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Israël : infos Société

Sdérot : une homme d'apparence ultra-orthodoxe était en fait un missionnaire

Un résident de Sdérot d'apparence ultra-orthodoxe était en fait un militant actif d'une organisation de missionnaires qui a pour objectif de convertir les juifs au christianisme. Il a ainsi rapproché de cette religion des jeunes et des familles de la région avant d'être démasqué.

158 commentaires
Ok Men, puisqu´il faut l´achever, tes desirs sont des ordres:

Conservée au musée du Louvre cette stèle de 1,13 m de haut est écrite avec les fameux caractères alphabétiques cananéens. Elle mentionne entre autres les noms de l'Eternel (YAHVEH) et du roi David. L'inscription en est parfaitement intelligible. Elle provient de Mécha (ou Mésa), roi de Moab, mentionné dans 2 Rois 3:4-27 et confirme et complète de façon remarquable le récit biblique. Elle prouve qu'à cette époque-là (environ -850, après la mort du roi Achab) l'écriture alphabétique était connue dans les pays du Jourdain. D'autre part, la forme des lettres de la Pierre de Moab montre que l'écriture alphabétique avait déjà dû être longtemps en usage. La langue de l'inscription est remarquable ; entre elle et l'hébreu les différences sont rares et petites. Cela confirme que les Moabites étaient apparentés aux Israélites au point de vue de la langue comme de la race (la Bible les présente comme descendants de Lot, le neveu d'Abraham).

Ces inscriptions datent de la XIIIème dynastie soit environ -1400.
Envoyé par Elie_010 - le Mardi 8 Décembre 2009 à 14:18
On le sait maintenant, tous les alphabets ont une origine commune: l'alphabet du pays de Canaan (nommé abusivement "alphabet Phénicien" par les grecs, ce sont en effet les marchands phéniciens qui le leur ont fait connaître). C'est un alphabet consonnantique de 22 lettres. La langue sémitique (ancètre de l'hébreu, du moabite, de l'arabe...) est pauvre en voyelles et celles-ci ne sont pas codées dans cet alphabet.

Alphabet cananéen
Appelé communément et abusivement alphabet phénicien, il est directement dérivé de l'alphabet proto-sinaïtique. Son usage est attesté pour plusieurs peuples proche-orientaux (hébreux, moabites, phéniciens, cananéens,...) vers 1000 av JC (époque des grands rois David et Salomon).

Ces différents éléments amènent à supposer que Moïse est à l'origine de l'invention de l'alphabet.
La Bible nous dit qu'il était sémite mais qu'il a été élevé à la cour comme un prince d'Egypte et instruit dans toute la sagesse des égyptiens. Il a séjourné longuement au Sinaï (seul puis avec le peuple hébreu). Il a été inspiré par Dieu pour écrire la Torah (la loi juive), c'est à dire les 5 premiers livres de la Bible (environ 250 pages!) L'exode est situé par la Bible au milieu du XVème siècle av JC (environ -1450)*. Les israëlites sont entrés 40 ans plus tard dans le pays de canaan et de là l'usage de l'alphabet s'est progressivement répandu (pour arriver chez les phéniciens au temps du roi Salomon, et de là en Europe).
Envoyé par Elie_010 - le Mardi 8 Décembre 2009 à 14:27
Bonjour Men, Bonjour Élie, William… mes messages sont différés, pour une raison que j’ignore. Juif.org ne répond pas quand je demande pour quoi. Alors quand vous recevrez ce message, il ne sera peut-être plus à propos. Si vous voulez bien, j’aurais besoin de quelques éclaircissement concernant ce que j’ai lu dans les propos de David_169 Une lecture simple, sinon "simpliste"...des questions simples….mais bon, je suis à mon niveau et j’imagine qu’il n’y a pas de mauvaise question.

Si vous voulez bien, dis-moi ce que vous pensez de mon analyse et corrige-moi si j'ai fait erreur.

