|
Israël : infos SociétéFrance : Lille veut mettre de côté son jumelage avec Haïfa et se rapprocher de NaplouseMartine Aubry, maire de Lille et première Secrétaire du parti socialiste français, a accéléré les démarches visant à accroitre la coopération économique entre sa ville et celle de Naplouse, située en territoires palestiniennes. Dans le même temps, elle a stoppé - semble t-il- toute coopération, y compris culturelle, avec la ville de Haïfa, pourtant jumelée avec Lille. 33 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 3 heures - Le Figaro
4 Juillet 2025 - Le Figaro
4 Juillet 2025 - Juif.org
4 Juillet 2025 - i24 News
3 Juillet 2025 - Futura-Sciences Actualités
3 Juillet 2025 par Blaise_001
29 Mai 2025 par Rafael_003
29 Mai 2025 par Rafael_003
25 Mai 2025 par Claude_107
25 Mai 2025 par Claude_107
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 20 minutes
Pour moi les traitres à la France et à la démocratie comme la mère Aubry ne valent pas mieux que Pétain qui en son temps a trahi la France en envoyant "ses" Juifs dans les camps des boches.
Vendredi dernier, un élève d'un collège privé catholique de Largentière, en Ardèche, a aspergé de gaz lacrymogène sa professeure d'histoire. Le motif de ce geste ? L'enseignante avait qualifié Al-Qaïda d'organisation terroriste.
Ce jour-là, dans le cadre d'un cours sur «l’influence des Etats-Unis dans le monde», «je venais d'expliquer que les attentats du 11 septembre 2001 étaient dus à l'organisation terroriste Al-Qaïda, comme c'est écrit sur leur livre.
Il s'est levé, a dit qu'Al-Qaïda n'était pas terroriste, que les talibans non plus», a expliqué mardi, à l'AFP, la professeure qui est également directrice de ce petit établissement scolaire.
Le collégien : «C'est toujours les Arabes!»
«Un des élèves, d’origine maghrébine, s’énerve : C’est toujours les Arabes..., dit-il. Quand la sonnerie retentit, il sort immédiatement», rapporte France Bleu Drôme Ardèche. «Quelques instants plus tard, l’enseignante tente de joindre les parents du jeune homme. Le conseiller principal d’éducation est présent, quand l’élève entre dans la pièce. D’un revers du bras, il balaie le bureau, asperge les deux adultes avec une bombe lacrymogène, avant de rentrer chez lui»