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Politique Israël

Israël: la crise du logement aux premières loges des élections

Beaucoup d'Israéliens des classes moyennes auront davantage à l'esprit la crise immobilière et le prix exorbitant des appartements au moment d'aller voter mardi, que les menaces sécuritaires brandies par le Premier ministre sortant Benyamin Netanyahou.

Ce dernier a fait campagne en se présentant comme le seul capable de faire échec à un mauvais accord international sur le nucléaire iranien et de faire pièce à l'extrémisme islamiste. Ses adversaires de centre-gauche ont en revanche fait du logement un de leurs principaux chevaux de bataille.

Sur le front immobilier, M. Netanyahou est sur la défensive. Depuis sa prise de fonctions en 2009, il a échoué à juguler la flambée des prix qui ont augmenté de 55% entre 2008 et 2013, selon les chiffres d'un embarrassant rapport officiel publié en pleine campagne. Malgré différents plans, les prix ont encore augmenté de 5% en 2014. Il a d'ailleurs reconnu ne pas avoir fait assez pour enrayer cette crise du logement lors de plusieurs interviews en fin de semaine.

4 commentaires
Aucune logique chez cette gauche. Herzog, Livni et Lapide prétendent qu'ils sont capables de remédier à la crise du logement, et notamment aux prix faramineux du moindre appartement. Or, ils sont opposés à la construction dans les localités juives de Judée-Samarie, y compris dans environ 80 % du territoire de Jérusalem, libéré pendant la guerre des Six jours. Nul n'est besoin d'être un grand spécialiste de l'économie pour comprendre que des nouvelles constructions dans la périphérie immédiate de Jérusalem, Tel-Aviv ou encore Béer-Chéva ne peut que faire diminuer la forte pression de la demande qui se concentre sur ces grandes villes très proches de l'ancienne ligne qui délimitait l'Etat d'Israël de 49 à 67.
Envoyé par Y?ochoua - le Dimanche 15 Mars 2015 à 09:00
je serais plutôt favorable à la réélection de BiBi parce que la plupart de ses adversaires politiques veulent donner la terre juive aux Arabes, ce qui est inadmissible; mais il faut reconnaître que BiBi n'a pas fait grand chose pour le logement en laissant aux requins de l'immobilier tout le champ libre pour augmenter les prix à leur guise; et pourtant, en sa qualité d' architecte BiBi et de financier avait les compétences requises pour mettre en route un programme ambitieux pour loger tous ceux qui n'ont pas de toit sur la tête et aussi tous les Juifs qui voudraient venir en Israël faire leur Alyia mais qui ne le peuvent pas par manque de logements.
Envoyé par Daniel_097 - le Dimanche 15 Mars 2015 à 09:17
Des logements , il y en a , pas chers , dans les villes de développement .

Pas dans les villes touristiques

Le pouvoir politique, quel qu'il soit, s'il n'est pas soviétique ou bureaucratique , ne va pas fixer les prix des apparts à Tel Aviv ou à Hertzlia et ne peut permettre de construire des apparts sociaux dans ces villes déjà bien denses .

Par contre , il serait et juste possible de virer , vers la Cisjordanie ou Gaza les musulmans de Jaffa de Haïfa et même de tout Israël, Etat juif, et de mettre à leur place des Juifs

L’État d’Israël , malgré le voeu le plus cher de la Gauche , n'a pas à rester un Etat bi national
Envoyé par David_325 - le Dimanche 15 Mars 2015 à 09:31
La vraie solution, à moyen, à court et à long terme, de la crise u logement passe par la réappropriation de la terre juive, pour des constructions juives, dans la totalité d'Eretz Israël. Tout le monde ne peut vivre dans les métropoles du bord de mer. Par contre, les villes de développement, en Samarie notamment, sont plus accessibles.
Les programmes de constructions en Eretz Israël sont souvent bloqués par le gouvernement et par les autorités militaires dans le souci prioritaire de ne pas déplaire à Washington, à Bruxelles ou à Paris. Si un programme de construction de quelques centaines, voire seulement de quelques dizaines de logements est annoncé, des cris d'orfraie retentissent aussitôt dans tout l'Occident pro-arabe et, trop souvent, le gouvernement recule.
La spéculation et la crise immobilières reposent avant tout sur cette paralysie. Si les 'halutzim avaient agi ainsi - ou, plus exactement, s'étaient abstenu d'agir, de construire - , Israël n'existerait pas. De la terre, il y en a. Des espaces constructibles, il y en a à foison. Mais en Samarie, en Judée, en Galilée, dans le Golan.
Envoyé par Edmond_002 - le Dimanche 15 Mars 2015 à 10:24
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 13 minutes