JE LE CITE

"Est-ce 1 honneur qui nous distingue ou 1 malédiction qui nous distingue ? La fierté, n'est qu'1 vanité !"Envoyé par David_169 - le Dimanche 6 Décembre 2009 à 19:31

J'ai entendu parler les juifs et tout particulièrement les juifs hassidiques ( je ne connais pas tous les courrants) parler « HUMBLEMENT mais avec FIERTÉ » en terme de responsabilité, celle d'être les gardiens de la Torah, celle d'étudier la Torah, de la garder vivante : "Fais et tu comprendras." et d'être la Lumière du monde en respectant ce qui y est enseigner. ...mais jamais en terme de bénédiction ou de malédication.


Quand David écrit : "La fierté juive est notre idole, par vantardise. Nous n’en avons aucun mérite. " Envoyé par David_169 - le Dimanche 6 Décembre 2009 à 19:31

Je ressens ce message comme porteur d’un certain antisémitisme ( Est-ce que je me trompe? ) Car il me semble que la fierté juive est quelque chose de bon, qu’il faut faire preuve d'une vraie modestie pour reconnaître ses talents et reconnaître les responsabilités qui vont avec ces talents, s'en montrer FIER (digne, reconnaissant) de faire tout son possible pour assumer sa mission sur terre. ( Que l'on soit juif ou non-juif d'ailleurs...)

Le peuple juif n'a pas à couber la tête devant les nations, il courbe la tête devant D.ieu tout en restant debout devant Lui pour le prier, le REMERCIER, et lui demander Ses bénédictions. L'humilité dont parle me semble étrangère à la Torah. Est-ce que je me trompe ?

David dit aussi dans ce même message: « LE prier de pardonner notre ORGUEIL, nos idolâtries. »
" Envoyé par David_169 - le Dimanche 6 Décembre 2009 à 19:31

( ? ) Cela fait écho en moi à un enseignement chrétien.

Il me semble que faire Téchouva ce n’est pas cela…C’est reconnaître sa faute et avoir la ferme intention de ne pas recommencer. Demander à D.ieu de nous guider, de nous aider mais de nous « pardonner » Il me semble que faire Téchouva est un cadeau de D.ieu…à très justement retrouver cette fierté d’être en mesure de faire ce pourquoi on est sur terre.

Merci pour toutes vos réponses éclairantes.
Envoyé par Hélène - le Mardi 8 Décembre 2009 à 15:09
Pour David_169

Je vous cite : "LE prier de pardonner notre ORGUEIL, nos idolâtries....De toutes les façons, même juif, je suis coincé par rapport à D.IEU. IL est Seigneur et nous LE réduisons : hâshem (le nom)."


Je cite la réponse de Rav Gabriel Elkouby ( cheela.org ) concernant le "pardon"...qui semble avoir une toute autre raisonnance...

" Dieu ne pardonne RIEN!!
C.a.d qu'il pardonne tout vraiment tout si la personne se repentit du plus profond de son coeur et repare toutes ses mauvaises actions et de meme prend sur elle de ne plus pecher.
Il est ecrit dans Pirke avot: "tout celui qui dit que Dieu "laisse passer" (c.a.d ne puni pas celui qui a faute), Dieu LE laissera passer (du monde)". Dieu ne laisse rien passer sauf comme nous l'avons ecrit l'homme se repentit et alors non seulement Dieu "laisse passer" et Tout est EFFACÉ et de plus dans certains cas les mauvaises actions sont "transformer" en bonnes actions! "

Fin de la citation



Envoyé par Hélène - le Mardi 8 Décembre 2009 à 15:20
Elie,

'Hazak OuBaroukh!

Et même sans toutes ces précisions, l'Hébreu est la langue sainte car donnée par Hachem à son Peuple.
Même un bébé a plus de facilité à prononcer les sons hébreu que les sons des autres langues (essayez de faire dire "u", "on" ou "eu" ou "je" etc. à un bébé qui commence à parler. Alors qu'il cite à la perfection déjà chacun des sons de l'hébreu de façon innée).
C'est en hébreu que les tables de la Loi ont été dictées à Moshé et tout celui qui dira le contraire est d'après la Torah Elle-même, un apostat!
Envoyé par Men - le Mardi 8 Décembre 2009 à 16:03
Etudier est une occupation bien juive.
Ce n'est pas que les autres n'étudient pas ; étudier c'est amasser des connaissances et des connaissances c'est du pouvoir !

