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27 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 11 heures - Kountrass
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Dernière mise à jour, il y a 53 minutes
je suis retraitée,je n'ai jamais le temps de prendre mon temps ,qui lui 'est toujours en vacances,
le temps est important---merci mes amis si généreux---
,
& l'a empéchê d'attaquer les bases iraniennes ,quand il était encore temps, comme il l'avait fait
pour l'irak et la syrie, mais le bronzé comme il est muzz avait promis dans son discours au caire de
ne jamais attaquer l'islam==il est le berger de tous les islamistes & mènne bien son troupeau planétaire//
tu crois que c'est beau de critiquer au sein de notre propre Pays nos dirigeants,au lieu de les rassembler,
en un seul pleuple "Uni" contre toute cette racaille,qui veut nous éliminer ? **l'Union fait la force **ou &
'lUnion , sur des chaises capitonnées // & dire armons-nous & partez, ils sont à l'abri,c'est ce que tu veux
Comme toi, je me rappelle avec émotion le magnifique discours par lequel Shimon Pérès avait accueilli les Juifs éthiopiens : " ... Nous serons un seul peuple ... " .
Pour le bateau dont tu parles - l' " Altalena " - il était chargé d'armes, oui, mais c'étaient des armes destinées à combattre les Arabes ( on était en pleine guerre d'Indépendance ). David Ben Gourion, z"l, n'a pas voulu que ces armes parviennent à l' " Etzel " ; mais rien ne prouve que l' " Etzel " les destinait à la guerre civile. On peut au contraire soutenir qu'en prenant l'initiative de faire tirer par des Juifs ( c'est Yitz'hak Rabin, z"l, qui a donné l'ordre de tirer sur l' " Altalena " ) sur d'autres Juifs, c'est David Ben Gourion qui prenait le risque de déclencher la guerre civile. Il aurait suffi que l' " Irgoun " riposte à l'agression dont il était victime. On peut soutenir qu'au contraire c'est la grande sagesse patriotique et le mérite de Mena'hem Begin, z"l, que d'avoir décidé de ne pas riposter - précisément pour éviter la guerre civile.
Sur un autre point, on pourrait aussi discuter. tu affirmes que " la classe moyenne est ruinée " . C'est là, en substance, le propos, polémique et pré-électoral, de Mme Shelly Ye'himovitch. Mais, comme beaucoup de propos " électoraux " , il risque
fort de paraître très exagéré. Que la classe moyenne et aussi les milieux plus populaires connaissent de sérieuses difficultés économiques - notamment du fait de la crise du logement - , c'est indéniable ( et inquiétant : je me rappelle une discussion, dans l'avion qui me menait à Ben-Gourion, avec mon voisin, un industriel franco-israélien, qui me confiait sa stupéfaction : " Nous avons maintenant " , me disait-il, " beaucoup de pauvres, en Israël " ). Mais la classe moyenne n'est pas véritablement ruinée, le terme est trop général ( " la " classe moyenne ) et trop fort.
Pour ce qui est de la grande difficulté à se loger convenablement, la multiplication des chantiers de construction en Judée-Samarie constituerait certainement une mesure décisive. Ce n'est pas une affaire de moyens techniques ou financiers manquants du côté des constructeurs, ni une affaire de marché ( des milliers de familles n'attendent que la possibilité d'accéder au logement ). C'est une affaire de volonté politique. Et je ne doute pas que les mesures que préconise Naftali Bennett ( notamment l'annexion de la zone C ) créeraient les conditions d'un vaste essor de la construction juive.
Il est vrai que " Bibi " n'a pas éliminé la menace iranienne et que cela devra être fait - il vient précisément de rappeler que l'Iran nucléaire est pour Israël le danger majeur. La responsabilité principale de cette carence incombe avant tout à l'administration Obama. Peut-être Binyamin Netanyahu aurait-il dû
passer outre l'opposition américaine ? Peut-être a-t-il manqué d'audace ? - Mais peut-être a-t-il calculé qu'il avait d'abord besoin d'une majorité plus résolue, en Israël même. ( Car, on le sait bien, les réticences et l'indécision étaient grandes dans les milieux dirigeants israéliens de la politique, du renseignement, de l'Etat-Major ). Ce sont ces réticences qu'une coalition encore plus franchement orientée vers un sionisme actif permettra de négliger ou de contourner.