Israël : infos Société

ET OUI ! MON GRAND PERE est parti de DRANCY PAR UN CONVOI DE LA SNCF
EN DIRECTION DE BUNKELVAL ET N'EST JAMAIS REVENU....

Septembre 1942 la SNCF entre dans le camp de Rivesaltes et embarque DIRECTEMENT mes parents pour Drancy puis Auschwits d'où ils ne sont pas revenus
Héléna Mass-Waysenson

Bien sur il faut que toute la transparence soit faite. Pour ma part j'ai eu mon père mort en déportation de l'avant dernier convoi N° 76 en partance de Drancy sur Auschwich et qui est mort. J'avais quelques mois et je ne l'ai pas connu. Je n'accuse personne, mais j'aimerai en savoir plus !

Bonjour ,
Certains voyaient "Des soviets partout" ;Vous chez Juif.org , vous voyez des coupables partout et sans cesse, et encore et toujours.
Je vous repondrais d'avance comme disait un mécanicien de la SNCF des années de l'occupation nazi sous la France de Vichy : > .
Il a choisi de durer pour mieux servir de son vivant, en continuant à envoyer durant des années ,les renseignements les + précieux sur les déplacements de troupes et matériel de la Wermatt et des SS à Londre et en continuant aussi de temps en temps, si raisonablement possible, à saboter.
On est plus utile vivant que mort héroïquement.

Bien cordialement:
Jacques Armen TERZIBACHIAN.
MARSEILLE.

j'attends que l'on me lapide...

Monsieur Jacques Armen, c'est à cause de gens comme vous qu'on a pu tuer 6.000.000 de juifs car il y a ceux qui ont agi et ceux qui ont laissé faire. Je ne sais ni qui vous êtes, ni a quelle communauté vous appartenez mais si j'étais à votre place je ne serais pas fier d'avoir si peu appris de l'histoire et je me tairais.

En réponse à Jacques Armen Terzibachian de Marseille.

Oui en France, il y a eu des gens qui se sont révoltés et ont combattu à leur façon
le joug des SS mais malheureusement il y en a eu beaucoup plus qui ont pactisés
avec les allemands.
Comme toujours, à la libération tous les anciens collabos se sont trouvés une âme
de partisan pour se blanchir de leur participation à la déportation de milliers de juif
français en se sucrant au passage sur leurs biens.
Voilà la vérité et que cela te déplaise nous ne réclamons rien d'autre que la vérité
sur cette page de l'histoire de notre pays.

Héléna , Yvan_001 , moi aussi, mon ariére grand pére et le frére de mon grand pére sont décéde dans les même condition, mon grand pére a du ce caché pour survivre a la mort de c'est proches.
Czapka.

Yvan bonjour,
Merci de l'attention courtoise portée à mon commentaire de ce jour à 09:h.24

Je pense que je m'explique mal:
1.) Je sais et suis persuadé au moins comme toi que la France étaient infestée de collabos sous Vichy. Collabos en général issuent en pointe, des cathos franchouillards de l'extrème droite.
2.) Fallait-il que la SNCF arrête tout? se saborde ? que tous les employés se suicident en refusant de conduire des convois vers la Pologne? Et tu crois que les boches se seraient inclinés tout émus de la beautée du geste et laisser faire ?
disait un ancien mécano de locomotive tout en continuant de rouler, mais aussi --mine de rien-- saboter , et en envoyant de très précieux renseignements à Londre à longueur d'années.

Bien cordialement:
Jacques Armen Terzibachian.
MARSEILLE.

Réponse à JACQUES ARMEN TERZIBACHIAN

Effectivement, ce n'est pas le chemineau qui conduit la locomotive qui
est responsable de la déportation des juifs mais ceux qui pactisaient
et étaient bien planqués dans leur bureau...
Comme pour les arméniens, ce ne sont pas les soldats turcs de 2ème
classe qui sont les responsables mais les officiers qui donnaient les
ordres.
Dans le cas de la SNCF se sont les cadres supérieurs (ET PAS TOUS)
qui se pliaient sans se faire tirer l'oreil aux demandes de la guestapo.
Comme la milice française qui donnait un coup de main pour rafler
les juifs avec entrain et dynamisme.
Alors, on peut toujours trouver des excuses sur l'inexcusable comme les
turcs qui nient leur responsabilité sur la mort des milliers d'arméniens qu'ils
ont seulement fait subir une longue promenade de divertissement pour leur
dégourdir les jambes...
A force de trouver des excuses aux bourreaux, de nos jours, c'est celui qui subit l'agresseur
qui devient le coupable.