Toutefois chez le peuple juif, l'étude occcupe une place toute particulière comme on l'illustre souvent avec un jeu de mots :un des termes hébreux pour l'étude est "michna". Ceci s'écrit avec quatre lettres ; Mème, Chine, Noun et Hé. Dans un autre ordre ces mêmes lettres forment le mot hmçn "nechama", ce qui veut dire âme. Tout comme si l'étude serait l'âme même du Judaïsme.....

Pour mieux comprendre ce que cela peut bien signifier, nous pouvons nous étendre davantage sur ce mot, michna.

Cette fois-ci nous relevons les trois lettres de son radical ; Chine, Noun et Hé.

C'est ce terme que la Torah utilise lorsqu'elle donne à l'étude la forme d'une mizvah ; "vechinantam lebané'ha". (Et tu enseigneras les paroles de la Torah à ton fils.)

Ce qui nous intéresse particulièrement dans ce verbe c'est qu'il exprime simultanément plusieurs notions différentes, à savoir ;

étudier, apprendre (aussi enseigner)
répéter (comme dans le mot chéni, deuxième)
modifier, altérer
L'Hébreu n'est pas une langue qui existe par hasard. C'est cette langue que D. utilisa pour créer le monde. C'est encore dans cette langue que D. légua sa Torah au peuple juif. Nous pouvons donc présumer que des différentes significations d'un même mot sont intrinsèquement liées entres elles et nous allons voir ici de quelle façon.


Répéter-étudier : La deuxième signification suggère que l'essentiel de l'étude ne commencerait qu'à partir de la deuxième fois. La première lecture, la prise de connaissance, ne serait qu'un prélude, une introduction à la véritable étude à suivre.

Cela demande bien de revoir toute l'idée du limoud (étude) car une personne douée ne pourrait-elle pas parfaitement assimiler les connaissances dès sa première lecture ? Quel besoin y a-t-il pour elle de revoir encore ces connaissances ?



Modifier-étudier: Le troisième sens de notre verbe nous éclaire davantage sur la finalité de l'étude; changer.

Le limoud ne se définit pas forcément par le travail de l'esprit ou par le raisonnement rigoureux. Sa raison d'être ne se limite non plus à son intérêt didactique.



L'étude est là pour changer quelque chose. Quelque chose en nous. Elle doit lentement entraîner une transformation de notre personnalité, un changement de nos moeurs et de notre comportement.

D'ailleurs cela se comprend fort bien ; en se laissant imbiber par les paroles de la Torah et en se laissant imprégner par les enseignements de D. nous pouvons bien espérer que peu à peu ceux-ci parviendront à nous raffiner et à nous ennoblir, ne serait-ce qu'un minimum.

Etudier est donc avant tout se laisser marquer par les paroles de la Torah et cela passe forcément par la répétition.



C'est une vérité fort connue par les professionnels de la publicité.

La répétition sans cesse fait force..... Et cette répétition obstinée va jusqu'à modifier les concepts et les attitudes du consommateur.



L'étude de la Torah, elle aussi, change quelque chose. Cependant l'enjeu est bien différent. L'homme ici sur terre doit parvenir à changer quelque chose en lui et c'est l'étude de la Torah qui lui présente cette possibilité.



Une des spécificités de la Torah réside dans son double caractère. Nous savons que son enseignement a deux volets : Torah chébih'tav et Torah chébeal'péh, respectivement la Loi Ecrite et la Loi Orale.

La Loi Ecrite est le texte que nous avons dans les cinq livres de Moïse. La partie orale est l'enseignement transmis de bouche à oreille, de génération en génération, que nous connaissons comme la michna (avec l'élargissement, la guémara, l'ensemble aussi appelé Talmud).

