|
Politique IsraëlGénéral Gantz : ''la mobilisation des ultra-orthodoxes n'est pas un problème militaire mais politique''Le chef d'état-major de Tsahal, le général Benny Gantz, a estimé mardi que ''la mobilisation des ultra-orthodoxes n'est pas un problème militaire mais politique''. ''L'échelon politique décidera dans ce dossier. Ce que l'échelon politique décidera, nous le ferons car il ne s'agit pas d'une question militaire", a-t-il précisé. Articles connexes
2 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 23 minutes - Le Figaro
Il y a 2 heures - Le Figaro
Il y a 3 heures - Times of Israel
Il y a 3 heures - Kountrass
Il y a 8 heures - Futura-Sciences Actualités
29 Mai 2025 par Rafael_003
29 Mai 2025 par Rafael_003
25 Mai 2025 par Claude_107
25 Mai 2025 par Claude_107
23 Mai 2025 par Blaise_001
18 Juin 2025 - Torah-Box
18 Juin 2025 - Torah-Box
8 Juin 2025 - Le Monde Libre
8 Juin 2025 - Le Monde Libre
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 34 minutes
Faut-il comprendre ce qui me paraît sous-entendu - à savoir : s'il s'agit d'une question militaire, c'est à l'échelon militaire d'en décider - ?
Car, alors que plus personne, apparemment, ne parlait de la question de la mobilisation des 'haredim, en revanche, Benyamin Netanyahu a déclaré hier, à propos d' une éventuelle intervention militaire israélienne en solo contre les installations nucléaires et stratégiques iraniennes, que, dans une démocratie, c'étaient les responsables politiques qui prenaient les décisions, lesquelles étaient exécutées par les militaires. Il avait donné l'exemple de mena'hem Begin, z"l, qui, en 1981, avait décidé l'opération contre " Osirak " alors même que l'Etat-Major et les services de renseignements n'y étaient pas favorables.
Il y a maintenant quelques jours déjà, certains échos laissaient entendre que la vraie raison, la raison de fond, du départ de Shaul Mofaz n'était pas tant ce qui avait été mis en avant ( la question de la mobilisation des 'haredim ) que son opposition à Benyamin Netanyahu, Ehud Barak et Yuval Steinitz, favorables, eux, au sein du cabinet de sécurité, à une opération contre l'Iran.
La déclaration du général Benny Gantz serait donc à entendre dans ce même contexte.
On a l'impression que le débat entre partisans et adversaires de frappes israéliennes en solo contre les installations nucléaires et stratégiques iraniennes, qui avait été " gelé " au printemps ( attitude et dispositions dites de " lockdown " ), a repris assez récemment - quoique de manière indirecte car se faisant à travers des débats sur d'autres questions ( comme la mobilisation des 'haredim ).