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Israël : infos SociétéEtats-Unis - DSK va être inculpé pour agression sexuelleLe directeur général du FMI a été arrêté samedi à New York après avoir été accusé d'agression sexuelle
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Dernière mise à jour, il y a 9 minutes
http://www.youtube.com/watch?v=z-_pvJRn5Xs&NR=1
Il y a quelques semaines, DSK, parlant à des journalistes, énumérait les points sur lesquels on pouvait tenter d'appuyer pour faire chuter sa candidature à la présidentielle : l'argent, disait-il ; les femmes ; la judéité.
Puis il disait en substance qu'il ne serait pas étonné qu'on cherche à lui coller une accusation de viol sur le dos.
Qu'avons-nous vu, en quelques semaines ? - Ceci :
I - On a mis en cause ( Christian Jacob ), mais de façon très prudente, très subliminale, sa judéité.
II - On a ensuite appuyé fortement sur le levier " argent " : la Porsche ; les costumes à 35 000 dollars l'unité.
II - Et voici, comme par un enchaînement bien huilé, le troisième élément : l'accusation de viol.
Un " porc immonde " qui se jette sur une pauvre jeune femme ... C'est-y pas répugnant, ça ?
C'est un scénario tellement " parfait " qu'on en vient à se dire qu'il est trop beau pour être vrai.
Et peut-être n'est-il que machination.
http://www.metrofrance.com/info/la-victime-presumee-connaissait-elle-dsk/mker!vezL7dvSLLc/
Moi ch'te l'dit, rien ne vaut la charia.
En Caroline du Nord - Jeux interdits - Pour un baiser sur la joue, un enfant de six ans a été expulsé de son école.
Jean-Louis TURLIN
En Caroline du Nord
Jeux interdits
Pour un baiser sur la joue, un enfant de six ans a été expulsé de son école.
NEW YORK
L'hystérie du politiquement correct a franchi un nouveau pas aux Etats-Unis, avec l'expulsion provisoire d'un élève de six ans coupable d’avoir embrassé sur la joue une camarade du même âge. Motif invoqué par la direction de l'école : « Harcèlement sexuel. » Devant le tollé suscité par l'écho médiatique de la “punition”, les autorités se sont retranchées derrière un règlement de l'établissement qui « interdit les attouchements non sollicités et mal venus d'un élève par un autre ».
L'incident s'est produit la semaine dernière à Lexington, en Caroline du Nord, dans un de ces États du sud très puritains, appartenant à la “Bible Belt” (la ceinture biblique) où l'influence de l'église baptiste est très forte. Mais, en l'occurrence, c'est surtout l'emprise féministe sur la société américaine qui est montrée du doigt. La présidente de la National Organization for Women (NOW), Patricia Ireland, se défend en estimant que les garçons qui ne respectent pas les filles « deviennent en grandissant des ouvriers à l'usine Mitsubishi », faisant allusion à un procès intenté par des employées contre la direction de la firme japonaise dans une ville de l'Illinois.
« Comme si le garçon pouvait à son âge savoir ce qu'est le harcèlement sexuel », rétorque une habitante de la localité. A Lexington, l'émotion est grande, et le député républicain de la circonscription Howard Coble, s'inquiète de l'image d'intolérance donnée par la ville.
Car, depuis que les médias se sont emparés de l'affaire - « le baiser qui a ébranlé la nation » - titrait hier à la une le quotidien USA Today. Le service des renseignements téléphoniques est pris d'assaut par des correspondants en colère qui demandent le numéro de l'école.
Mais certains parents se félicitent que l'établissement soit doté de règles strictes de comportement à une époque où la discipline est de plus en plus recherchée face au laisser-aller ambiant. Une responsable du district scolaire, Jane Martin, justifie la suspension de l'élève, en estimant qu'un enfant « de 6 ans qui en embrasse un autre de 6 ans est inapproprié. Ce qui est mal venu l'est à tout âge. » A quoi une présentatrice de télévision, Kathie Lee Giffard, répond que « nous sommes allés trop loin quand nous ne permettrons plus à un enfant d'être un enfant ».
L'enfant en question, Jonathan Prevette, dont la tête blonde a fait la une en couleur de USA Today, affirme que sa camarade, dont l'identité n'a pas été révélée, avait sollicité son baiser, donné en toute innocence, et le jeune garçon de refaire, devant les caméras de télévision accourues dans son jardin, le geste infamant en posant ses lèvres sur la joue de sa mère.
Malgré les appels à la vertu et au retour des valeurs morales dont les candidats à la présidence ont enfourché le cheval de bataille, l'Amérique se lasse de la dictature du politiquement correct, au point que des émissions de télévision populaires tournent cette mode systématiquement en dérision. Il y a cinq ans, l'affaire Anita Hills avait divisé le pays lorsque cette femme professeur d'université avait accusé de harcèlement sexuel un juge choisi par le président Bush pour siéger à la Cour suprême, un noir comme elle. Le Sénat s'était attiré l'opprobre d'une large partie de l'opinion en entérinant la nomination du juge, Clarence Thomas.
Mais l'an dernier, lorsqu'une caissière de la cafétéria du Congrès, âgée de 58 ans, faillit perdre son emploi pour avoir gentiment appelé un client « baby », l'Amérique avait pris conscience des excès d'une loi qui, si elle protège les femmes, leur offre aussi la possibilité d'exploiter financièrement la situation en poursuivant leurs collègues ou supérieurs au moindre faux pas.
http://www.nypost.com/p/news/local/imf_accuser_in_apt_for_hiv_vics_oZmUkbtouJ14RHw1434HvJ
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