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Politique IsraëlIsraël: la crise du logement aux premières loges des électionsBeaucoup d'Israéliens des classes moyennes auront davantage à l'esprit la crise immobilière et le prix exorbitant des appartements au moment d'aller voter mardi, que les menaces sécuritaires brandies par le Premier ministre sortant Benyamin Netanyahou. Ce dernier a fait campagne en se présentant comme le seul capable de faire échec à un mauvais accord international sur le nucléaire iranien et de faire pièce à l'extrémisme islamiste. Ses adversaires de centre-gauche ont en revanche fait du logement un de leurs principaux chevaux de bataille. Sur le front immobilier, M. Netanyahou est sur la défensive. Depuis sa prise de fonctions en 2009, il a échoué à juguler la flambée des prix qui ont augmenté de 55% entre 2008 et 2013, selon les chiffres d'un embarrassant rapport officiel publié en pleine campagne. Malgré différents plans, les prix ont encore augmenté de 5% en 2014. Il a d'ailleurs reconnu ne pas avoir fait assez pour enrayer cette crise du logement lors de plusieurs interviews en fin de semaine. 4 commentaires
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Pas dans les villes touristiques
Le pouvoir politique, quel qu'il soit, s'il n'est pas soviétique ou bureaucratique , ne va pas fixer les prix des apparts à Tel Aviv ou à Hertzlia et ne peut permettre de construire des apparts sociaux dans ces villes déjà bien denses .
Par contre , il serait et juste possible de virer , vers la Cisjordanie ou Gaza les musulmans de Jaffa de Haïfa et même de tout Israël, Etat juif, et de mettre à leur place des Juifs
L’État d’Israël , malgré le voeu le plus cher de la Gauche , n'a pas à rester un Etat bi national
Les programmes de constructions en Eretz Israël sont souvent bloqués par le gouvernement et par les autorités militaires dans le souci prioritaire de ne pas déplaire à Washington, à Bruxelles ou à Paris. Si un programme de construction de quelques centaines, voire seulement de quelques dizaines de logements est annoncé, des cris d'orfraie retentissent aussitôt dans tout l'Occident pro-arabe et, trop souvent, le gouvernement recule.
La spéculation et la crise immobilières reposent avant tout sur cette paralysie. Si les 'halutzim avaient agi ainsi - ou, plus exactement, s'étaient abstenu d'agir, de construire - , Israël n'existerait pas. De la terre, il y en a. Des espaces constructibles, il y en a à foison. Mais en Samarie, en Judée, en Galilée, dans le Golan.