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Israël : infos SociétéNetanyahou remercie les partisans d'Israël pour la fête de l'indépendanceLe premier ministre Benyamin Netanyahou a publié un remerciement particulier mercredi, en l'honneur du 64e anniversaire de la naissance de l'état d'Israël. "Le jour de l'Indépendance d'Israël est un moment pour nous pour considérer ce qui fait d'Israël son caractère vraiment unique," a déclaré Netanyahou. "Israël est unique dans le rétablissement de la souveraineté et la capacité d'autodéfense d'un peuple qui avait été apatride et impuissant pendant 2000 ans." "Israël est unique par le rassemblement dans sa patrie ancestrale d'un peuple en exil qui avait été dispersé autour du globe," a-t-il ajouté. "Israël est unique dans le fait d'être devenu une puissance technologique mondiale malgré le fait que nous sommes confrontés à des menaces rencontrées par aucune autre nation sur terre." "Israël est unique dans le Moyen Orient pour avoir une démocratie vibrante et libérale, où les femmes sont égales, les minorités sont libres et où tous sont sujets à la règle du droit." "Mais Israël est unique d'une autre manière importante," a souligné Netanyahou. "Nous sommes les seuls à avoir des amis si passionnés, juifs et non juifs, pour qui le bien-être, la sécurité et l'avenir de notre pays est si important." "Ce soutien passionné, de même que l'armée puissante d'Israël, l'économie libre et une société dynamique, sont les piliers de notre force nationale," a-t-il dit, "et en ce jour de l'Indépendance je tiens à remercier les dizaines de millions d'amis d'Israël dans le monde entier pour leur soutien indéfectible au seul et unique état juif." Articles connexes
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Ceux qui ne sont pas juifs doivent comprendre le besoin de s'affirmer d'Israël, comme la nation qui institue en priorité la paix et qui se bat toujours pour cela.
Le Parti socialiste appelle la France à reconnaître l’Etat palestinien et à faire tous les efforts possibles pour que l’Union européenne défende cette reconnaissance à l’occasion de la prochaine Assemblée générale des Nations Unies. C’est une étape décisive pour donner une réalité à la coexistence pacifique de deux Etats, israélien et palestinien, et à la réconciliation de leurs peuples.
La communauté internationale doit convoquer au plus tôt une conférence de paix sur le Proche Orient afin de fixer les paramètres de l’accord de paix israélo-palestinien et les engagements de la communauté internationale en matière de sécurité, d’aide économique et de coopération avec la région.
Cette conférence devra régler les questions essentielles à la paix. La colonisation des territoires palestiniens doit cesser et la décolonisation doit être engagée. Sur la base des frontières de 1967, il appartiendra aux Israéliens et aux Palestiniens de procéder à des échanges égaux de territoires en vue d’établir les frontières définitives de l’Etat palestinien, de régler la question du statut de Jérusalem, qui a vocation à être la capitale des deux Etats, et la question des réfugiés.
15 Juin 2011.
Israël/Palestine : la justice pour passer du statu quo à la paix
Au moment où un profond mouvement d’aspiration à la démocratie offre de nouvelles chances pour les peuples arabes et tous les peuples de la région, l’impasse dans laquelle se trouve le processus de paix entre Israël et la Palestine est insupportable. Cette paix ne peut se réaliser que par la création d’un État palestinien viable et souverain à côté de l’État d’Israël en sécurité. La justice et le respect des résolutions de l’ONU doivent être à la base des discussions de paix entre les deux parties. Si le gouvernement de droite et d’extrême-droite en Israël refuse de s’engager dans cette voie, l’espoir renaît avec les engagements de plus en plus actifs des forces progressistes et le mouvement pour la paix en Israël.
27 Aout 2011
La Palestine doit devenir le 194ème Etat des Nations Unies
Après des années de conflits, de déchainements de passions, l’Autorité Palestinienne entame une nouvelle démarche vers la reconnaissance de son autorité. En cette fin de semaine sera lancé le processus de demande d’adhésion à l’Organisation des Nations Unies, en vue d’en devenir le 194ème Etat membre à part entière.
Les Jeunes Socialistes soutiennent cette demande parce que le conflit avec Israël a assez duré. Alors que le processus de paix est au point mort, la reconnaissance de la Palestine comme un Etat à part entière obligera Israël à mettre fin au statu quo, à relancer le dialogue de la paix.
En effet, le gouvernement Netanyahou, le plus à droite depuis la création d’Israël, refuse toute avancée, tout compromis, ajoutant à chaque avancée des conditions supplémentaires au dialogue. Dans le même temps, le mur de la honte s’allonge chaque jour, les check points et les humiliations perdurent, la colonisation de la Cisjordanie se poursuit.
