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Israël : infos SociétéTueries de Toulouse et Montauban: Journalistes, police, tueur, le triangle d'or Un scooter noir puis blanc, un homme tatoué, une annonce postée sur un site Internet? Depuis les tueries de Toulouse et Montauban, les indices sur le meurtrier se multipliaient dans la presse, jusqu'à l'opération du Raid ce mercredi 21 mars au petit matin dans un quartier résidentiel de Toulouse devant l'immeuble où se retranchait Mohammed Merah. Au risque de gêner l'enquête'
Un tueur informé «Cette fois-ci, on va un peu loin dans l'information», estimait Frédéric Lagache, secrétaire général adjoint du syndicat de police Alliance, joint avant l'opération du Raid. «J'en ai parlé avec mes collègues qui sont sur l'affaire à Toulouse, ce n'est pas un climat serein, ça devient un problème: le mec s'adapte.» Car «le mec» est sans doute très informé. «On le sait, car les enquêteurs le découvrent a posteriori après les arrestations de fugitifs: ceux-ci s'informent, le plus souvent par la télévision», souligne Frédéric Lagache. Si l'on ne connaît pas encore les motivations du suspect de Toulouse, les criminels qui cherchent à frapper les esprits ou à faire parler d'eux sont différents des braqueurs: pour Marc Grohens, chef de service à l'hôpital de Poissy et président du Collège Psychiatrie et Société de la FFP, «c'est toujours très flatteur pour un grand criminel que l'on parle de lui. Surtout s'il pense avoir un message à faire passer, s'il cherche à déstabiliser la France en tant que nation ... Lire la suite Articles connexes
18 commentaires
| Membre Juif.org
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Elie c'est vrai sait aussi beaucoup sur les ordis , mais comme il vient tres , tres rarement , j'ai parle de toi seulement .
Shabbat Shalom à toi et tout les amis ici !
D'ganya et Sonia ** je suis très en retard à tous
ces posts,pour y répondre ,j'avais écris à D'ganya,
ach ton, une tonne de truies ?? et à Sonia que l'attentat
était ""pur muzz"" ills ont disparus//l'enterrement à Jérusalem
était atroce,tout le monde priait et pleurait en même tant,,
ces visions sont au dessus du suportable === et on s'accroche
**à notre Terre Sainte**
***cependant Israel exercera sur ces Nations,sa souveraineté
bienfaisante, lors de l'avènement du **MESSIe**car c'est
en effet par Israel que sera régénèrée la terre toute entière***
à très bientôt, mes petites soeurs** Pessah Samiah,
bon SHABBAT SHALOM ? SANS OUBLIER DES PRIERES AUX ANGES ?
PReS DE ** HM **QUI INTERVIENNENT AUPRès DE LUI ***
Shabbat Shalom à toi et les tiennes !♥♥♥♥♥♥
Une centaine de membres des forces de l'ordre ont entouré cette manifestation statique au cours de laquelle une femme portant un voile intégral a harangué le groupe.
"Nous ce qu'on demande aujourd'hui c'est qu'on arrête de diaboliser Mohamed, ça y est, il est mort", a-t-elle dit.
"On partage la douleur et la peine des familles car c'est la même douleur pour nous ici," a dit la jeune fille, qui a refusé de donner son nom. "Je pense que ce qui l'a influencé, c'est ce qu'il a vu dans ses multiples voyages. Il n'a pas pu gérer tout ça. Ça restait un adolescent dans sa tête, malgré ses 23 ans."
La police toulousaine avait détecté des appels à manifester samedi matin et a empêché le groupe d'en rejoindre un autre. La manifestation s'est dispersée en fin d'après-midi sans incident.
Une enseignante d'un lycée de Rouen a été suspendue vendredi après avoir demandé à ses élèves d'observer une minute de silence en mémoire de Mohamed Merah.
L'initiative, relayée par les élèves au chef d'établissement puis au rectorat de Rouen (Seine-Maritime), a été aussitôt condamnée par le ministre de l'Education nationale Luc Chatel.
La rectrice de l'académie de Rouen, Florence Robine, a assuré que les propos avaient été "extrêmement choquants" et que l'enseignante "n'en percevait pas la gravité".
