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32 commentaires
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Excellent cher Edmond!
100% d'accord avec toi!
Envoyé par Benji - le Mardi 14 Septembre 2010 à 12:48
Tu parles bien sûr des plus grands sages et savants laïcs !!
Parce que je peux t'assurer que pour la totalité des Sages et savants religieux, ils ont tous une connaissance parfaite de ce qu'est un juif. Tiens par exemple :
Juif = Yéoudi, issu de la racine "Yéouda", dont le nom hébreu est formé du Tétragramme (Nom de Hachem) dans lequel est inséré la lettre Dalet qui signifie "pauvre" en hébreu mais aussi "Porte". Ainsi, un juif est insignifiant (pauvre) par rapport à Hachem mais quand il est humble (comprenez : "pauvre"), le Juif est alors une porte pour le monde vers Hachem. Et on le voit effectivement : Le Juif a mené le monde à la connaissance de Hachem grâce à la Torah.
Si les laïcs font abstraction de l'Essentiel, c'est normal qu'ils n'arrivent pas à donner une définition de ce qui fait la force du terme "Juif".
C'est pourquoi j'ai déjà dit par ailleurs que pour moi, un Juif qui ne croit pas en Dieu est suspect (car possède un discernement déficient et donc, potentiellement dangereux) mais j’ai quand même confiance dans le fait qu’il puisse faire téchouva.
La Torah donne la définition du Juif : Etre Le témoin que Hachem existe, « Le Peuple de prêtres ». Toute définition du Juif ramène invariablement vers Hachem ou vers la Torah, comme une porte qui ouvre sur un vestibule.
82% des Juifs l’ont compris.
Déjà respecter tout les fêtes ( la je espère avec Sidour etc ) est ce encore tout a fait " laïc " ? Ou seulement dans le sens , un jour sans travail et faire la fête mais pas dans son sens véritable ?
Envoyé par Benji - le Mardi 14 Septembre 2010 à 12:48
Pour Benji, je reformule :
« pour ma part, je suis fondamentalement juif = Je crois en Dieu, je crois en notre Peuple, j’ignore encore son vrai message mais je sens dans mon cœur qu’il est Emet et donc, c’est pour ça que j’observe toutes nos fêtes dont Pessa’h où il est dit que seul « le Rasha s’exclut du Klal » or moi, je ne me suis pas exclu puisque ces fêtes sont aussi les miennes. Simplement, je ne connais pas suffisamment notre Torah, je l’avoue et donc, il m’est difficile de croire parfaitement dans tout ce qu’Elle dit. Je me définis alors comme laïc (= qui méconnait la Torah) et j’ai très peur (par ignorance et préjugés stupides) de découvrir quelles sont mes obligations religieuses en tant que membre à part entière de mon Peuple que l’on dit être choisi par Dieu.
C’est par la faute de cette peur que je ressens que j’ai une réaction d’autodéfense face à ceux qui m’indiquent que je ne me tiens que sur un pied, tandis que j’en ai moi-même déjà conscience. »
Benji,
Une seule solution : Renseigne-toi et tu verras comme c’est doux la Torah !
Ça tombe bien, entre Rosh HaShannah et Kippour est une période propice pour comprendre.
Tout tourne autour de la vision que l'on a de Hachem : C'est ça qui détermine notre niveau de religiosité. On peut dire aussi notre degré de crainte de Hachem ; J'entends par là "la crainte par amour", "la crainte de Le décevoir par un comportement non adapté".
Celui qui s'évertue à vouloir suivre la fête dans un Sidour, même s’il ne sait pas lire l’hébreu, a déjà un niveau très élevé.
La définition que je donnerais au mot « laïc » serait celui pour qui un jour de Fête n’a pas plus d’importance qu’un dimanche matin où il pleut et donc, qui reste au lit sans l’ombre d’un scrupule.
Mais dès qu’il commence à culpabiliser et même à devenir arrogant, c’est qu’il commence déjà à être plus religieux. C’est la vision naissante qu’il a de Hachem, qui l’amène à avoir des scrupules et à être mal à l’aise car quand on a compris que Hachem existe, on ne peut plus s’En moquer.
Mais celui qui s’attache aux fêtes est infiniment supérieur et peu à peu, elles l’amèneront à comprendre, puis à aimer ce qu’il fait au Nom de Hachem. Puis Hachem se dévoilera alors de plus en plus en déversant un flot d’amour et d’attentions bien perceptibles, l’amenant à être davantage religieux et comprendre combien c’est bon.
Mais peut etre as tu quelques mots pour me remonter la morale , pas encore fait le guyour et triste de etre exclu de tout et les fêtes on le sens encore plus . Et je sais que je ne suis pas la seule ici a ressentir ça , je pense a une amie spécialement elle se reconnait , elle encore un peu plus que moi . Tu comprends surement que je veux dire sans etre indiscret au vu de tout le monde .
Un Neshikoth pour S , et mon Boker tov a tout la Mishpa !!
Il faut dire "Mishpa'ha" et non "Mishpa"
en Ashkenaz ça donne "Mishpokhe" (Mish-po-khe) car cette voyelle qu'on prononce "a" en sépharad, se prononce "o" en ashkenaz (il s'agit d'un petit "T" sous la lettre hébraïque). et la lettre " 'Heth" se prononce plutôt "kh" en ashkenaz (exactement de la même façon que "ch" que tu prononces pour "buch" en allemand).
Il y a une blague :
Il faut savoir que les Birkat HaMazone (prière de fin de repas après avoir mangé du pain) sont légèrement différents entre sépharad et ashkénaz.
Donc un jour, un Ashkenaz rentre dans un restaurant et à la fin, il demande un Birkat pour faire la bénédiction finale du repas à l'aubergiste. Celui-ci lui donne un Birkat au hasard (sépharad ou ashkenaz) puis dit au client : "Ah excusez-moi, je n'ai pas vérifié le Birkat ; Vous êtes sépharad ou ashkénaz?" et le client regardant les premiers mots du Birkat présenté répond :"Non, c'est OK, celui-ci me convient car je suis ashkenaz or il est bien écrit "Boroukh Ato..." (Alors qu'en Sépharad on dit Baroukh Ata... mais là où c'est une blague c'est que TOUS les Birkat commencent par Baroukh Ata... seule la prononciation diffère!)
Explication pour Sonia : Le fait que le client ait lu Boroukh au lieu de Baroukh, n'indiquait en rien si le reste du Birkat était sépharad ou ashkenaz car Baroukh et Boroukh s'écrivent exactement pareil en hébreu.
Ouais bon..., je compte sur votre compréhension pour faire semblant de rire de mon histoire