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Israël : infos SociétéLiban : rassemblement contre la Syrie et le Hezbollah28 Novembre 2011 - Juif.org
    Des dizaines de milliers de partisans de l'opposition anti-syrienne se sont réunis dans la ville libanaise de Tripoli dimanche pour dénoncer le régime de Damas et son allié, le groupe terroriste chiite Hezbollah. Selon l'AFP, la manifestation dans la ville portuaire a été organisée par le 'mouvement du futur', le principal parti d'opposition dirigé par l'ex-premier ministre Saad Hariri. Elle vient au milieu des tensions dues au possible effondrement du gouvernement libanais à propos du tribunal soutenu par l'ONU qui a enquêtée sur l'assassinat en 2005 du père d'Hariri, l'ancien premier ministre Rafic Hariri, et en pleine révolte syrienne. La semaine dernière, le premier ministre Najib Mikati, dont le cabinet est dominé par le Hezbollah et ses alliés, a menacé de démissionner si le cabinet refusait de financer le tribunal spécial pour le Liban (TSL). Le financement sera discuté lors d'une réunion du cabinet cruciale qui doit se tenir mercredi prochain. Le Liban est responsable de 49 pour cent du financement du TSL, soit à peu près 35 millions de dollars. L'AFP a rapporté que plusieurs hommes politiques qui ont pris la parole lors du rassemblement ont appelé Mikati à respecter les obligations du pays envers le TSL. Ils ont également lancé des attaques contre le dictateur syrien Bachar Assad. Le député Marwan Hamadé a exhorté la Ligue Arabe a resserrer l'étau autour de "l'assassin de Damas", en se referant à Assad. "La fin du régime de Damas sera comme celle de Mouammar Kadhafi, Zine El Abidine Ben Ali, Hosni Moubarak ou Ali Abdallah Saleh," a déclaré Hamadé. Il a ajouté : "méfiez-vous Bachar, le choix est ouvert et votre sort a déjà été décidé." Les manifestants portaient également des drapeaux libanais et des banderoles qui disaient "Bachar al Assad, Kadhafi t'attend" et "Bachar Al Assad, Hassan Nasrallah, le jeu est terminé." Mikati a récemment annoncé que le Liban respectera ses engagements et financera le TSL, qui a inculpé quatre membres du Hezbollah pour l'assassinat d'Hariri. Le groupe terroriste chiite a rejeté le tribunal comme étant un complot américano-israélien, et son leader, Hassan Nasrallah, a juré de ne jamais livrer des membres de son groupe. Articles connexes
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de leur pays par les syriens de B.Al Assad qui depuis des années sèment
la terreur et surtout du Hezbollah qui risque d'entraîner le Liban vers une
confrontation sanglante avec Israël.
Il demande aussi que les tueurs de R.Hariri soient jugés et condamnés que
le Hezbollah rende les armes à l'armée libanaise et rentre dans les rangs.
Ce petit pays dont la majorité de ses habitants souhaitent vivre en paix n'a
cure de supporter les extrémistes qui sèment que haine et mort derrière eux.
Cette manifestation est la preuve que le Liban bouge à son tour et veut choisir
un destin de paix.
Il aurait dit lors d'une de ses apparitions au Liban :
"Assurez-vous que l'Iran ne craint pas la flotte navale américaine et les menaces ne peuvent pas affaiblir la détermination du peuple iranien." Le chef terroriste Hassan Nasrallah a averti que toute attaque contre l'Iran ou la Syrie pourrait déclencher une guerre majeure dans la région, telle rapporté par la télévision iranienne Press Television canal. "L'Amérique doit comprendre que la guerre contre l'Iran et la Syrie ne restera pas limitée dans ces deux pays, mais va s'étendre à d'autres région. Ce n'est pas une menace, c'est la réalité ", at-il précisé. Ainsi, Nasrallah a dit qu'Israël et les Etats-Unis veulent affaiblir l '«axe de résistance» se rapportant à Téhéran et à Damas. Il ajoute que les Etats-Unis ont échoué en Irak,comme l'UE a été forcé de retirer ses troupes du pays. «Washington veut punir tous les pays qui s'opposent à l'occupation de la région. Il veut punir l'Iran et la Syrie et cherche à les maintenir sous pression ", at-il ajouté. Nasrallah a souligné que la chute de la Tunisie, la Libye et l'Egypte ont été d'intérêt pour les États-Unis et Israël, qui serait une autre raison pour punir Damas et Téhéran. «L'époque de la faiblesse (et de la soumission) face aux États-Unis et Israël est terminée. Nous sommes entrés dans l'ère des victoires », a t-il ajouté.