Accéder au statut d’Etat imposera également des responsabilités aux Palestiniens, en matière de sécurité et de démocratie notamment. Depuis 2007, le gouvernement de Salam Fayyad a permis des avancées tout à fait significatives en la matière. Son action, soutenue par le Fatah, a montré que l’administration palestinienne est prête à administrer un Etat de manière responsable.
Nous appelons la France, l’Europe et les autres pays du monde et notamment les membres du Conseil de Sécurité à soutenir la candidature palestinienne en votant en sa faveur ou en n’y opposant pas de veto. Un tel veto serait incompréhensible, tant sont importantes les avancées permises par cette adhésion, notamment pour stopper la colonisation israélienne et réaffirmer les frontières de 1967 comme des bases de dialogue de paix.
Le chemin d’une paix durable passe par un dialogue d’égal à égal. Soixante-trois ans après la création de l’Etat d’Israël, il est temps pour la Palestine de devenir un Etat à part entière.
20 Septembre 2011
HUBERT VEDRINE - Possible Ministre des Affaires Etrangères
Pour la reconnaissance de l’État palestinien
En 2009, l’Autorité palestinienne a défini une période de deux ans au cours de laquelle elle entendait achever le processus de construction des institutions du futur Etat palestinien. L’Union européenne a encouragé et soutenu cet effort en apportant son assistance financière et technique et en exprimant son appui politique à cet objectif.
Aujourd’hui, la question de la reconnaissance de cet Etat est posée. En septembre, l’Autorité palestinienne pourrait solliciter la reconnaissance formelle de la souveraineté palestinienne sur les territoires occupés auprès de l’Organisation des Nations Unies et de ses Etats Membres.
Si cette demande est formulée, l’Union européenne devrait la soutenir en insistant sur la nécessité pour la Palestine indépendante de négocier avec Israël sur la base des paramètres reconnus internationalement.
Une majorité d’États Membres a d’ores et déjà reconnu l’Etat palestinien, mais la reconnaissance par l’Union européenne fera la différence.
Les signataires de ce texte considèrent que l’Europe ne peut s’opposer à cette demande légitime des Palestiniens. Refuser de leur reconnaître l’indépendance après avoir soutenu leurs efforts, après avoir reconnu qu’ils se sont rapprochés de cet objectif en construisant un système de gouvernance cohérent et après avoir reconnu qu’ils ont coopéré avec Israël sur les questions de sécurité serait contredire directement et de manière inacceptable nos propres positions et nos propres politiques. Les Etats européens se sont déjà engagés en déclarant au travers du Comité de liaison ad hoc et de la Banque mondiale que la Palestine est prête pour l’indépendance. Revenir maintenant sur cet engagement serait faire preuve d’incohérence, de faiblesse et de manque de volonté politique. Ce serait également offrir une victoire aux forces du statu quo.
Un nombre croissant d’Israéliens – d’anciens responsables sécuritaires comme des personnalités éminentes de la société civile – ont récemment rejoint le choeur de ceux qui souscrivent à la reconnaissance d’un Etat palestinien et qui réclament la fin de l’occupation.
Les termes de l’accord de réconciliation inter‐palestinien signé le 3 mai 2011 entre les mouvements Fatah et Hamas suggèrent qu’un gouvernement d’unité nationale pourrait être formé. Ceci ne devrait pas être perçu comme un obstacle et pourrait même constituer un levier efficace pour pousser Hamas à évoluer dans la bonne direction.
Les paramètres internationalement agréés pour un accord de paix – qui garantirait la sécurité de l’Etat d’Israël et d’un Etat de Palestine viable – ont été réitérés par le président Obama dans son discours du 19 mai. Les Etats‐Unis n’en ont cependant pas dit davantage sur la manière dont ce résultat pourrait être atteint et le processus de négociations bilatérales tel qu’il a été mené jusque là a abouti à une impasse.
En reconnaissant la souveraineté et l’indépendance de la Palestine, et en accompagnant ce geste de l’indispensable soutien financier qu’il requiert, l’Europe ancrera solidement l’Etat palestinien dans le camp de la paix et de la coexistence et renforcera la stabilité de la région. Au moment même où l’Union européenne s’efforce de redéfinir ses relations avec les sociétés de la région, les Etats Membres ne doivent pas laisser passer cette occasion de jouer un rôle significatif et positif.
C’est avec à l’esprit ces considérations politiques et éthiques que les signataires de ce texte appellent les gouvernements européens à reconnaître l’Etat de Palestine en septembre prochain.
