Politique Israël

Un décès dans le sud d'Israël mardi qui a été qualifié de premier décès confirmé en Israël lié à la variante Omicron n'était en fait pas lié à la nouvelle variante, a déclaré mercredi matin le ministère israélien de la Santé.

Mardi, un homme de 75 ans qui avait reçu deux injections du vaccin Pfizer et souffrait de graves problèmes de santé préexistants est décédé après avoir été testé positif au SRAS-Cov-2, ont annoncé des responsables du centre médical Soroka à Beer Sheva.

Les responsables de l'hôpital ont souligné que la principale cause de décès était les problèmes de santé préexistants de l'homme.

L'homme aurait initialement été infecté par la variante Omicron, les médias qualifiant sa mort de premier décès lié à Omicron en Israël.

Mercredi, cependant, le ministère de la Santé a annoncé que les résultats de laboratoire de l'homme indiquaient qu'il portait la variante Delta, et non la variante Omicron.

Le cabinet du gouvernement israélien sur le coronavirus a voté mardi soir pour imposer l'apprentissage à distance aux étudiants des villes où les taux d'infection sont les plus élevés, citant la propagation de la variante Omicron, malgré les données initiales d'Afrique du Sud et d'ailleurs suggérant que la variante pourrait être moins virulente que les souches précédentes.

Auparavant, le ministère de la Santé avait interdit les voyages aux États-Unis, au Canada et dans un certain nombre d'autres pays, en raison des niveaux relativement élevés de la variante Omicron dans ces pays.