Florence Robine a précisé que la professeur d'anglais en cause allait faire l'objet d'une procédure disciplinaire et que 16 élèves sur une classe de 20 étaient sortis de classe pour protester, les autres restant pour demander des explications.
Nicholas Vinocur, édité par Yves Clarisse
Après Toulouse 1
Lorsque les loups solitaires entreront dans les villes, il sera peut-être trop tard pour prévenir. Mais comment le faire sans passer pour un dangereux xénophobe ?
Voilà ce que nous disions sur Primo en 2007.
Mohamed Merah, l’assassin sans vergogne et sans scrupules, est mort suite à l’assaut du RAID. Il n’y aucune raison de verser une seule larme.
Pour notre part, nous les réservons à ses victimes de Toulouse et de Montauban, plutôt qu'à un petit fasciste planqué derrière le paravent de l'Islam.
Merah était-il ce loup solitaire qui est le cauchemar de la police française ? Les dernières revendications d'un groupe islamiste en Afrique ne constituent pas une preuve.
Comme dans les territoires ou à Gaza, les revendications de groupuscules terroristes à la suite d'un attentat ne servent qu'à se donner à bon compte un crédit international.
Il est plus facile de voler au secours du "succès" que d'organiser une telle opération.
Loup solitaire ou cellule ?
Un service de renseignements peut plus ou moins facilement démonter une cellule terroriste, même discrète, même au repos.
Une cellule est plus voyante, plus active. Les membres se parlent, se téléphonent, préparent leur coup. Ils sont obligés de se loger, de communiquer.
Les voisins peuvent être alertés par de nouvelles têtes. La volonté de discrétion d’une cellule devient alors facteur de curiosité sinon d’alerte.
Le facteur humain multiplie forcément les erreurs qui peuvent être repérées par la police, surtout depuis que les services de renseignements sont devenus plus habiles dans la traque sur Internet.
A contrario, les loups solitaires sont caractérisés par le fait qu'ils agissent individuellement, qu’ils n’appartiennent à aucun réseau ou groupe terroriste, une fois leur « instruction » terminée.
L’enquête permettra de déterminer si les exécutions, et non « les fusillades », comme le disent les médias, ont été préparées collectivement et s’il a bénéficié d’une aide extérieure, familiale ou autre.
(On utilise le terme « fusillade » lorsqu’il y a échange de coups de feu. Jusqu’à plus ample informé, que ce soit pour les soldats de Toulouse de Montauban ou les enfants de l’école juive, on préfèrera le terme d’exécution, moins glorieux pour leur auteur, certes.)
Dans le cas du tueur de Toulouse, un autre élément devra être pris en compte.
Il est difficile d’imaginer qu’un être humain puisse passer directement du stade de « stagiaire » à celui d’acteur.
Le calme avec lequel il est remonté sur son engin après ses exécutions signifie qu’il a déjà pratiqué ce type d’action.
Les camps d’entraînement à la frontière du Pakistan et de l’Afghanistan, dans les zones tribales, ne sont pas précisément dirigés par des boy-scouts. La tendresse et le respect du prochain ne rentrent pas dans le programme de formation.
Le fait que cet homme ne soit saisi d’aucune panique après ses premiers meurtres, qu’il ait gardé un regard froid, d’après les quelques témoins qui ont pu voir ses yeux derrière la visière du casque, signifie qu’il a reçu un entraînement spécial.
Autant le dire : dans les zones tribales, il a déjà exécuté des « collaborateurs » qui lui ont été présenté par ses maîtres. Camarades de formation jugés peu fiables, paysans locaux, présumés informateurs, il a déjà donné la mort.
Car, pour ne pas hésiter au moment de presser sur la détente, et pour ne pas paniquer après le meurtre, il faut une grande habitude, et pas seulement un cerveau conditionné.
Donner la mort ne s’improvise pas.
Il faut donc ici rejeter à l’avance les affirmations qui vont présenter ce salaud comme un malade mental. Il a filmé ses exécutions, comme pour s'en glorifier ensuite.
Un tel acte est mûrement réfléchi mais il reste, par nature, imprévisible. Le facteur déclencheur n’est connu que de l’auteur.
Le fait qu’il soit imprévisible, ne l’empêche aucunement de préparer le terrain de ses interventions.
Il a repéré l’école juive. Il a repéré les soldats et a choisi méticuleusement ses cibles militaires, les membres d’un régiment ayant participé à des opérations sur le sol musulman.
