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Politique IsraëlRafi Eitan : "Ariel Sharon allait donner les 2/3 de la Judée-Samarie"Rafi Eitan, ancien collaborateur d'Ariel Sharon, affirme que l'ancien premier ministre d'Israël était sur le point de céder les 2/3 de la Judée-Samarie pour annexer le tiers restant, lorsqu'il a eu cette crise cérébrale en janvier 2006. Netanyahou devrait proposer la même chose à Obama, poursuit Rafi Eitan. Il déclare également qu'avoir permis la victoire de l'islamiste Morsi en Egypte est une imbécillité qu'on va regretter pendant plusieurs générations. 8 commentaires
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---un bouclier humain ?? ils t'attendent & sont en panne ??
Chabbat et Thérèse_001 ont fort bien répondu. J'ajouterais: et prendre de force ce qui ne vous appartient pas (francearabia qui marche au pas hallal, phagocytée par le monde glauque arabo/muzz) n'est-ce-pas aussi un curieux procédé???
AM ISRAEL HAY
Je ne sais pas ce que Binyamin Netanyahu serait censé proposer. Mais le principal mérite qu'on peut et doit, à mon sens, lui reconnaître est précisément d'avoir tenu bon et de n'avoir jamais cédé sur rien d'essentiel : ni le Golan, ni la Judée-Samarie, ni les prétendues " frontières de 1967 " ,ni la partition de Jérusalem, ni le " retour " ( sic ) des " réfugiés " ( sic ), ni - last but not the least - sur la construction juive en Judée-Samarie. Rien ne permet d'augurer qu'il se mettrait à pratiquer une politique qui serait le contrepied de celle qu'il a défendue victorieusement jusqu'ici : la situation politique en Israël
n'a pas été fondamentalement modifiée par les élections du 22 janvier. Malgré les apparences, la position de Baraq 'Hussein Obama est bien moins forte qu'en 2009, notamment en ceci que sa nouvelle politique arabe est partout en échec : il suffit de suivre les événements de Lybie, d'Egypte, de Tunisie, pour ne rien dire de la situation en Syrie. Le fait même qu'à différence de ce qui s'était passé en 2009, l'administration américaine ne puisse plus faire mine de traiter Mahmoud Abbas de pair à compagnon tout en affectant de mettre entre parenthèses Israël est, à mon sens, très significatif de la position diminuée des Etats-Unis au Proche-Orient : Washington ne peut plus prétendre y imposer - à Israël notamment - sa volonté.
Dans ces conditions, la sagesse est de se garder de postures et de discours fracassants, et de poursuivre contre vents et marées la vieille politique sioniste : mettre partout en valeur la terre juive et partout construire des villages, des quartiers, des agglomérations juifs : t
tantôt ici, tantôt là. " Dunam po, ez sham " .