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Israël : infos SociétéC'est au tour d'un cheikh bédouin d'être d'origine juiveDans le cadre d’une réunion destinée au rapprochement entre Juifs et Bédouins, qui s’est tenu dans la ville de Rahat, le sheikh Salam s’est exprimé en ces termes: « Je suis un descendant des Juifs ». LA rencontre s’est déroulée sous le titre de: « L’Etat est le nôtre ? rencontre Bédouins-Juifs ». D’après le [...]
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7 commentaires
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Rien de nouveau sous le soleil, puisque LE MONDE ENTIER est d'origine juive....
Le tout étant de savoir pour quelles vraies raisons certains arabos/muzz se font passer pour des juifs, ou le font croire et/ou le laissent croire, autour d'eux.
Ce serait intéressant de creuser ce "tunnel-là", car les intentions de tous ces personnages et de ceux qui font passer ces bruits ne sont pas toujours très "claires"
Si on vérifie soigneusement, il pourrait y avoir de drôles de surprises pour les "vrais" juifs....
AM ISRAEL HAY
Bref, quelle est l'intention de ce monsieur ? Dire qu'on est tous frères ? Ou revendiquer Israël au nom d'une historicité tirée par les cheveux ?
Voici deux ans a paru un livre aux Etats-Unis, et déjà il a été traduit en français aux éditions de Fallois, sous le titre : La tragédie des soldats juifs d'Hitler.
C'est le côté sensationnel de l'affaire : alors que tout le système allemand s'acharnait avec une cruauté inouïe, à détruire méthodiquement toute trace du peuple juif de la surface de la terre et de dessous les cieux, des dizaines de milliers de soldats, qui servaient dans les différentes armes de l'armée allemande, étaient en fait eux-mêmes des Juifs, à part entière dans certains cas, mais surtout au tiers, au quart et à moins que cela. Ce qui donnait alors le statut très méprisant de Mischling (des métis). Un bruit court d'ailleurs que même le… Führer avait un grand-père juif…
Mais ce qui nous paraît le plus dramatique dans le tableau qui émane de ce livre, c'est le désarroi le plus complet dans lequel sont tombés ces gens, après un siècle d'une assimilation des plus galopantes. Des centaines de milliers de descendants juifs peuplaient alors l'Allemagne, et pensaient être totalement et définitivement assimilés à la société et la culture allemandes. C'est alors que les nazis arrivent au pouvoir et ils se voient bien vite mis au ban de la société, considérés comme des citoyens de seconde zone, pour finalement être jetés dans les camps de concentration, même s'ils avaient pu pendant un temps servir dans l'armée et espérer à ce compte avoir la vie sauve. Puis, après la guerre, ces gens n'ont pas réussi à réintégrer une place parmi les hommes : les uns les rejetaient du fait de leur passé nazi, les autres parce que somme toute de « véritables » Allemands, ils n'étaient pas…
Les incroyables méfaits de l'assimilation – qui ne mène donc à rien !
Le présent ouvrage ne tient pas compte de la Halakha en la matière (pour le moins... Il n'en comprend pas l'esprit) mais les nazis n'ont-ils pas fait de même : il leur suffisait qu'un seul aïeul soit juif, pour que le petit-fils soit considéré comme un Mischling, un métis…
Comment toute cette affaire a-t-elle commencé ? Bryan Marc Rigg avait vingt et un ans, quand, étudiant à l'université de Yale aux Etats-Unis, il a décidé d'abandonner pour un temps sa ville natale du Texas, ses études et ses examens, pour se rendre en Allemagne et se pencher sur les sources de sa famille, les Rigg. Au courant de l'année 1992, durant son séjour, il s'aperçoit que ses origines sont juives, et il décide avec fermeté de pousser plus loin ses investigations.
