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Politique Israël

Netanyahou serait contre le gel des constructions

Netanyahou serait contre le gel des constructions - © Juif.org

Le secrétaire d'état américain John Kerry, le premier ministre Benyamin Netanyahou et la négociateur en chef Tzipi Livni se sont réunis a Jérusalem samedi soir pour tenter de parvenir à un accord qui ouvrirait la voie a une rencontre entre le premier ministre israélien et le président de l'autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Il semble cependant que la route vers un tel sommet soit parsemée d'obstacles.

Un responsable israélien familier avec les détails des pourparlers a déclaré que "le retour de Kerry en Israël ce soir indique que quelque chose est en mouvement, apparemment dans une direction positive. Il ne serait pas revenu si ce n'était pas le cas. Son principal objectif à ce niveau est d'organiser une rencontre entre Netannyahou et Abbas."

Kerry a rencontré Abbas à Amman, en Jordanie, plus tôt samedi, avant de retourner à Jérusalem pour une autre série de pourparlers avec Netanyahou et d'autres responsables israéliens de haut niveau.

Kerry devrait tenir une conférence de presse dimanche en Israël pour résumer sa cinquième visite au Proche Orient depuis sa prise de fonction.

Des responsables de Jérusalem ont déclaré que l'autorité palestinienne insiste pour que Netanyahou déclare un gel de la construction juive en Judée Samarie, mais le premier ministre n'accepte pas cette demande, également en raison de l'opposition des membres de son cabinet envers une telle démarche. Israël n'étend actuellement pas les implantations dans les territoires, et les Etats-Unis ont assuré les palestiniens que ce ne serait pas le cas dans un futur proche. Cependant, Abbas ne s'en remet pas à l'engagement américain et continue d'exiger que Netanyahou s'y réfère dans un communiqué.

Lors d'une récente rencontre avec un ministre de premier plan, le premier ministre a dit qu'il n'avait pas l'intention d'annoncer un gel de la construction. "Il l'a dit, et son seul but est de reprendre les négociations sans conditions préalables," a dit le ministre.

L'autorité palestinienne exige également qu'Israël accepte de libérer des terroristes, ainsi que reconnaître les frontières de 1967 comme base de référence pour les négociations. Un haut responsable israélien a déclaré que le gouvernement accepterait de libérer des prisonniers, mais non comme une condition pour la reprise des discussions. En outre, Israël n'acceptera pas de libérer tous les prisonniers qu'exige l'autorité palestinienne, a-t-il dit.

La visite de Kerry et le dernier cycle de négociations n'ont pas laissé grande impression sur l'aile droite du parti Likoud au pouvoir et sur les membres de Bayit Yéhoudi. Ils s'opposent aux exigences établies par l'AP comme conditions préalables aux négociations, en particulier la demande de libération de prisonniers. "La position du premier ministre appelant à des négociations sans conditions préalables est acceptée par la plupart des membres du Likoud," a déclaré le vice-ministre de la défense Danny Danon, "il n'y a aucune justification, évidemment, pour libérer des terroristes."

Le député Nissan Slomiansky (Bayit Yéhoudi) a déclaré que "les palestiniens ont besoin des négociations plus que nous. Mettre des conditions pour entamer des négociations, y compris la libération de prisonniers, est un refus de faire des progrès vers la paix." Selon lui, "accepter des conditions préalables ne ferait qu'enfermer les palestiniens dans leurs positions difficiles et empêcher tout progrès futur."

La député Miri Regev (Likoud) a déclaré que "nous ne devons pas relâcher des terroristes comme condition préalable à des négociations, nous devrions négocier sans conditions, les prisonniers doivent être en prison, comme l'a déterminé le tribunal."

Gila Gamliel, également du Likoud, a ajouté que "les demandes sont ridicules. Le premier ministre a clairement dit qu'Israël ne permettra pas de conditions préalables, et je ne doute pas que la plupart des membres de la Knesset, même ceux qui se considèrent au centre de l'échiquier politique, soutiennent le premier ministre dans ce domaine. Les exigences absurdes des palestiniens révèlent leur intention et précise, comme toujours, qu'il n'y a pas de partenaire pour la négociation de l'autre côté."