D. nous a légué une Torah que nous sommes obligés de mémoriser.

C'est à dire une Torah que nous devons étudier intensivement et que nous devons revoir et réviser en permanence pour la garder sur notre coeur.

L'étude est donc bien l'âme du peuple juif. Ou plus correctement c'est seule étude qui a l'accès à notre âme.

Ce n'est que par la répétition (chanah-répéter) que l'homme pourra s'en imprégner au point de se transformer (chanah-modifier).



Chaque matin nous formulons des bénédictions sur la Torah. Des bénédictions qui sont des remerciements. Nous sommes reconnaissants d'avoir une telle Torah qui nous permet de ne pas rester des êtres figés à tout jamais.

L'étude continuelle de la Torah vise à rehausser l'homme de son état primaire pour lui permettre une évolution spirituelle à chaque instant de sa vie.

Rav S.J JESSURUN



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Envoyé par Roland_002 - le Mardi 8 Décembre 2009 à 16:09
Voulez-vous vous vanter?
Évoquez donc la modestie!
Star
Envoyé par Elie_010 - le Mardi 8 Décembre 2009 à 16:46
Hélène, laisse tomber David, il dit n'importe quoi!
Il confond tout : Gaava et Kavod (orgueil et prestige), Midot et Brakhot / Klalot (traits de caractères et bénédictions ou malédictions). La Torah condamne la Gaava (orgueil) et la présente comme le pire de défauts mais le Kavod (prestige, honneur) n'en est pas un. Du reste, on doit rendre le Kavod à Hachem, ainsi qu'à nos Parents (Kiboud Av VaEm = 5ème commandement).
Il mélange tous les sujets allégrement et se fait plaisir et surtout crache sur la Sainteté de notre Torah et sur nos Pères et prophètes.

C'est toi aussi qui as raison sur l'humilité et la fierté d'être Juif.
Car l’humilité consiste bien à reconnaître ses talents car ils nous ont été donnés par Hachem pour mieux le servir. Moshé qui était l’homme le plus humble, savait qu’il était fort et il se servait de sa force. Il ne jouait pas à faire « l’effacé » dans un coin par fausse humilité.
Malheureusement, il y a une notion chrétienne dont David est imprégnée, qui a tendance à dire que l’humble tendrait l’autre joue quand on le frappe. Chez les Juifs, l’humble tue en premier celui qui vient pour le tuer.
C’est vraiment navrant qu’une telle personne ose se dire juive et écrire ce qu’elle écrit sur la Torah, sur Yaakov Avinou, sur nos prophètes Moshé et Daniel, sur l’hébreu…

Envoyé par Men - le Mardi 8 Décembre 2009 à 17:24
la Torah est antérieure au monde et a servi de plan à sa création, avant d'avoir été transmise à Moïse par inspiration divine, sur le mont Sinaï, à une date que les chroniques juives traditionnelles évaluent à 1380 AEC.
L'étude académique de la Bible conclut pour sa part que la Torah, ainsi que les livres prophétiques et historiques n'ont pu être complétés avant la période perse[9] (539 - 334 AEC). La théorie la plus centrale en la matière est l'hypothèse documentaire, selon laquelle la Torah est une synthèse d'un petit nombre de sources indépendantes[10].

Outre sa place centrale dans le judaïsme, la Torah est acceptée par le christianisme en tant que partie de la Bible.

Envoyé par Roland_002 - le Mardi 8 Décembre 2009 à 19:52
La onzième histoire se termine au second verset du trente-septième chapitre de la Genèse à une époque assez avancée dans la vie de Jacob. A partir de cet endroit, Moïse lui-même a dû rédiger le reste du livre de la Genèse, de même que le reste du Pentateuque. Sans doute avait-il reçu les données nécessaires, de Lévi, son arrière-grand-père par l'intermédiaire de son père Amram. Incontestablement, ces renseignements concernant les sources dont Moïse s'est servi pour rédiger la Genèse, augmentent notre foi dans l'authenticité de ce livre comme partie intégrante de la Parole divine de vérité.

Envoyé par Roland_002 - le Mardi 8 Décembre 2009 à 19:58
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