Il se rend dans la vieille bourgade où avait vécu son arrière-grand-père, et demande à quelqu'un parmi les vieilles gens de l'endroit, s'il connaît encore l'histoire de la famille Rigg, mais cette personne le dirige vers les archives de l'église locale, où toutes les naissances sont enregistrées. Et, effectivement, dans l'un de ces registres était inscrit que l'arrière-grand-mère Rigg était juive. Comme aucune trace de conversion n'apparaissait, Bryan a admis que lorsque sa famille a émigré aux Etats-Unis en 1863, silence a été fait sur ses origines, et la famille Rigg s'est présentée comme chrétienne allemande…
Bryan savait qu'il avait encore de la famille en Allemagne, mais comment la retrouver ? Ce n'est qu'après de nombreuses recherches qu'il a réussi à localiser deux personnes portant ce patronyme, qui avaient servi dans la Wehrmacht…
Ceci a renforcé Bryan dans son sentiment : il faut dévoiler ce « secret » ! Mais comment ? Se trouvant à Berlin, il eut une conversation avec un homme, d'apparence sympathique et cultivée. Ce dernier, à la grande surprise de Bryan, lui a raconté qu'il était juif, et qu'il avait servi dans l'armée allemande durant la guerre : « Je n'étais pas le seul soldat juif, lui affirma-t-il, mais le sujet reste tabou, personne ne s'y intéresse, mais si vous savez vous y appliquer, vous arriverez aux personnes concernées et aux documents qui en parlent. » Sur ces bonnes paroles, il s'en alla. Bryan resta abasourdi, mais réalisa quelques instants plus tard qu'il avait trouvé là son sujet de thèse historique.
A partir de cet instant-là, Bryan interviewa de nombreuses personnes, une partie d'entre elles ayant même prit part à la vie politique du pays après la Choa, tel le chancelier allemand Helmut Schmidt (dont certains ancêtres étaient juifs). Bryan ne parvint pas à attirer la confiance de certains d'entre eux, qui refusèrent de livrer leur secret, mais une bonne partie a accepté de parler, et d'avouer leur part dans la guerre. « Ils ne savent pas quelle est leur place, et jusqu'à présent ils n'avaient pas où s'exprimer. Personne ne veut les adopter… » écrit-il.
Dr Bryan Rigg a parcouru l'Allemagne de part en part à bicyclette, avalant quelquefois des centaines de kilomètres par jour. Des mois durant, il se nourrissait de gâteaux secs bon marché, et dormait dans un sac de couchage, dans des gares désaffectées. Puis il a été amené à voyager en Suède, au Canada, en Turquie et en Israël. Ce programme a duré six années, et il n'était armé que de son ordinateur portable et de son appareil vidéo.
Ses conclusions ont paru durant l'été 2000, sous le titre : Les soldats juifs de Hitler, l'histoire inédite des lois racistes nazies, et des soldats d'origine juive dans les lignes de l'armée allemande. Il avait effectué quatre cents interviews d'anciens soldats, il avait cinq cents heures de témoignages filmés en vidéo, trois mille photos et trente mille pages de souvenirs de soldats et d'officiers de l'armée hitlérienne. Les conclusions de Rigg sont sensationnelles : 150.000 soldats et officiers d'origine juive ont servi dans l'armée hitlérienne !
Du fait de l'intensité de l'assimilation en Allemagne dans les années qui ont précédé la guerre, avec, entre 1901 et 1929, 36.000 cas de mariages mixtes, nombreux étaient les engagés militaires dans l'armée allemande, et Hitler n'a pas pu, lorsqu'il a accédé au pouvoir, effectuer une épuration de ses troupes. Malgré les lois raciales de 1935, distinguant entre les Mischling de premier niveau (50% de sang juif) et ceux du second niveau, nombreux sont ceux qui sont restés tranquillement à servir l'armée, arrivant même aux plus hauts postes des diverses forces armées, et accédant aux plus hautes récompenses de l'armée – bien que certains vétérans se soient plaints aux oreilles de Rigg que leurs supérieurs n'étaient pas enthousiastes, lorsqu'il fallait proposer un Mischling à recevoir une quelconque décoration…
Les médias nazis ont longtemps publié en première page la photo du soldat allemand idéal, aux cheveux blonds et aux yeux bleus, revêtu du casque nazi. Le nom de ce soldat, bien aryen, sonnait bien moins aryen : Werner Goldberg…