126 commentaires
pour simples précisions aller sur :http://www.jforum.fr/forum/international/article/pourquoi-un-etat-palestinien
LA SOLUTION AU PROBLEME EST LA JURISTES INTERNATIONAUX SDN 1945 A DIFFUSER SANS RETENUE
Envoyé par Robert Haim - le Vendredi 28 Juin 2013 à 06:35
Bonjour, William. Oui, " Bibi " ne doit rien brader à cette fleur de nave de John Kerry. Mais le contexte est celui d'un recul général de l'Occident, qui n'est pas sans rappeler, mutatis mutandis, celui qui suivit la défaite américaine au Viêt'Nam : regarde comme Barack Obama se couche devant Vladimir Poutine ... Alors, bien sûr, Washington veut qu'Israël se couche aussi ( et, en plus, veut le punir de ne pas avoir joué en Syrie le rôle de valet d'armes des Etats-Unis ). Mais, comme le dit Daniel ci-dessus, " y en a marre de faire des concessions à sens unique aux Arabes ! " - " Bibi " doit tenir.
Envoyé par Edmond_002 - le Vendredi 28 Juin 2013 à 08:03
Le titre laisse comprendre que Peres et Netanyahu soutiennent l'existence d'un état juif. C'est bien, mais insuffisant. Dans quelles frontières? Et la loi du retour des "palestiniens héréditaires"? Et la question de Jérusalem? en restant très prudent? Et comment accepter l'enseignement de la haine des jiuifs et d'Israel chez les "palestiniens" et dans le monde arabo-musulman? Et quel devenir pour les implantations?
Donc une déclaration un peu creuse... et minimaliste.
Envoyé par Claude_065 - le Vendredi 28 Juin 2013 à 08:32
je me demande pourquoi kerry se rend en jordanie pour y rencontrer abbas , et pourquoi
le queri a-t-il accepté cette rencontre à amman ...et pas à ramallah...abbas veut-il ainsi
jouer au pauvre mendiant qui ne possède pas d ' endroit digne de sa majesté , l ' envoyé
spécial américain queri pour y rencontrer la HAUTE majesté , le roi hachémite absallah
un roi assis sur deux trônes , les jambes bien écartées l ' une en arabie saoudite en son
premier royaume et l ' autre en palestine juive volée au peuple juif avec la complicité de
l ' angleterre cautionné notamment par la france ... et c ' est cet héritier du petit
roi qui va influencer( comme toujours) le pauvre queri...parce que sa majesté le roi de deux
royaumes joue sur deux tableaux d ' un côté avec cette paix virtuelle ( payée cache par les américains)avec
ISRAËL et la crainte de voir s ' ouvrir en jordanie un printemps arabo-musulman ... alors
le roi abdallah n ' a pas trouvé mieux que d ' accepter de jouer l ' avocat de abbas...il y a mal donne
car il va sans dire que abdallah va proposer l ' impossible ( plan saoudien déjà rejeté par ISRAËL) à
ce pauvre kerry qui n ' a fait que quérir un accord israêlo-palestien pour asseoir l ' influence
américaine au moyen-orient et pemettre ainsi àl ' amérique de obama de crier victoire sur le dos
de l ' état d ' ISRAËL en y cassant du sucre sur le dos de BiBi !

