mur de Berlin ou le régime de Kadhafi, il y a un peu de chaos au début, mais l'ordre revient rapidement." Il ne se laisse pas impressionner par la pression de manifestants qui lui demanderaient de quitter le gouvernement, comme l'a fait Mofaz. "Jusqu'à présent, ce que j'ai vu, c'est que les directeurs de campagne de Shelly Yachimovich m'appellent à quitter," a-t-il dit. "Je n'ai pas l'intention de le faire." Le ministre des affaires étrangères croit qu'il peut continuer à travailler avec Netanyahou en dépit du fait que le premier ministre a choisi de se mettre du côté des 'haredim. "Je vois beaucoup d'attentes derrière le coin, se plaçant sur la ligne de départ en attendant que nous quittions et prendre notre place d'assaut. Nous ne donnerons ce plaisir à personne." Abordant le sujet des élections, il a dit : "il est clair pour moi qu'il y aura des élections l'année prochaine. La datte officielle est le 22 octobre, mais a partir de février, toute date est possible." Selon Lieberman, il n'y a pas qu'une seule question, comme le budget ou Migron, qui pourrait inciter Israël Beitenou à se retirer. "C'est habituellement un amalgame de facteurs, pas une question. C'est une série de difficultés, d'arguments et de circonstances. Je crois que nous allons atteindre quatre ans, puis nous allons organiser des élections, et c'est aussi une réussite." Articles connexes
168 commentaires
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Envoyé par Joshua - le Mercredi 18 Juillet 2012 à 19:18
hara c'est de la pure propagande antissemite et antissioniste, et il ose s'appeler " la verité toute la verité "
Je vais te dire je ne crois pas que tu soit juif pour une raison les Haredi n'utilisent pas d'ordinateur, tu est un infiltré de mer..de tu devrait dejgager de ce cite avant qu'on te degage...
tu parlais d'erreur dans ton lien , en verité c'est toi l'erreur
Envoyé par Joshua - le Mercredi 18 Juillet 2012 à 19:14
Il sert à gaza , es tu certain de ce que tu dit ????
Je suis Haredi, anti sioniste, j'habite Israel depuis 25 ans et 4 de mes fils ont donnes leur 3 ans a tsahal et au pays.
Envoyé par Joshua - le Mardi 17 Juillet 2012 à 09:27
Au fait, puisqu'ils ont... comment ce fait il que le dernier le 4 em y soit encore ????? il a du bonus ???
Je suis certain que tu nous raconte des histoires et que tu n'es pas qui tu pretend
Joshua une chose m'a interpelée hier, tu ecris Joshua mais tu pretend etre haredi pourquoi n'ecris tu pas Yoshuha, c'est plus logique non ?
Envoyé par Israel, Eden_001 - le Jeudi 19 Juillet 2012 à 08:58
Shalom Israel Eden
Que veux tu dire par là?
Le sionisme est le mouvement national de renaissance des juifs. Il soutient que les juifs sont un peuple et ont donc le droit à leur auto-détermination dans leur propre foyer national. Il vise à fixer et à soutenir un foyer national légalement reconnu pour les juifs dans leur patrie d’origine et à lancer et stimuler une renaissance de la vie, de la culture et de la langue nationale juive.
Qu’est ce qui n'est pas du sionisme ?
Tous ce que le mouvement sioniste a accompli ou ce que les sionistes font ou disent n’est pas nécessairement du sionisme
Ce n’est pas uniquement une histoire d’état - le sionisme n'était pas, historiquement et officiellement un mouvement pour créer "un état juif." Le premier congrès sioniste à Bâle, Suisse, dans 1897 décrète :
Le sionisme cherche à établir un foyer légal pour le peuple juif en Palestine.
Les sionistes ont donc cherché l’accord des gouvernements pour établir un foyer national sous leur protection. Beaucoup ont pensé que les objectifs du programme de Bâle ont été réalisés avec la déclaration de Balfour de 1917 ainsi que le mandat pour la Palestine accordés par les Anglais en 1922. Cependant, les Anglais ont par la suite renoncé à leur obligation du mandat pour soutenant un foyer juif. En 1942, en opposition à la politique britannique, les résolutions de la conférence de Biltmore ont pour but de créer un état juif en Palestine. Ce fut dans un certain sens forcé par les circonstances mais ce n'était pas le but original du sionisme.
Ce n’est pas uniquement une histoire de religion - il y a beaucoup de Sionistes religieux et les premiers partisans du retour à Sion au 19ème siècle étaient des rabbins. Cependant, les fondateurs du mouvement sioniste n'étaient pas religieux et le mouvement sioniste n'est ni religieux ni un retour "à la terre promise."
Ce n’est pas une histoire de frontières - le sionisme ne s’est jamais préoccupé de frontières. Quelques programmes développé par les sionistes ont envisagé un foyer juif hors de la Palestine, des Sionistes ont envisagé un état Bi-national (le parti du Mapam), alors que d'autres (les "Révisionnistes") insistaient sur le fait que l'état juif devait être établi des deux côtés du fleuve de la Jordanie, dans l’intégralité du territoire du mandat britannique.
Ce n’est pas une histoire de prendre à certains ou d’en rejeter d'autres - bien que l'histoire du sionisme se soit rapidement mélangé avec les aspirations nationalistes arabes, le sionisme n'était pas au sujet de prendre la terre à d'autres ou d'exclure les autres. Le projet "colonial" sioniste a visé à acheter la terre en Palestine, pour ne pas la conquérir par la force.
Ce n’est pas une histoire de militarisme - bien que l'histoire d'Israël et de l’implantation des juifs en Palestine ressemble souvent à une longue guerre avec des interruptions, tous les Sionistes n’étaient pas des militaristes. La plupart des Sionistes ont cru que leur cause triompherait par seule la force morale. Un des premiers Sioniste a écrit :
Nous ne posséderons jamais des canons, même si les non-juifs s’opposent toujours les uns aux autres. Par conséquent, nous ne pouvons pas juste s’implanter dans notre tranquillement et vivre et laisser vivre "
les chababnikim sont des jeunes issus des milieux ultra religieux et qui on rejeté la religion, alors plutot de les laisser trainer dans les rues ils sont reccueillis et la plupart s'engagent dans Tsahal