La première victime de Montauban a été attirée dans un piège sous le prétexte de la vente d’une moto. Il est assassiné et le tueur s’enfuit sans mettre les gaz, calmement.
À Toulouse, une première série de tirs devant un distributeur de billets puis un homme qui, méthodiquement, descend de son engin, met la béquille et achève ses trois victimes en leur tirant une balle dans la tête.
Puis, ce lundi, une école juive, des enfants juifs, un professeur juif. Là encore, le même calme, la même détermination de la part d’un homme qui connaît les lieux et qui a déjà planifié son action.
Ses motivations ?
À peu près les mêmes que celles des mouvements djihadistes sur la planète.
La vengeance et le combat jusqu’à l’avènement du règne de l’Islam sur l’ensemble de la terre habitée sont ses motivations principales.
Vengeance d’un homme pour qui le territoire du Dar el Islam est sacré et ne doit pas être foulé par des infidèles, pour qui la cause palestinienne, justifie toutes les outrances.
Il applique en tout point la charte du Hamas, mouvement qui règne par la terreur sur la Bande de Gaza et qui ne jure que par l’éradication, non pas d’Israël en tant que nation, mais celle des Juifs.
La France et l’Europe, en ce jour, et surtout les classes médiatiques et politiques, doivent méditer sur la motivation qui pousse un être humain à dépasser ses résistances intérieures pour distribuer la mort. (Nous reviendrons sur leurs réactions par la suite)
Le malaise social ? Une perte de sens ? Une notion défaillante du Vivre ensemble ? Les nigauds !
Le fait religieux est plus fort que les
considérations politiques ou sociétales.
Ce qui se produit dans l’esprit d’un individu comme Mohamed Merah lorsqu’il se « convertit » est exactement le même cheminement que celui des dirigeants des théocraties ou des responsables du terrorisme islamique international.
Aucun argument n’est jugé recevable s’il n’est pas d’abord conforme à leur interprétation du Coran.
Prier Dieu et attendre le retour du 12° imam, quand ce n’est pas hâter son avènement par l’éventuel déclenchement d’une apocalypse, est une préoccupation essentielle de l’Islam intégriste.
La géopolitique mise en œuvre dans les bureaux moquettés du Quai d’Orsay et des chancelleries européennes qui se targuent du pragmatisme le plus strict, n’a pas encore pris la mesure de ce fanatisme, de cette folie religieuse.
Le fait même que ces théocraties existent, l’échec cuisant des printemps arabes qui donnent le pouvoir aux islamistes, tout cela vient conforter les convictions des loups solitaires et de leurs soutiens qui résident en Europe.
Après Toulouse (2)
L’explication facile
Les candidats à la violence seraient-ils donc déjà parmi nous ? Curieuse question que celle-ci de la part d’une société se croyant à l’abri de tout et surtout du pire.
Oui, ils sont là. Oui, ils regardent la télé, surfent sur Internet, analysent les faits de société et voient bien combien les démocraties occidentales sont fragiles.
Et, fait étonnant, ils ne sont peut-être pas si pauvres, si défavorisés que cela. Il suffit pour s’en persuader de se souvenir du profil (CSP comme disent les démographes et statisticiens pour Catégorie SocioProfessionnelle) des intégristes qui ont commis les attentats de Londres.
Du reste, il faudra se demander comment ces jeunes peuvent se financer des voyages Paris-Islamabad alors qu’ils sont sans ressources et que leur pauvreté les rendrait presque excusables aux yeux de nos assistants sociaux.
Plus de la moitié des Français ne peuvent s’offrir de vacances car trop onéreuses. Mais eux partent s’entraîner à l’autre bout de la terre.
Notre conception de la liberté, de la démocratie, nos manières de vivre sont autant d’agressions pour eux. Leur certitude d’avoir raison agit sur eux comme un aphrodisiaque.
Le règne de l’Islam sur le monde entier est une obligation qu’ils doivent participer à établir.
Il leur faut régner à tout prix, quitte à imposer par la force leurs croyances. Un seul manquement est considéré comme une faiblesse.
Un esprit rationnel, à la manière occidentale, ne peut saisir la puissance d’une motivation d’ordre religieux, mystique. Notre société matérialiste ne peut concevoir un engagement aussi entier, total.
