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Israël : infos SociétéSuisse : une Ong porte plainte contre Shimon Peres pour "crimes de guerre et crimes contre l'humanité"Une ONG suisse pro-palestinienne a déposé plainte auprès du procureur général de Genève contre le président israélien Shimon Peres pour "crimes de guerre et crimes contre l’humanité", selon le quotidien La Tribune de Genève. Le président de l'Etat est arrivé en Suisse pour une visite de 48 heures et se rend aujourd'hui au Royaume-Uni. L'Ong "Droit pour tous", qui a déposé plainte contre le président israélien, déclare que "sa venue à Genève, ville à tradition humanitaire et lieu de défense des droits de l’homme, est aberrante". "Shimon Peres profite d’une image d’homme de paix. Toutefois, lors de ses interventions, il "a défendu tous les crimes israéliens en Judée-Samarie, dans la bande de Gaza et au Sud Liban", affirme le président de cette ONG, Anouar Gharbi. Articles connexes
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Dernière mise à jour, il y a 29 minutes
2) ville à tradition humanitaire et lieu de défense des droits de l’homme,
1)
2)
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:ydsU39IrzgAJ:www.aidh.org/bergier/+la+suisse+et+les+nazis&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=il&source=www.google.co.il
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:Yi7uF5P3cbMJ:www.gssa.ch/gssa34/espoir.htm+la+suisse+et+les+nazis&cd=10&hl=fr&ct=clnk&gl=il&source=www.google.co.il
extraits :
Deux autres exemples le confirment:
En 1953, avec la publication des Documents Diplomatiques allemands sur la période 1918-1945 on découvre que les autorités suisses ont joué un rôle moteur dans l'introduction du célèbre «J» dans les passeports des juifs allemands et autrichiens. Suite à ces révélations, le Conseil fédéral charge le Professeur de droit bâlois, Karl Ludwig, d'élaborer un rapport sur la politique d'asile suisse entre 1933 et 1945. Ce rapport, terminé en 1957, est honnête et ne cherche pas à noyer le poisson. Résultat: loin de le publier, le Conseil fédéral ne l'a fait distribuer qu'aux seuls membres de l'Assemblée fédérale.
1961: un anglais, Jon Kimche, publie un livre «Spying for Peace» qui montre certaines formes de compromission de la Suisse officielle avec l'Allemagne nazie. Cette publication suscite un certain débat en Suisse. L'idée est lancée d'ouvrir et même de publier les archives de la Confédération afin que chacun puisse y avoir accès et se faire une idée. Mais cette proposition est absolument rejetée par le gouvernement. Le Conseiller Fédéral Wahlen (membre du Parti des Agrariens et des Bourgeois, l'ancêtre de l'UDC) déclare à cette occasion (1965): «Ouvrir les archives, même aux historiens les plus sérieux, je crois que c'est simplement impossible». Cette citation a l'avantage de montrer, et c'est une autre longue tradition que l'on retrouve jusqu'à aujourd'hui, que pour les milieux au pouvoir, il y a deux catégories d'historiens: les sérieux et les autres.
Quelle Suisse a soutenu le Reich?
Par rapport aux critiques qui sont adressées à la politique de la Suisse officielle vis-à-vis de l'Allemagne nazie, la ligne de défense essentielle des milieux dirigeants - de ce point de vue les discours de Koller et de Blocher se recouvrent parfaitement - consiste à dire, et depuis longtemps, qu'il s'agit d'erreurs, d'égarements qui ont été le fait de quelques individus isolés, de quelques brebis égarées. Bref, on banalise, on minimise et on personnalise. (Blocher: «Même si le comportement de quelques personnes a été douteux et adaptationniste, la Suisse de l'époque mérite globalement le respect, l'estime et l'admiration pour sa politique»). Cette thèse ne correspond pas à la réalité historique. Ce ne sont pas quelques personnes isolées, mais de très larges secteurs des milieux dirigeants et de l'élite industrielle et bancaire qui ont considéré le fascisme et le nazisme avec sympathie, pour ne pas dire plus.
c'est clair et convaincant ! ! !
Pour répondre à Jocelyne je dirais que la Suisse n'avait pas trop le choix que de coopérer dans une certaine mesure si elle ne voulait pas ressembler très rapidement à la Belgique. Ce serait arrivé tôt ou tard mais mieux valait tard.
Mais je ne suis pas non plus forcément d'accord avec le discours de Blocher. Il minimise.
Pour l'ONG dont il est question, je pense que c'est du n'importe quoi.