|
Israël : infos SociétéBadiou Vs Finkielkraut: débat «d'une rare violence»Réunis pour la première fois dans la presse, Alain Finkielkraut, penseur marqué à droite, détracteur de mai 68, et Alain Badiou, philosophe d'extrême-gauche, débattent de l'actualité. Leur échange, virulent, est rapporté par Le Nouvel Observateur cette semaine. Les thèmes abordés vont de l'identité nationale à la politique sarkozyste en passant par le conflit israélo-palestinien. «Un affrontement idéologique d'une rare violence», souligne l'hebdomadaire. Alain Finkielkraut légitime le débat sur l'identité nationale, estimant que la France connaît une crise à la fois quant à son unité et quant à son héritage, les deux éléments qui, selon Ernet Renan que Finkielkraut invoque, constituent une nation. Un regret de sa part: «Ce qu'on peut reprocher au gouvernement ce n'est pas de s'occuper de l'identité nationale, c'est de s'en décharger sur un débat. J'aurais préféré une vraie politique de la transmission de l'héritage.» Alain Badiou, en revanche, s'insurge d'emblée contre ce débat voulu par le gouvernement, et récuse les catégories (héritage et consentement) auxquelles en appelle Finkielkraut: Il s'agit d'un portrait de l'identité française réactif et conservateur. L'héritage de la France c'est un héritage que je suis prêt à assumer quand il s'agit de la Révolution française, de la Commune, de l'universalisme du 18ème siècle, de la Résistance ou de Mai 68. Mais c'est un héritage que je rejette catégoriquement quand il s'agit, de la Restauration, des Versaillais, des doctrines coloniales et racistes, de Pétain ou de Sarkozy. Il n'y a pas « un » héritage français. Il y a une division constitutive de cet héritage entre ce qui est recevable du point de vue d'un universalisme minimal, et ce qui doit être rejeté précisément parce que ça renvoie en France à l'extrême férocité des classes possédantes et à l'accaparement par une oligarchie d'affairistes, de politiciens, de militaires et de serviteurs médiatiques du motif de «l'identité nationale». [Lire l'intégralité du débat sur Bibliobs] Vous souhaitez proposer un lien complémentaire sur ce sujet ou sur tout autre sujet d'actualité? Envoyez-le à infos @ slate.fr Image de une: Alain Badiou, wikipedia 3 commentaires
| Membre Juif.org
2 Mai 2025 - Le Figaro
2 Mai 2025 - Times of Israel
2 Mai 2025 - Kountrass
29 Avril 2025 - Le Figaro
4 Avril 2025 - Slate .fr
29 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Blaise_001
28 Avril 2025 par Guillemette
21 Avril 2025 par Claude_107
18 Avril 2025 par Claude_107
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Qu'Alain Badiou soit demeuré fidèle ( il s'en fait gloire ) tant à Staline qu'à Mao Zedong et qu'il ait conservé une certaine compréhension à l'égard des Khmers Rouges importe peu.
Mais je trouve que le problème palestinien n'a rien à voir avec ça.
Israël ne fait que récupérer sa terre volée il y a 2000 ans par les envahisseurs romains et ottomans par la suite.
cela aurait été effectivement le pays des "palestiniens"descendants de ces derniers si les juifs avaient péri il y a 2000 ans mais au lieu de ça ils ont survécu et résisté aux conversions forcées. contrairement à Byzance, aux Perses etc...tous les pays conquis par les mêmes envahisseurs.Je cite aussi les romains et les autres peuples chrétiens d'adoption dans un pays de tradition juive comme les juifs de la diaspora qui sont nationaux d'adoption dans des pays de tradition chrétienne ou musulmane.
Si les descendants de David, avaient fait il y a 2000 ans un débat sur l'identité nationale sur un pays donné par D... à Moïse. il est clair que Jésus était juif et a été tué par les envahisseurs et occupants Romains avec l'inscription "roi des juifs" et n'ont cru en lui que 300 ans après idem pour les français et les autres peuples Les premiers chrétiens existants à l'époque était des juifs qui ont suivi son parti.