|
Politique IsraëlDéchéance : Valls tape du poing sur la tableLe premier ministre a publié lundi sur Facebook un texte à destination de sa majorité, peu favorable à l’extension de la déchéance de nationalité pour les binationaux convaincus de terrorisme. «Je ne peux laisser tout dire sur la déchéance de nationalité : revenons aux faits !», écrit le chef du gouvernement alors que les prises de parole se multiplient à gauche contre l’exécutif.
«Comment peut-on dire que priver de la nationalité française des terroristes condamnés serait une idée d’extrême droite'», s’agace Manuel Valls. Le matin même, Florian Philippot expliquait cependant que cette idée avait été soufflée par Marine Le Pen lors de son entretien avec François Hollande, au lendemain des attentats de novembre. Le vice-président du FN allant même jusqu’à dire que le président de la République avait été « touché par la grâce » en reprenant à son compte cette proposition. «Ce principe existe dans de nombreux pays démocratiques proches de la France : en Grande-Bretagne, au Canada, en Suisse, aux Pays-Bas et d’autres encore, sans doute. Le même débat existe en Belgique. En Allemagne, la question ne se pose pas puisque la binationalité n’y est pas autorisée», rappelle le premier ministre pour éteindre l’incendie à gauche.
"Eviter tout amalgame"
En retour, pour donner des gages à l'aile gauche du PS, Manuel Valls souligne qu’alors ministre de l’Intérieur, il avait rétabli «des conditions normales et ouvertes d’accès à la naturalisation». «Devant les Français, il est sage d’éviter tout amalgame, d’écarter les arguments infondés», martèle alors le chef du gouvernement, estimant que de lier l’extension de la déchéance de nationalité à l’extrême droite revient à «renforcer (sa) propagande».
Enfin, le premier ministre veut insister sur l’histoire de la déchéance de nationalité en France. «Souvenons-nous que la première procédure de déchéance de nationalité a été instituée par la IIe République, à l’article 8 du décret du 27 avril 1848. Il s’agissait alors d’exclure de la République les esclavagistes qui refuseraient de se conformer à l’abolition de l’esclavage», dit-il. Jurant qu’une «mesure de déchéance après condamnation pour un crime terroriste par un tribunal indépendant n’a absolument rien à voir avec les actes discriminatoires du régime raciste et antisémite de Vichy».
4 commentaires
| Membre Juif.org
9 Mai 2025 - Le Figaro
9 Mai 2025 - Le Figaro
9 Mai 2025 - Times of Israel
9 Mai 2025 - Kountrass
4 Avril 2025 - Slate .fr
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Guillemette
21 Avril 2025 par Claude_107
18 Avril 2025 par Claude_107
8 Mai 2025 - Torah-Box
8 Mai 2025 - Torah-Box
4 Mai 2025 - Le Monde Libre
4 Mai 2025 - Identité Juive .com
16 Avril 2025 - Identité Juive .com
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 10 minutes
Pourquoi on ne pourrait pas retirer la nationalité française à des " citoyens qui trahissent et
commettent des actes contre le pays.
Pourquoi parler des lois de Vichy qui s'attaquaient aux juifs qui eux respectaient les US et
coutumes du pays qui leur avait ouvert ses portes et se sont complètement intégrés ?
Là, nous nous trouvons avec des jeunes paumés qui redécouvrent l'islam et leur pays d'origine
en rejetant la France et veulent faire la guerre chez nous.
Alors, si ils n'aiment pas la France, la France ne les aime pas et leur retirer la nationalité ne
doit pas les gêner !
monstrueux de rejeter les " français musulmans " qui trahissent le pays et font du djihad ce
qui les porte au sacrifice ultime de tuer et de se faire exploser POUR UNE CAUSE IGNOBLE.
Tant de haine est inacceptable pour rester français et pour ceux qui devront sortir de prison
ils n'ont pas le droit d'être français et doivent être expulsés de notre beau pays.
ETRE FRANCAIS CELA SE MERITE !
Cela peut se rapporter à Israël, qui se débat avec des assassins sanguinaires qui aiment les
couteaux pour saigner des juifs.