il y a mal donne au niveau des rencontres qui a pris un mauvais départ voué à l ' échec !
Envoyé par Jacques_079 - le Vendredi 28 Juin 2013 à 09:16
Le droit des Jiifs d'avoir un Etat est remis en question. Et bien entendu ces critiques incessantes viennent d'Europe et de la Gauche américaine.
Un antisémitisme qui ne dit pas son nom !
Oui une certaine Gauche qui a soutenu l'ancien Chef du Vénézuela qui reçut en grande pompe Ahmenidnajad, le massacreur de son propre Peuple ! Quel comportement dévoyé !
Je pense ces pourfendeurs d'Israel recevront la monnaie de leur pièce car leur haine les rend aveugles aux dangers qui les menacent eux mêmes.
Golda MEIR ne disait elle pas "On s'en prend d'abord aux Juifs puis aux autres peuples !"
Enfin ces pressions font partie de la guerre contre Israel. Ne nous laissons pas faire !
Envoyé par Bernzard - le Vendredi 28 Juin 2013 à 11:21
Bon, pendant que Biibi et les supplétifs de la gauche toujours en avance sur le plan des concessions, parlent d'e la solution à deux états, Bennett se prononce ouvertemnent contre. Est-ce une façon de dire 'ce n'est pas moi, c'est l'autre'' pour temperer les ardeurs des patrons américains ?
M'enfin qui ne sait pas que l'ultime but des Arabes est d'éradiquer l'entité juive ?
Envoyé par William_010 - le Vendredi 28 Juin 2013 à 11:41
Je crois que, pour Israël, il s'agit avant tout de tenir. Israël, a tenu bon face aux tentatives américaines de l'impliquer volens nolens dans le conflit syrien. Il doit encore tenir, dans une conjoncture où la maison Blanche n'a pas forcément les moyens de la politique qu'elle voudrait imposer. En 2009-2010, Barack Obama n'avait pas réussi à faire plier " Bibi " . A partir de l'automne 2010, la Maison Blanche et le Département d'Etat se sont lancés dans ce que j'avais cru pouvoir appeler à l'époque un " plan B " : circonvenir Israël et régler les problèmes de la région en y lâchant les vieilles alliances avec les castes familiales militaro-nationalistes et en facilitant l'arrivée au pouvoir d'islamistes qualifiés, pour les besoins de la cause, de " modérés " : en substance, les " Frères Musulmans " et leurs divers avatars et succédanés locaux. Mais cette opération de reconversion hautement stratégique s'est révélée beaucoup plus problématique que ne le prévoyaient sans doute les stratèges de Washington. Les événements de Lybie ( avec notamment l'assassinat de l'ambassadeur américain et le fuitage d'armes en direction de l'islamisme sahélien ) ont montré la difficulté de stabiliser de tels régimes. En Syrie, Washington a subi un échec de première grandeur. L'Egypte est rien moins que stabilisée. Ce que le Département d'Etat n'était pas loin de présenter comme un modèle : la Turquie de Recep Tayyip Erdogan est elle-même secouée de soubresauts.
Envoyé par Edmond_002 - le Vendredi 28 Juin 2013 à 13:16
(suite)

En d'autres termes, toutes ces impasse, voire ces échecs de la politique de Barack Obama ne le mettent pas dans la meilleur position pour harceler Israël.
Envoyé par Edmond_002 - le Vendredi 28 Juin 2013 à 13:18
L ONU, les nations, le monde, la terre entiere, rien n y fera, c est la terre du peuple juif, qui peut négocier avec le maitre du monde??, israel partage son savoir, sa matiere grise, sa technologie, mais le proprietaire de cette terre c est le roi des rois, rien ne se fait sans son aval, 65 ans, des guerres, ils n ont toujours pas compris. tant pis pour eux, chabbat chalom a vous tous.
Envoyé par Roland_017 - le Vendredi 28 Juin 2013 à 15:12
kerry va-t-il se rendre à jérusalem , ou bien rester à amman...subir les salam alek
avec les embrassades de abou mazen ...qui va l ' appeler du matin au soir " mon frère "
" mon chéri " et puis le roi abdallah va les inviter et abbas et kerry...avec tous les
honneurs...pour étouffer toutes réminescences du pauvre émissaire américain qui n ' y
comprend plus rien...mais le kerry est mal placé pour juger et jauger la situation ...sinon
il y a longtemps qu ' il aurait soulevé et le problème israêlo-arabe et le problème israêlo-
palestinien sans oublier le fameux syndrome de kharthoum ...

Le correspondant diplomatique du quotidien Haaretz soulignait quant à lui que les navettes du secrétaire d'Etat Kerry n'ont abouti jusqu'à présent qu'à des résultats négligeables. «Sa diplomatie n'a pour le moment mené à rien, excepté de part et d'autre à une flexibilité limitée et destinée à sauver les apparences, à rassurer Kerry et à éviter d'être accusé de l'échec d'une reprise des négociations», écrit-il.

alors parler de la responsabilité des israêliens dans la permanence des échecs à
répétition du processus de paix est une erreur !

seule l ' autorité palestinienne est responsable de ces echecs successifs !

il faut ouvrir et les oreilles !
Envoyé par Jacques_079 - le Vendredi 28 Juin 2013 à 15:46
Membre Juif.org





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