Politique Israël

il a raison pour une europe sans frontieres (utopie) quand l'islamisation aura reussi a concquerir le pouvoir et encore faut il que tous les musulmans europeens se mettent d'accord. En ce qui concerne obama il est en train de demontrer sa grande faiblesse (en parole comme l'europe) a passer son temps a donner des conseils ( y a qu'a, il faut que ). Sauf que depuis son election la coree du nord et l'iran continuent a s'activer de plus en plus vite (voir tous les essais faits en l'espace de 2 mois) sur leur programme nucleaire voyant qu' obama est incapable et impuissant a mettre la pression sur ces 2 pays.

Il y a un élément encore, à propos de l' "ami américain " , pour reprendre le titre du film de Wenders : un élément que je ne sais pas comment appréhender, ni comment formuler exactement, mais qui serait sûrement à prendre en compte : il s'agit du fait qu'aux yeux des Américains ( comme à ceux de centaines de millins de personnes dans le monde ), Barack Obama est un " Noir " . Beaucoup, aux Etats-Unis et dans le monde, ont vu dans son élection le signe que les Etats-Unis en avaient bien fini avec le racisme puisque, après avoir vu occupés par des Noirs les postes prestigieux de " Joint Chief of Staffs " ( le général Colin Powell ) et de Secrétaire d'Etat ( Mme Condoleeza Rice ), ils élisaient un Noir à la magistrature suprême.

Ce que je voudrais dire, c'est que, après l'euphorie suscitée par l'élection de Barack Obama, une " diminutio capitis " des Etats-Unis ( devant la Corée du Nord, devant un Iran devenu puissance nucléaire et maître du Proche et du Moyen-Orient, cependant qu'Israël serait restreint, humilié , voire foulé aux pieds ) ne contribuerait pas, sur le long terme, à accréditer pour l'avenir dans l'ensemble de la population américaine la capacité des Noirs américains à occuper les plus hautes fonctions : il y a là un risque dont une partie de la population afro-américaine pourrait, au-delà de l'euphorie des premiers mois, prendre peu à peu conscience : il n'est pas d

(suite) il n'est pas dans l'intérêt bien compris des Afro-Américains de voir associée l'image " président noir " à l'image " recul des Etats-Unis dans le monde " . Ce qui veut dire qu'hormis les ex ( ? ... ) -amis sulfureux d'Obama du type du révérend Whright, une partie des élites noires américaines pourrait se dissocier des initiatives hasardeuses d'Obama en matière de politique étrangère.

(suite) A cet égard, on peut noter que le chef actuel du parti républicain est

(suite ) est aussi un Afro-Américain.

Lorsqu'on perd la guerre on assume de perdre ce qui faisait notre dignité;notre honneur.A vous les muzz je voudrais dire que c'est avec votre aval que Nasser decida d'attaquer Israel;alors assumer le fait que vous avez perdi la guerre,c'est-à-dire que vous avez perdu votre honneur,vos terre.c'est aussi par amour qu'Israel n'a pas annexé toute l'Egypte et rasé gaza.
Israel avait le pouvoir de le faire mais...
Comme Hitler a perdu toute ses colonies et même son pays après la deuxième guerre mondiale;sachez que vous avez perdu vos terres après la guerre et Obama même s'il s'appele Hussein ne pourra rien changer parce qu'il a beaucoup courtisé le lobby Juif pour parvenir au poste qu'il occupe présentement!
Vous avez perdu et c'est ça la rêgle de la guerre.

Edmond vous vous trompez lourdement sur les intentions profondes du peuple américain, ne pas confondre un Chef d'état qui représente son pays et l'opinion public, Obama n'a pas été élu parce qu'il est seulement noir, il a été élu pour le changement, Bush a descrédité le Partie Republicain ! et il est claire qu'obama ne ménera pas la même politique à l'égard d'Israel que ces predécesseurs, d'ou le danger pour Israel !

Bonjour Patricia. Je n'ai jamais prétendu que Barack Obama avait été élu parce que Noir. Et, d'autre part, je crois qu"effectivement be

(suite)beaucoup ont, en votant pour lui, voulu voter contre George W. Bush et pour le " changement " . Mais je crois que la question que j'essaie de poser ( les conséquences éventuelles pour des candidats noirs futurs d'un grave recul des Etats-Unis dans le monde ) demeure valide. Cela dit, je pense comme vous que l'attitude d'Obama à l'égard d'Israël n'est plus l'attitude amicale qui s'était peu à peu établie à partir de la deuxième moitié des années 70. Cela étant, Obama n'est pas forcément en phase - sur la question du soutien à Israël - avec la majorité de l'opinion publique, ni avec la majorité des forces politiques : lorsqu'il a, il y a déjà quelques mois, essayer de faire coiffer l'ensemble des agences de renseignement américaines par personnage notoirement hostile à Israël, cette candidature a été retoquée par le Congrès ; et, il y a quelques jours, 75 °/° des sénateurs ( c'est-à-dire, outre les sénateurs républicains, de nombreux sénateurs démocrates ) ont adopté une motion de soutien à Israël. Je ne vous dit pas que la bataille est gagnée d'avance au Congrès ni dans l'opinion. Mais je crois que, comme le disait David, il me semble, Israël a, aux Etats-Unis de nombreuses cartes à jouer. De plus, si, comme le rappelle Jean, 80°/° des journalistes français sont de gauche ( et souvent violemment hostile à Israël et pro- " palestiniens " ), il ,n'en va pas de même aux Etats-Unis. Certes, les grands quotidiens de l'Est ( " Washington Post " , " New York Times " sont, comm

(suite)sont, comme ici, influencés par des milieux intello-bobos, il existe aussi tout une presse qui défend d'autres valeurs et qui a d'autres fidélités.