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Politique IsraëlIsraël: Lieberman interrogé par la police après des débuts mouvementésLe ministre israélien des Affaires étrangères, l'ultranationaliste Avigdor Lieberman, a longuement été interrogé par la police jeudi pour un affaire de fraude après avoir provoqué des vagues en adoptant des positions dures vis-à-vis des Palestiniens et des Syriens."M. Lieberman a été interrogé...
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23 commentaires
| Membre Juif.org
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Dernière mise à jour, il y a 49 minutes
En France et ailleurs on a tellement des choses pas très "catholique" , alors , faites vos travails de informateurs de peuple ici , avec les gens de ici!
Et Mme. Livni , par dépit se met aussi , elle a eu son chance , mais sauf de brader Israel plus en plus - rien !
Très petit , de nuire au adversaire comme ça !
elle est pas resté lgtps o gvt tu peux pas la juger
Selon les médias, il aurait reçu de «très importantes sommes d'argent en provenance de l'étranger» pour financer ses campagnes électorales. Ces fonds auraient transité grâce à des sociétés fictives et différents comptes bancaires. L'enquête a été lancée il y a plusieurs années. Mais la police s'était abstenue de convoquer Avigdor Lieberman ces dernières semaines en raison des négociations en cours pour former un gouvernement après les élections du 10 février.
Opposé au processus de paix
Dès son entrée en fonction mercredi, le chef de la diplomatie a provoqué des remous en Israël et à l'étranger en affirmant que l'Etat hébreu n'était pas lié par le processus d'Annapolis qui a relancé les négociations avec les Palestiniens. Vis-à-vis de la Syrie, Avigdor Lieberman a adopté une position qui ne peut que geler les relations entre les deux pays : il rejette d'emblée tout retrait du plateau du Golan, conquis en 1967 et annexé en 1981 par Israël.
Immédiatement attaqué par les Palestiniens et certains pays arabes, Avigdor Lieberman n'a pas non plus eu droit à une période de grâce en Israël. Le député travailliste Ofer Pines-Paz, opposé au ralliement de son parti à la coalition, a estimé qu'il représentait «une menace stratégique pour Israël. Il agit comme un éléphant dans un magasin de porcelaine».
L'ancienne ministre des Affaires étrangères Tzipi Livni, désormais chef de l'opposition, a estimé que «jusqu'à présent la droite ne voulait pas négocier en affirmant qu'il n'y avait pas de partenaire de l'autre côté et maintenant c'est nous qui nous retrouvons dans cette position».
La police ferait bien de rechercher le meurtrier de l'adolescent qui vient de se faire massacrer à coups de hache par un palos, et laisser Lieberman redresser Israêl, et protéger les israéliens, qui en ont bien besoin.
Trop de "démocratie", face de dangereux criminels, tue la démocratie.
Ca suffit de vouloir être l'état le + démocratique du monde, dans un monde de requins et de renards de tous genres. Qu'Israêl se réveille de ses complexes de culpabilité qui n'ont vraiment pas lieu d'être, quand on voit comment ses adversaires se comportent, eux....
Et HAM ISRAEL HAYE (devant tous les tribunaux israéliens).
en Israel il se passe toutes les cinq minutes quelque chose de plus ou moins grâve , mes mes nerfs ne résistent pas
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Après sa laborieuse constitution, le nouveau gouvernement de coalition du Premier ministre Netanyahu a été investi par la Knesset le 31 mars. Des travaillistes y figurent dont Ehoud Barak.
L’exécrable décision d’Ehoud Barak, chef du Parti travailliste, de rejoindre le gouvernement de coalition de droite du nouveau Premier ministre Benjamin « Bibi » Netanyahu du Likoud et de son allié Avigdor Lieberman, le leader raciste et fascisant du parti d’extrême droite Yisrael Beiteinu, divise les travaillistes. A tel point qu’une scission du parti est maintenant envisageable.
La réunion du comité central des travaillistes convoquée en urgence le 24 mars par Ehoud Barak pour entériner sa décision a été plus que houleuse. Les noms d’oiseaux ont volé et Barak a été accusé de « retourner sa veste », d’« incarner le mal », d’« immense cynisme » et de « trahison ». Et s’il a pu faire adhérer à sa décision une mince majorité des 1 470 membres du comité central par des méthodes brutales et des promesses de places au gouvernement, l’annonce du vote a été accueilli par les sifflets et les « Honte ! Honte ! ».
Pour Lieberman, les Arabes israéliens sont des « traîtres »
En effet, siéger aux côtés de Lieberman « ferait se retourner dans leurs tombes David Ben-Gurion, Golda Meir et Yitzhak Rabin », comme l’a déclaré le parlementaire travailliste Ophir Paz-Pines, féroce opposant d’une alliance avec la droite et l’extrême droite. Lieberman, dont la poussée électorale aux élections législatives du 10 février dernier a relégué le Parti travailliste en quatrième position, veut épurer Israël des Arabes (20% de la population), qu’il perçoit comme des « traîtres » et leur nier le droit de voter ! Même pour le député Shelly Yachimovich, ex grand supporter de Barak dorénavant entré en dissidence, « Lieberman est un phénomène sombre et dangereux. Il met la démocratie en danger et s’allier avec lui est une ligne rouge morale que nous ne devons pas franchir. »