Fou, dérangé, asocial, tout sera dit sur lui excepté l’exacte et terrible vérité.
Mohammed Merah, Français d'origine algérienne de 24 ans, est un musulman qui applique ce qu’on lui a enseigné en prison mais également dans les mosquées sauvages de Toulouse et les madrasas du Pakistan, ce qu’il croit être l’Islam dans sa pureté originelle.
Comme un inquisiteur, un propriétaire de la foi et de la conscience des autres, comme un Torquemada au petit pied, Mohamed se fait le censeur, quitte à tuer, à massacrer. Seul compte le résultat.
Que fait la police ?
On attendra également avec impatience les critiques formulées par les médias sur l’inefficacité des services de renseignements et des forces de l’ordre.
Il paraît que Mohamed était fiché et surveillé.
Certes ! Comme plusieurs centaines de jeunes qui ont pris un billet pour la Syrie premièrement et qui sont ensuite partis dans les camps.
Mais ce que nos bonnes âmes oublient de préciser, c’est qu’il y a en France et en Europe une loi fondamentale, celle de la liberté d’aller et venir, inscrite dans la constitution de 1958, article 66.
Personne n’imagine que quelque entrave soit posée à notre texte fondateur.
Si, donc, les citoyens français peuvent se déplacer comme ils l’entendent, il n’y a aucun moyen juridique d’arrêter quelqu’un pour un simple voyage, même au Pakistan.
Les forces de l’ordre sont respectueuses de la loi. De toute façon, elles savent que si une arrestation avait lieu sous ce simple prétexte, il faudrait une dizaine de minutes à un juge des libertés et de la détention pour l’invalider.
Vivre dans un État de droit comporte certains inconvénients, dont celui de voir des salopards utiliser ce droit pour venir semer la mort.
Seule la surveillance des personnes à leur retour en France en caressant l’espoir qu’elles trahissent leurs intentions juste avant de passer à l’acte peut aider à contrer ces mortelles initiatives.
Il serait donc particulièrement inconvenant qu’une partie de la gauche et de l’extrême gauche, si soucieuse de la liberté d’aller et venir dans le cas des Roms, reproche au gouvernement et aux services de renseignements, une quelconque légèreté dans le cas d’un Mohamed Mera.
Il faut rester logique.
De la même manière, et cette ineptie sort plutôt des rangs de la gauche, nous entendons dire maintenant qu’il aurait fallu agir avant. Avant que tout cela n’ait lieu. La faille évoquée par le candidat socialiste et ses acolytes rend bien service.
Et qu’aurait-il fallu faire ? Arrêter Merah à sa descente d’avion et l’embastiller ?
Notons au passage que ce sont les mêmes qui hurlent leur dégoût dès qu’il y a soupçon d’un délit de faciès.
Toute personne est présumée innocente tant que la preuve de son délit n’est pas apportée.
Si la police commence à arrêter tout ceux qui lisent le Coran et reviennent d’un voyage dans les pays arabes, adieu le tourisme, les villégiatures en Tunisie, les trecks dans les montagnes de l’Orient.
Il faudra accélérer le programme de construction de prisons pour y mettre ces supposés candidats au martyr.
Lorsqu’on sait que l’on peut parfaitement écouter les prêches enflammés d’imams débiles sur n’importe quelle chaine satellitaire, cela va faire du monde à surveiller.
Nos bonnes âmes commencent à renâcler à l’évocation des propositions de lois du candidat Sarkosy, craignant l’instauration d’un régime policier.
Certaines propositions du Président sont évidemment difficilement applicables et il va falloir des armées de juristes pour les rendre conformes à notre constitution.
Mais si de tels drames devaient se multiplier, il n’est pas dit que le peuple français n’y souscrive de lui-même et ne consente à sacrifier quelques libertés.
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Hostiles et injurieux, les messages envoyés à l'établissement ont été signés par "le Justicier de la France et des vrais Français". Dans ses courriers électroniques, l'expéditeur prévient que les tueries commises par Mohamed Merah ne sont "qu'un début".
Prévenu par l'établissement, le Parquet a aussitôt ouvert une enquête. Selon les premières informations, les mails de menaces auraient été envoyés à partir d'une adresse mail Laposte.net. Un dispositif policier a été à nouveau déployé devant le collège afin de sécuriser la zone.