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Israël : infos SociétéFMI : Stanley Fischer met en avant sa formationFort de son expérience de sept ans comme numéro deux du FMI, le gouverneur de la Banque centrale israélienne, Stanley Fischer, relevait lundi dans un entretien au Wall Street Journal qu'une formation d'économiste est « essentielle » pour diriger l'organisation de Washington par temps de crise. « cette fonction nécessite quelqu'un d'universellement respecté, tant du point de vue personnel que professionnel, avec la capacité de travailler avec d'autres et la capacité de prendre position », a-t-il déclaré. Articles connexes
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Dernière mise à jour, il y a 26 minutes
http://machiah.over-blog.com/categorie-10958952.html
Une journée maussade dans un petit bourg humide au fond de l'Irlande.
> > > > Il tombe une pluie battante et les rues sont abandonnées.
> > > > Les temps sont durs, tout le monde est endetté, tout le monde vit à crédit.
> > > > Là-dessus arrive un touriste allemand riche.
> > > > Il arrête sa belle voiture devant le seul hôtel de la ville et il entre.
> > > > Il pose un billet de 100€ sur le comptoir et demande à voir les chambres disponibles afin d'en choisir une pour la nuit.
> > > > Le propriétaire de l'établissement lui donne les clés et lui dit de choisir celle qu'il veut.
> > > > Dès que le touriste monte l'escalier, l'hôtelier prend le billet de 100€, file chez le boucher voisin et règle sa dette envers celui-ci.
> > > > Le boucher, qui doit de l'argent à un éleveur de porcs, se rend immédiatement chez lui et lui donne le €100.
> > > > L'éleveur à son tour règle ses dettes envers la coopérative agricole où il achète ses fournitures et le directeur de la coopérative court au pub, régler son compte au bar.
> > > > Le barman, glisse le billet à la prostituée qui lui fournit ses services à crédit déjà depuis des semaines et celle-ci, qui utilise l'hôtel professionnellement, court régler son compte avec l'hôtelier.
> > > > L'hôtelier pose le billet sur le comptoir là où le touriste l'avait posé auparavant.
> > > > Personne n'a rien produit, personne n'a rien gagné, mais personne n'est plus endetté et le futur semble beaucoup plus prometteur.
C'est ainsi, Messieurs, Mesdames que fonctionnent les plans de sauvetage qu'on prévoit pour les pays de l'Europe en difficulté !!!