Israël : infos Société

De deux choses l'une, et peut-être des deux. La première c'est le déni, peut-être engendré par un devoir morale d'espoir concernant le sort des juifs d'Europe. Des réponses floues étaient sans doutes envisagées pour leur sort, certaines empruntes d'espoir, d'autres de désespoir. L'espoir étant peut-être durant toute cette phase d'incertitude vécu comme une attitude morale. Espoir lourd à hisser sous cette chape d'angoisse lié aux pires craintes qu'il faut par là anéantir. Comme par empathie psychique avec les victimes des camps pour qui le déni de réalité protégeait parfois de spn atrocité.

L'autre axe d'interprétation de l'inacceptance du devoir des Alliés est au contraire l'absence d'empathie pour les Juifs d'Europe. Considérer ces vies et ces morts comme des phénomènes. Intégrer la logique numérologique propore aux camps et procéder par calculs. Mais quel calcul concevoir autre que d'accepter la Shoah comme la réponse au "problème Juif"? Interprétation qui corrobore les inadmissions des réfugiés Juifs.

Nul ne peut se prononcer sur les sentiments qui régissent aux actes et pourtant les justices intègrent des fins de "non-recevoir" par la maladie mentale sans savoir si elle doit être considérée comme propre à l'Homme et liée au conditionnement ou comme une attaque contre 'homme sur le modèle du virus.

On ne sait pas, on ne saura pas, mais ce qui est sûr c'est qu'il y a eu faute envers le peuple Juif et que c'est part de la dette morale que de détruire le nucléaire iranien

nul n'est se peut prononcer sur les ghetto's!!!
excepte ce qui-ils ou ce qu-elles a vraiment vècu!!! moi je vècu, et je rève assez souvante encore et encore,tous ces horreurs!!! cette forme "d'habitat" je n'est souhaite mème pas pour mon pire ennemie non plus!!