Hubert Védrine (Président du Groupe), France* ; Frans Andriessen, Pays‐Bas ; Giuliano Amato, Italie ; Laurens Jan Brinkhorst, Pays‐Bas ; Hervé de Charette, France ; Uffe Elleman‐Jensen, Danemark ; Jean François‐Poncet, France ; Felipe Gonzales, Espagne ; Lena Hjelm‐Wallén, Suède ; Lionel Jospin, France ; Michael Lothian, Royaume‐Uni ; Louis Michel, Belgique ; Andrzej Olechowski, Pologne ; Romano Prodi, Italie ; Mary Robinson, Irlande ; Michel Rocard, France ; Jorge Sampaio, Portugal ; Pierre Schori, Suède ; Clare Short, Royaume‐Uni ; Peter Sutherland, Royaume‐Uni ; Erkki Tuomioja (signataire avant sa nomination comme ministre des Affaires étrangères le 22 juin), Finlande ; Andreas van Agt, Pays‐Bas ; Hans van den Broek, Pays‐Bas ; Vaira Vike‐Freiberga, Lituanie ; Richard von Weizsäcker, Allemagne.
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Sarkozy : les Palestiniens doivent reconnaître l’Etat juif ( 11 septembre 2011) Jérusalem-Post.
La reconnaissance palestinienne d’Israël comme l’État-nation du peuple juif est la clé de tout accord de paix qui établit une solution à deux Etats, a dit le président français Nicolas Sarkozy aux membres du Congrès juif mondial.
Les représentants du CMJ ont rencontré Sarkozy pendant 90 minutes à l’Elysée à Paris, selon des sources d’information du Jérusalem Post contactées par téléphone depuis la capitale française.
La reconnaissance palestinienne d’Israël comme un Etat juif a été un point important pour le Premier ministre Benyamin Netanyahou, qui a insisté sur ce fait, et qui est la cause essentielle de l’échec des négociations avec les Palestiniens et le vrai obstacle à la paix. Les Palestiniens ont à leur coté insisté sur le fait que c’est la construction continue de colonies en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, qui a empêché un accord de paix.
Sarkozy a dit aux dirigeants juifs, y compris aux membres du Conseil Représentatif des institutions juives de France (CRIF), qu’il était très critique sur la construction de colonies israéliennes, selon ces sources. Il a appelé Israël à geler la construction de colonies en Cisjordanie, mais pas dans les quartiers juifs de Jérusalem-Est.
Sarkozy a établi un lien entre un gel de la colonisation israélienne et la reconnaissance palestinienne de la nature juive d’Israël comme le meilleur moyen pour reprendre les négociations..
Sarkozy a dit au président du CMJ Ronald S. Lauder et aux membres du CRIF qu’il était important de distinguer entre la construction juive en Cisjordanie et dans la construction telle à Jérusalem. Les représentants du CMJ ont souligné devant Nicolas Sarkozy l’importance de Jérusalem comme devant être la capitale du peuple juif, et qu’il était important de ne pas la diviser. Ils ont indiqué qu’ils se sentaient que Sarkozy avait compris ce point.
Le Secrétaire général du CMJ Dan Diker a dit que la construction de colonies avaient peu à voir avec la décision palestinienne de demander la reconnaissance unilatérale d’indépendance, selon les mêmes sources. Depuis 2009, l’Autorité palestinienne a pris la décision stratégique d’arrêter de négocier avec Israël et à poursuivre la reconnaissance d’un État indépendant quelques soient les actions israéliennes, a déclaré Diker. Diker a dit qu’Israël a attendu "avec une main tendue" que les Palestiniens reviennent à la table des négociations. Diker a rappelé à Sarkozy qu’Israël était disposé à parler avec les Palestiniens sans conditions préalables, selon les mêmes sources. Sarkozy a déclaré qu’il était essentiel de reprendre les négociations et que "la seule façon d’aboutir à la paix" était des pourparlers directs entre les deux parties. Il a ajouté que la France souhaitait jouer un rôle central en aidant Israël et les Palestiniens parvenir à un accord pour le statut final. Sarkozy a également dit son opposition à la demande palestinienne adhésion pleine à l’ONU.
Lauder a remercié Sarkozy pour la décision française la semaine dernière de promettre de s’abstenir lors du vote de l’ONU Conseil de sécurité.
"J’ai défendu Bibi toute ma vie politique," a déclaré le président français. Il a ajouté qu’il était un partisan de longue date d’Israël et de ses dirigeants, même quand il recevait en contrepartie des insultes antisémites. Sarkozy a dit à la direction du CMJ qu’ Israël avait perdu la guerre médiatique et avait omis de faire valoir ses arguments face la communauté internationale, et qu’il voulait la paix.
Si ce n'est pas assez clair pour vous deux, vous auriez besoin d'une explication de texte.
Longue vie à cet état qui a tant donné et fait pour la Civilisation!
Israël est notre dernier rempart contre la barbarie et l'idéologie de mort islamique!
Longue,très longue vie à vous tous en cette terre d'Israël qui est la vôtre depuis des temps immémoriaux!
Atikvah....
"Le goy de service"